Voilà qui va vous intéresser : Un nouveau papier que je viens de découvrir sur le web et que nous vous proposons ci-dessous. La thématique est « voitures de collection ».
Son titre (En voitures anciennes, le circuit touristique de Sèvremont a été inauguré) est sans équivoque.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est positivement connu pour d’autres articles qu’il a publiés sur internet.
Texte d’origine :
Un circuit de 70 km en voiture ou en deux roues traverse les quatre communes déléguées. Une activité touristique pour découvrir le patrimoine paysager et culturel de la commune.
Voilà qui va vous séduire : Un nouveau papier que notre équipe vient de remarquer sur le web et que nous vous proposons ci-dessous. La thématique est « voitures de collection ».
Le titre (5 infos clés sur le nouveau SUV coupé) est évocateur.
L’auteur (identifié sous la signature d’anonymat ) est connu et fiable.
La date de parution est 2023-06-19 05:00:00.
L’article en question :
Après un subtil teasing il y a quelques semaines, Renault a officialisé son tout nouveau SUV coupé, lequel vise à incarner le nouveau “haut de gamme de Renault“. Mieux encore, le nouveau Renault Rafale (c’est son nom), est le premier véhicule de série entièrement dessiné selon le nouveau langage formel initié depuis l’arrivée de Gilles Vidal à la tête du design de la marque au losange. Un nouveau modèle qui se veut à la fois visionnaire et audacieux, et “parfaitement en phase avec son époque“. Rien que ça.
Le nom Rafale vous dit quelque chose ? C’est normal, il s’agit d’un pan de l’histoire de l’aviation française, qui affiche un prestigieux palmarès. Evidemment, ce nom appartient à Renault, et ce… depuis 1936.
En effet, au début du XXe siècle, Renault est pionnier dans la confection de moteurs à explosion pour les voitures mais aussi pour les trains (autorail) et même les avions. Le premier Rafale de l’histoire, le Caudron Renault C460, est un avion monoplace de course, qui n’a été produit qu’en une poignée d’exemplaires, mais qui a été capable d’atteindre les 445 km/h sur 1000 km, le 11 août 1934, avec Hélène Boucher aux commandes.
Côté motorisation, le nouveau SUV Renault Rafale sera tout d’abord lancé en version hybride E-Tech Full Hybrid, avec sous le capot un moteur 1,2L de 130 ch, couplé à deux moteurs électriques. Le premier délivrera une puissante totale de 70 chevaux (via une batterie 2 kWh), et le second fera office d’alternateur-démarreur. Le tout affichera donc une puissance totale de 200 ch. Sur son site web, Renault promet “jusqu’à 1 100 km d’autonomie” (avec un plein d’essence évidemment).
A terme, Renault Rafale va bénéficier des derniers développements technologiques de la marque, avec notamment un nouveau moteur E-Tech 4×4 300 ch. “Nouveau Renault Rafale, véhicule central de la Renaulution, symbolise notre montée en gamme et notre légitimité à s’adresser à toutes les clientèles” explique Fabrice Cambolive, CEO de la marque Renault.
A bord, le nouveau Renault Rafale va reprendre la majorité des éléments déjà étrennés par la Renault Megane E-Tech. On y retrouvera notamment une instrumentation 100% numérique derrière le volant, mais aussi un large écran 12,3″ placé sur la console centrale, et animé par Android Automotive 12. A noter que ce dernier prend en charge Android Auto mais aussi Apple CarPlay, et sera livré avec de nombreuses applications (Waze, L’Equipe, Amazon Music…).
Au-dessus de leur tête, les occupants du nouveau Renault Rafale pourront profiter des bienfaits d’un toit panoramique Solarbay, capable de s’opacifier et s’éclaircir à la demande. Au conducteur de décider le niveau de luminosité souhaité parmi les 4 modes d’opacité disponibles, pour un confort réellement sur mesure.
Afin de faire honneur à son illustre appellation, le Renault Rafale promet une nouvelle approche de la performance, avec un design inspiré par l’aéronautique. Le look emprunte ainsi aux fuselages leur finesse, avec en prime une nouvelle signature lumineuse et une calandre inédite.
“La carrosserie sportback aux lignes pures s’inscrit dans le paysage sans en bousculer l’harmonie pour en faire un SUV coupé dynamique et sportif” explique le constructeur. Pour accentuer le côté sportif de son SUV, Renault a placé des sièges sport, sans oublier un son signé Harman Kardon pour l’ambiance.
Pour une agilité et une stabilité optimales, le nouveau Renault Rafale dispose du système 4Control Advanced. Ce dernier se charge d’orienter les roues arrière jusqu’à 5° dans le sens inverse des roues avant, pour un rayon de braquage proche d’une citadine.
Au-delà de 50 km/h, les roues arrière pivotent jusqu’à 1° pour renforcer la stabilité du SUV. A cela viennent s’ajouter plus de 30 systèmes d’aide à la conduite, issus du programme Human First de la marque.
Le nouveau Renault Rafale E-Tech full hybrid 200 ch sera commercialisé à compter du printemps 2024.
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La Citroën DS De mon….,Ouvrage Recommnandé par la presse.
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A relever, cet encart sur internet dont la thématique est « voitures de collection » et qui va vous ravir.
Son titre (Une BMW de 1938 vient de se vendre pour plus de 400 000 euros) parle de lui-même.
Présenté sous le nom «d’anonymat », le pigiste est connu et fiable.
Ce texte peut donc être pris au sérieux.
Le texte a été publié à une date mentionnée 2023-06-18 18:12:00.
L’article mentionné :
Un roadster BMW de 1938 vient d’être vendu aux enchères pour un prix hallucinant. D’une grande rareté, il est très recherché par les collectionneurs.
La société de vente Car & Classic a récemment vendu un roadster BMW 328 de 1938. Cette voiture est rentrée dans la légende de la course automobile de l’entre-deux guerre. Produite pour un peu moins de 500 exemplaires entre 1936 et 1940, cette BMW cumule un impressionnant palmarès en course.
En outre, elle s’avère d’une grande rareté. Aujourd’hui, il ne reste qu’environ 200 exemplaires du roadster BMW 328. Cette rareté s’est reflétée dans son prix lors de la vente aux enchères. Elle est en effet partie pour pas moins de 410 000 euros. Certains collectionneurs lui accordent ainsi une très grande valeur.
Une rarissime BMW de 1938 vient d’être vendue aux enchères pour un prix exorbitant
Cette ancienne BMW est d’une incroyable rareté. Elle est en revanche désirable pour bien d’autres raisons. Le roadster est tout d’abord dans un état incroyable pour une voiture de 86 ans. Surtout, elle s’est illustrée dans les compétitions automobiles de l’époque. Ses victoires sont innombrables.
Pour résumer, la BMW 328 a remporté plus de 100 victoires dans les années 1930. Elle a gagné l’ancienne version des Mille Miglia et le Tourist Trophy du Royal Automotive Club au Royaume-Uni. Elle est arrivée première de sa classe aux 24 heures du Mans en 1939 et a remporté le Grand Prix d’Australie en 1948.
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Une restauration de grande ampleur
Un autre aspect intéressant de cette voiture est qu’elle peut participer aux courses de voitures anciennes actuelles. Son propriétaire peut ainsi revivre sa riche histoire en s’inscrivant au Mans Classic, aux 1000 Miglia et au Goodwood Festival of Speed, qui fête son 75e anniversaire.
Son moteur six cylindres de 2,0 litres ne développe que 80 chevaux. Cette puissance peut sembler faible, mais la voiture ne pèse que 830 kg. La 328 a aussi été entièrement restaurée. Certes, remettre cette voiture en état n’a pas été une mince affaire. Elle a fait l’objet d’un vaste programme de restauration qui a duré huit ans !
Ce propos correspond à vos recherches vous adorerez pareillement ces ouvrages:
J’ai vu un papier sur le web dont le propos est «voitures de collection».
Son titre suggestif (VIDÉO. Les véhicules d’époque rivalisent d’élégance à Dinard) est évocateur.
L’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez lire ces révélations en confiance.
Dinard renouait ce week-end avec une tradition vieille de plus d’un siècle. Celle des concours d’élégance à la française, où constructeurs automobiles, carrossiers et grands couturiers faisaient autre …
Publications sur un sujet analogue:
Chars et véhicules blindés ; encyclopédie visuelle.,Ouvrage Recommnandé par la presse.
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Sur cette parution, un nouvel éditorial qui va parfaire notre revue de presse sur « voitures de collection ».
Le titre (L’histoire du système d’immatriculation, inventé à Lyon) parle de lui-même.
Présenté sous la signature «d’anonymat », le pigiste est connu et fiable.
L’éditorial peut donc être pris au sérieux.
La date de publication est 2023-06-18 08:01:00.
Voilà ll’article mentionné :
On trouve déjà des traces d’un premier système d’immatriculation en 1793. À l’époque, les cochers devaient rouler avec une plaque métallique où étaient inscrits le nom et l’adresse du propriétaire de leur attelage. Mais c’est à Lyon, au XIXe siècle, que l’on trouve le projet le plus abouti d’identification des voitures.
Au sein du parc de la Tête-d’Or, ouvert à la circulation, les automobilistes à bord de leurs voitures à moteur ou tractées par des chevaux naviguent au milieu des piétons. Mais à la suite de multiples accidents, le maire de l’époque, le docteur Gailleton, impose en 1891 aux propriétaires de tous les véhicules circulant dans le parc de porter une plaque avec des numéros d’identification temporaire. Une première mondiale.
Cette mesure a pour objectif d’identifier facilement les auteurs d’incivilités et d’infractions. Ces numéros n’étaient que temporaires et distribués à l’entrée du parc de la Tête-d’Or.
D’un système lyonnais à une réglementation nationale
En 1900, ce système est étendu à tous les automobilistes lyonnais qui devaient obligatoirement avoir leur numéro accroché à l’arrière de leur véhicule. Cette règle s’appliquait même aux personnes de passage qui, elles, recevaient une plaque temporaire le temps de leur séjour ou de leur traversée de la ville.
C’est un an plus tard, le 11 septembre 1901, que les plaques d’immatriculation seront rendues obligatoires, par décret, sur l’ensemble du territoire français. Cette décision intervient après que la Belgique, les Pays-Bas et l’Espagne ont franchi le pas quelques années auparavant.
Lire aussi sur Tribune de Lyon : Caméras à lecture de plaques : 7 questions sur ces machines à flasher les automobilistes
Cette plaque est composée de trois chiffres suivis d’un code géographique, une lettre représentant le chef-lieu des arrondissements admiratifs de la France de 1901 (à Lyon c’était le S… de Saint-Étienne). Depuis 2009, avec sa dernière réforme, la plaque d’immatriculation est passée au format « AA-000-AA ». Une sorte d’« empreinte digitale » propre à chaque véhicule.
Voilà qui va vous séduire : Un nouveau papier que nous venons de découvrir sur internet et que nous vous proposons ci-dessous. La thématique est « voitures de collection ».
Son titre suggestif (La rue Tchekhov, théâtre d’un imbroglio juridique à Agen) est évocateur.
Sachez que l’auteur (présenté sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez par conséquent donner du crédit à cette publication.
Texte :
Agacés par de nombreux nids-de-poule qui obligeaient leur véhicule à slalomer pour ne pas y laisser un pneu, les riverains de la rue Tchekhov (quartier Bézis) ne s’attendaient pas à un coup de théâtre. Signalant au mois de janvier le problème à la mairie, via l’application TellMyCity et photos à l’appui, on leur rétorque que leur voie est privée, et que l’affaire n’est pas du ressort des services techniques municipaux. Or ceux-ci…
Agacés par de nombreux nids-de-poule qui obligeaient leur véhicule à slalomer pour ne pas y laisser un pneu, les riverains de la rue Tchekhov (quartier Bézis) ne s’attendaient pas à un coup de théâtre. Signalant au mois de janvier le problème à la mairie, via l’application TellMyCity et photos à l’appui, on leur rétorque que leur voie est privée, et que l’affaire n’est pas du ressort des services techniques municipaux. Or ceux-ci intervenaient bien dans cette rue depuis des années, et les habitants, dont certains ont acheté leur maison il y a quarante ans, tombent des nues.
Maïté Hereil a acquis sa maison ici en 1982, Bernadette Monso en 1980, « et c’est la première fois que l’on nous dit que cette rue est privée ! Nous avons toujours vu les personnels municipaux venir l’entretenir, refaire les trottoirs, et ils y ont placé des caméras aux deux bouts », rappellent-elles.
Prendre les choses en main
Prévenue, la présidente du quartier Bézis, Samia Achour, est tout aussi surprise, et demande des renseignements complémentaires auprès du service de la vie du quartier, puis reçoit la confirmation par mail : la rue est bien privée, « sans autre explication. Alors, nous avons à nouveau interpellé Thomas Zamboni (adjoint chargé des quartiers) lors de la réunion publique du 6 juin, qui nous l’a confirmé. Mais alors comment se fait-il que la mairie entretienne cette rue depuis des années ? Une balayeuse est même passée il y a deux jours… Et ils se seraient aperçus qu’ils ont fait une erreur… Il a indiqué qu’il allait mener son enquête, mais cela fait déjà quatre mois que je l’ai sollicité. » Entre-temps, deux voisins ont investi dans du matériel et ont entrepris eux-mêmes de reboucher les trous avec du bitume.
« Si c’est privé, comment expliquer que l’on ait mis de l’argent public dans cette rue pendant des années ? »
Mais le problème reste entier pour le moment : à qui appartient la rue Tchekhov ? Elle fait partie d’un lotissement construit dans les années 1980, dénommé la ZAC de la Masse (Zone d’aménagement concerté) et son promoteur serait une société HLM bordelaise, Coligny, que nous n’avons pu joindre ce vendredi 16 juin.
Mais des membres du conseil de quartier ont retrouvé une délibération du Conseil municipal datée du 6 décembre 1975, où il est indiqué que la Ville « assurera l’entretien des voies et espaces libres au fur et à mesure de leur remise par la société ». Or, le cadastre mentionne bien que cette voie est privée, contrairement à d’autres rues du même lotissement, qui comprend une quarantaine de maisons. « Si c’est privé, comment expliquer que l’on ait mis de l’argent public dans cette rue pendant des années ? », demande Samia Achour.
« Pas de conflit »
Contacté, Thomas Zamboni refuse le terme de « conflit » avec les riverains. « Je veux mettre tout le monde autour de la table et je vais demander à Mickaël Geslot (conseiller municipal délégué) de suivre le dossier. Effectivement, depuis le début de l’année, les services municipaux répondent aux habitants que la rue est privée, et que c’est aux propriétaires d’entretenir leurs biens. Cette histoire est effectivement bizarre : comment peut-on découvrir que cette voie est privée au bout de quarante ans ? Je vais tirer ça au clair avec le service juridique, et ceux de la voirie et de l’urbanisme. »
« Cette affaire n’est pas simple, poursuit-il. Normalement, une fois qu’un lotissement est terminé, le bailleur doit proposer à la municipalité de reprendre les voiries. C’est généralement le cas, sauf si les propriétaires riverains souhaitent en conserver la gestion, ce qui arrive parfois pour des impasses. Peut-être est-ce la société HLM qui, à l’époque, n’a pas demandé cette rétrocession, et personne ne s’en serait aperçu pendant quarante ans. Ce n’est pas une petite rue, et ça n’est peut-être jamais venu à l’idée qu’elle soit privée, jusqu’à ce quelqu’un le découvre sur la carte au début de l’année… Je vais m’atteler dans les mois qui viennent à trouver une solution qui satisfasse tout le monde avant la fin de l’année », précise l’élu.
Je viens de prendre connaissance de cet éditorial sur la thématique « voitures de collection ». Avec régal nous vous en apportons l’essentiel ici.
Le titre (Dinard Élégance : une centaine de voitures de prestige réunies ce week-end) parle de lui-même.
Sachez que l’auteur (identifié sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.
La fiabilité est de ce fait majeure concernant ce papier.
L’encart a été édité à une date indiquée 2023-06-16 07:46:00.
Par Rédaction Saint-Malo Publié le
Voir mon actu
En 2018, puis en 2021, Dinard a renoué avec les concours d’élégance automobile, sous l’impulsion de l’association Dinard Élégance, présidée par Denis Cohignac.
« Nous voulons perpétuer la tradition d’un événement centenaire, dont le berceau est à Dinard. Le premier concours d’élégance s’est tenu ici, dans cette station balnéaire, le 4 septembre 1921. Il associait trois savoir-faire, celui des constructeurs, des couturiers et des carrossiers. C’est ce qu’on appelait les 3C », raconte Denis Cohignac.
Grâce à des recherches historiques poussées, l’organisateur est en mesure d’annoncer :
En 1921, ce sont environ 20 000 personnes qui se sont déplacées jusqu’à Dinard pour voir ces autos, parce que c’était un évènement extraordinaire et nouveau à cette époque. Nous défendons un passé et un patrimoine historique que nous voulons reconstituer.
Un âge d’or dans les années 30
« Les concours d’élégance automobile ont vécu leur âge d’or dans les années 30, jusqu’en 1939, avant la Seconde Guerre mondiale. Au lendemain de cette Guerre, le savoir-faire automobile français a été complètement transformé, car on a démocratisé la voiture en les fabriquant en plus gros volume, le nombre de maisons de couture a été divisé par dix et les carrossiers ont disparu avec l’industrialisation. Les concours d’élégance d’après-guerre étaient devenus moins prestigieux et se sont progressivement arrêtés dans les années 70. »
C’est donc le succès populaire rencontré à l’époque que Dinard Élégance souhaite retrouver en exposant « des voitures exceptionnelles, originales et impertinentes ».
32 véhicules à départager
La journée du samedi 17 juin sera marquée par la présence d’une centaine de véhicules d’avant 1970 que le public pourra contempler de 13h à 17h sur la digue de l’Écluse et dans la rue Yves Verney.
À 20h30 aura lieu le fameux concours d’élégance automobile, labélisé par la Fédération française de véhicules d’époque (FFVE), qui se tiendra devant le Manoir de Port-Breton.
« Pour ce concours, 32 véhicules ont été sélectionnés et répartis en quatre classes : avant 1930, de 1931 à 1940, de 1946 à 1960 et après 1960. Parmi ces véhicules de prestige, 30 % feront le déplacement depuis dix pays différents. Un jury sera composé de personnalités de l’univers de la mode, des arts et de l’automobile. Les critères de notation porteront sur l’authenticité et le design de l’automobile, l’élégance de la femme ou du couple qui la présente et l’harmonie de l’ensemble. »
Côté marques, il y aura de tout : Citroën, Cadillac, Packard, Stutz, Cadillac, Pierce Arrow, Chevrolet, Hotchkiss, Aston Martin, Mercedes Benz, Delage, Bentley, Peugeot, Delahaye, Alfa Romeo, Lancia, Jaguar, Monteverdi, Alvis, Ferrari, Lamborghini…
Le programme
Samedi 17 juin
À 10h, départ du tour d’élégance depuis la plage du Prieuré en passant par les communes au sud de la CCCE avant d’aller jusqu’à Saint-Jacut-de-la-Mer, puis retour par les communes en bord de mer ;
De 13h à 17h, exposition des 32 véhicules en compétition sur la digue de l’Écluse et d’une centaine de voitures anciennes dans le parking de la rue Yves Verney ;
À 20h30, concours d’élégance devant le Manoir de Port-Breton avec 700 places assises.
Dimanche 18 juin
De 10h30 à 17h au parc de Port-Breton, musée éphémère avec l’exposition d’une douzaine de motos anciennes qui feront l’objet d’un concours d’état.
De notre correspondant Matthieu BARON
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