Nous venons de prendre connaissance de ce texte sur la thématique « voitures de collection ». Avec plaisir nous vous en apportons le principal ici.
Son titre (Photos Le Lunévillois : il collectionne des voitures de films et surtout des modèles mythiques de chez Renault) est sans détour.
Le chroniqueur (annoncé sous la signature d’anonymat ) est connu et fiable.
Vous pouvez ainsi donner du crédit à cette parution.
L’encart a été édité à une date mentionnée 2023-01-03 03:30:00.
Des véhicules conduits par son père ainsi que des modèles rendus célèbres à travers des films… Voilà comment a démarré la collection de modèles réduits de Jérémy Grosmann qu’il garde précieusement pou …
Ce thème vous a fasciné vous apprécierez également ces ouvrages:
Monsieur Christian Lardière, maire de Linas (Essonne) depuis 2020, a usé de ses attributions et ses pouvoirs de police pour intervenir sur un différent routier de son épouse.
Suite à un sommaire accrochage (biffure sur un rétroviseur) dans la grande rue de la commune, l’épouse du Maire a téléphoné à son mari qui est survenu sur place avec sa Police Municipale mais aussi la Police Nationale.
En partant de la gauche sur la photographie autour de Christian Lardière: Jean-Raymond Hugonet, Mme Marie-Pierre Rixain, M. Stéphane BAZILE, Mme Jocelyne Guidez
Voici un papier que nous sommes heureux de diffuser ici sur notre blog. Le thème est « voitures de collection ». Le titre troublant (Adam Kosh fait vivre les différentes époques de « L’empereur) est évocateur.
L’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat ) est connu et fiable.
La fiabilité est en conséquence marquante concernant cet article.
Sachez que la date d’édition est 2023-01-02 06:40:00.
Pour « L’empereur », la première série originale dont il initie lui-même l’approche, Adam Kosh avait tout un mandat, celui de s’attaquer à un sujet chaud et délicat, soit les agressions sexuelles, mai …
Ouvrages sur le même thème:
Le guide de la Peugeot 203.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Voici l’essentiel d’un texte que nous venons de remarquer sur internet. Le sujet va certainement vous intéresser. Car la thématique est « voitures anciennes ».
Le titre séduisant (À la rencontre des anciens de l’USAP – Cargolade, pétanque… Dan Luger n’a vraiment rien oublié) est évocateur.
Le chroniqueur (présenté sous le nom d’anonymat ) est positivement connu.
Sachez que la date de parution est 2023-01-02 01:43:00.
Il a porté le maillot de l’USAP deux années durant, et elles ont suffi à « transformer » l’homme qu’il était, admet le champion du monde anglais. Face à la plage du Larvotto, dans la Principauté de Monaco, son nouveau cadre de vie, Daniel « Darko » Luger (47 ans) se retourne avec tendresse sur son ancienne vie catalane. Toujours avec sourire et élégance.
« L’homme que je suis aujourd’hui est sans doute né Perpignan », révèle dans un parfait français Dan Luger en rembobinant le film de ses deux saisons en pays catalan (2003-2005). « J’arrivais de Londres à l’époque où j’avais déroulé mes trente premières années, mais c’est au contact des Catalans que j’ai dessiné les suivantes. » Pourtant, il s’en est fallu d’un rien pour que l’international anglais aux 38 sélections crochète sa destinée. Au sortir de son contrat aux Harlequins, le Stade Français, Castres, Biarritz et l’USAP appuient leurs œillades.
« Vivre à Paris n’aurait pas été différent de Londres, Castres, bon c’est Castres quoi ! Tout s’est joué entre le Pays basque et Perpignan. J’avais toujours rêvé de vivre dans le sud de la France. L’atmosphère y est incroyable. Le French style m’a toujours attiré. Sans doute ai-je été influencé, lorsque j’étais encore gamin, par ces étés passés à Brac, non loin de Split, d’où est originaire mon père ».
À cette époque-là, il débarque à Aimé-Giral dans le sillage d’un recrutement de gala aux côtés des Scott Robertson et Daniel Herbert. « Une saison fabuleuse », qui les mènera jusqu’au Stade France, battus en finale du Top 16 par le Stade Français (38-20). « Je n’avais disputé que les vingt premières minutes. Victime d’un K.O., je m’étais replacé dans la ligne des trois quarts des Parisiens. Il était temps de me sortir (rires). À notre retour de Paris, le peuple catalan nous avait célébrés comme si nous avions ramené le Brennus. C’était inoubliable. J’en ai encore des frissons. Qu’est-ce que cela aurait été si nous l’avions emporté ? À l’USAP, nous formions une vraie famille. Tout le monde m’avait bien accueilli, intégré dans leur communauté, les Manas, Porcu, Bomati, Mas, Marty, Edmonds, le président Dagrenat bien sûr… Que des bons mecs vraiment, simples. J’avais le sentiment de défendre une identité. En Angleterre, les joueurs débarquaient à l’entraînement avec leur bolide. À Perpignan, ils arrivaient en scooter, en vélo, en voiture toute pourrie… J’adorais. Nous partagions des barbecues, avec pas mal d’aïoli. J’ai découvert la pétanque aussi. On sentait une saine amitié et puis je m’entendais très bien avec le coach de la première saison, Olivier Saisset. L’USAP m’aura vraiment marqué c’est sûr. »
Au « Club39 », il côtoie Djokovic Zverev ou Ewans
À son arrivée, après avoir vécu provisoirement deux mois dans la résidence Europa, « non loin de la piscine de Canet », il s’installera d’abord à Canet Sud puis à Sainte-Marie. « Dites-moi, quelle région peut vous offrir la possibilité de profiter de la mer et de la neige dans une même journée ? Je peux le dire aujourd’hui, mais même si ce n’était pas trop compatible avec le rugby, c’est à Font-Romeu que j’ai découvert le snowboard. »
Une révélation devenue passion puisque depuis, chaque saison, « Darko » son surnom, issu de vrai nom Daniel Darko Luger passe plusieurs semaines dans les alpes suisses.
Le reste, c’est sur la Riviera que le champion du monde 2003 déplie le fil de son existence. À l’ombre du Rocher monégasque où il s’est installé immédiatement après la fin de son contrat à Toulon, ponctué par une accession en Top 14. « C’était la première année de Mourad Boudjellal. Tana Umaga était l’entraîneur d’une pléiade de stars. » Il remisera alors les crampons sur les clous, à 33 ans, « de peur de faire l’année de trop. Et puis parce que mon corps était cabossé de partout. »
Dans son 45 m2, qu’il partage avec Chloé, 33 ans, native d’Arcachon, face à la Grande Bleue, peu de souvenirs de sa carrière sur les murs, excepté une peinture de son essai face à l’Australie et ce parchemin paraphé de la reine Élisabeth II le faisant MBE (Member Brish Empire, une distinction pour les sportifs ayant fait briller les couleurs britanniques). Ses maillots, dont deux de l’USAP, surtout le « bleu azur, ma couleur favorite », il les conserve dans l’appartement londonien de sa maman, Tina. « Elle plus fière que moi de mon parcours. Vous savez, mon père était croate et ma maman tchèque. Deux peuples guerriers, un peu comme les Catalans. Mes parents ont souffert et sont arrivés en Angleterre avec deux valises. Alors à réussite de leur fils… » Aujourd’hui, après avoir subi deux opérations lourdes ces trois dernières années au dos et au cœur, l’ancien ailier multiplie les séances de pilate et de yoga. « Un peu de douceur », s’amuse-t-il en commandant une salade de fruit au Club 39, un club de fitness Avenue Princesse Grâce où il côtoie parfois les tennismen Novak Djokovic, Alexander Zverev, le cycliste Caleb Ewan et pas mal de pilotes de course automobile.
« Comment vas-tu », l’apostrophe Ross Beattie, l’ancien international écossais qui remonte de la salle de sport. « C’est ce que j’aime ici, à Monaco que j’ai découvert il y a plus de dix ans, quand j’étais joueur au RCT, lors de galas de bienfaisance. C’est un village qui a les avantages d’une grande ville sur le plan culturel, sportif, événementiel… », poursuit le gestionnaire de patrimoine. « Avant de me lancer dans le rugby professionnel, j’avais suivi des études d’économie à Manchester. Depuis dix ans, je gère la fortune de plusieurs businessmen », explique celui qui se définit désormais « davantage Français qu’Anglais et un peu Catalan », avoue-t-il dans un dernier sourire. « Il faut que je descende à Perpignan bientôt saluer les copains. D’abord, je m’arrête à Narbonne embrasser mon ami Anthony Hill, puis cap au sud pour retrouver les Manas, Porcu, Mas, Marty, Freschwater… J’ai tellement aimé vivre chez vous. » Sûr qu’une bonne cargolade l’attend déjà…
Tous les articles de notre série « À la rencontre des anciens de l’USAP »
M Christian Lardière, maire de Linas (Essonne) depuis 2 ans, a usé de ses prérogatives et ses droits de police pour intercéder sur un litige routier de son épouse.
Suite à un petit accrochage (rayure sur un rétroviseur) dans la grande rue de la ville, l’épouse du Maire a téléphoné à son mari qui est survenu sur les lieux avec sa Police Municipale mais aussi la Police Nationale.
De gauche à droite sur la photo le maire Christian Lardière entouré de Jean-Raymond Hugonet, Mme Marie-Pierre Rixain, M. Stéphane BAZILE, Mme Jocelyne Guidez
Ce texte, dont le sujet est « voitures de collection », vient d’être relevé sur internet, notre staff est heureux de vous en produire le contenu le plus notable plus bas.
Son titre (Plus d’une voiture neuve sur cinq est électrique désormais dans l’Hexagone) est évocateur.
L’auteur (présenté sous la signature d’anonymat ) est connu et fiable pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.
Publié le 1 janv. 2023 à 12:05Mis à jour le 1 janv. 2023 à 15:12
La crise énergétique qui sévit en Europe n’a pas découragé les acheteurs de voitures à batterie. Les ventes de voitures rechargeables (100 % électriques et hybrides rechargeables) ont continué à progresser en 2022 dans l’Hexagone : elles ont atteint 329.670 unitésl’an dernier, soit 8,5 % de plus que l’année précédente (303.118 unités), selon les chiffres publiés le 1er janvier par la Plateforme automobile (PFA).
Au total, plus d’une voiture neuve sur cinq (21,6 % précisément) vendue l’an dernier en France est soit 100 % électrique (13,3 %), soit hybride rechargeable (8,3 %). « La mobilité électrique est désormais bien installée dans le paysage automobile », se félicite Clément Molizon, délégué général de l’Avere-France. « La dynamique positive du marché se poursuit depuis 2019. »
Hybrides rechargeables décriées
Ce dynamisme touche en réalité seulement le pur électrique (véhicule électrique à batterie, BEV). Moins subventionnées, décriées par les organisations environnementales, les hybrides rechargeables (PHEV pour « plug-in hybrid electric vehicle ») se sont nettement moins bien vendues en 2022 : leurs ventes ont même reculé à 126.549 unités, soit près de 15.000 de moins qu’en 2021. « Comme leurs avantages fiscaux et autres bonus vont être réduits, leur glas semble avoir sonné », estime Eric Champarnaud, cofondateur du cabinet C-Ways. La tendance touche toute l’Europe .
La progression des voitures 100 % électriques, en revanche, ne faiblit pas. « Leur pénétration a même atteint 18,2 % des ventes auprès des ménages sur les onze premiers mois de 2022. On a passé le cap des ‘early adopters’ essentiellement séduits par leur côté novateur », poursuit Eric Champarnaud.
En retard en 2021 par rapport à l’Allemagne, la France a en partie rattrapé le taux de pénétration affiché par les véhicules hybrides rechargeables et 100 % électriques outre-Rhin. « Alors que l’offre des marques allemandes s’était déployée un peu plus rapidement, celle des groupes tricolores a commencé à combler l’écart en 2022 », confirme Eric Kirstetter, consultant chez Roland Berger.
Renault a perdu des parts de marché au profit de Peugeot (208 et 2008 en électrique, 308 et 3008 en hybride rechargeable) l’an dernier, malgré les bons résultats de la Megane électrique (15.580 ventes) ou de la Dacia Spring (18.326).
Freins à l’adoption
« La mise sur le marché de nouveaux modèles de Renault ou de Peugeot en 2023 et 2024 devrait permettre de continuer à combler l’écart », poursuit Eric Kirstetter. La e-308 et la e-3008 chez Peugeot, la R5 ou la 4L chez Renault , pourraient ainsi doper le marché dans les années à venir.
Les freins à l’adoption de la batterie se sont aussi réduits. Le réseau de recharge reste insuffisant (77.318 bornes publiques fin novembre), et encore loin de l’objectif des 100.000 bornes affiché pour… fin 2021. Mais il progresse. « On devrait atteindre ces 100.000 bornes au premier semestre 2023 », affirme Clément Molizon. « En outre, le nombre de bornes rapides et ultrarapides a explosé, à plus de 5.000 fin novembre : conformément à la législation, toutes les aires d’autoroutes devraient être équipées début 2023. »
Si la croissance des autonomies affichées a réduit la peur de la panne, le prix élevé des voitures à batterie risque en revanche de freiner encore les ventes pendant un certain temps, compte tenu de la hausse des coûts . « On pariait sur une convergence des coûts d’usage avec les voitures thermiques d’ici à quelques années, on n’y sera pas… », reconnaît Eric Champarnaud. Il faut absolument miser sur des voitures électriques plus petites et plus légères. »
Les professionnels attendent aussi avec impatience les modalités pratiques des promesses du président Emmanuel Macron , pour permettre l’accès à l’électrique des foyers les plus modestes : le bouclier tarifaire sur les bornes de recharge, le leasing à 100 euros par mois, ou encore le relèvement de 6.000 à 7.000 euros du bonus à l’achat sous conditions de ressources – au lieu d’une baisse à 5.000 euros pour l’ensemble des acheteurs.
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Fidèle à sa vocation, ce site va vous présenter un éditorial qui se propage sur le web. Le propos est «voitures de collection».
Son titre (2023 : les événements automobiles à ne pas manquer) est sans ambiguïté.
Sachez que le rédacteur (annoncé sous la signature d’anonymat ) est connu et fiable.
Il n’y a pas de raison de ne pas croire du sérieux de ces informations.
Le texte a été divulgué à une date indiquée 2023-01-01 02:27:00.
Bonne et heureuse année 2023 à toutes et à tous. Cette année, les passionnés d’Automobile avec un grand “A” devraient être comblés. En effet, en France, plusieurs événements leur offriront la possibilité de vivre intensément leur amour pour les voitures, sans oublier de citer les deux roues. En espérant que le Covid-19 ne vienne pas gâcher cette nouvelle année qui débute ce jour.
Rétromobile, Exclusive Drive, Le Mans Classic, Normandy Beach Race, Tour Auto, tels sont les principaux événements qui marqueront “l’Année Automobile 2023”. Mais, c’est le centenaire des 24 Heures du Mans (10 et 11 juin), qui sera l’événement à ne surtout pas manquer. Cependant, pour voir, en piste, les Hypercars LMH et LMDh Peugeot, Toyota, Ferrari, Porsche, Cadillac et Glickenhaus s’affronter, dans la Sarthe, pour la victoire suprême, il est déjà trop tard. En effet, tous les tickets d’entrée pour assister, au Mans, la la plus belle et grande course automobile au monde sont d’ores et déjà vendus. Les 24 Heures du Mans 2023 se dérouleront donc à guichets fermés, ceci pour les 10 et 11 juin prochains.
Un autre événement automobile devrait, certainement, rencontrer un important succès populaire cette année, à savoir le salon Rétromobile. Ce dernier est programmé, à Paris Expo Porte de Versailles, du 1er au 5 février 2023. Alors que le Mondial de l’Auto est “en perdition”, Rétromobile représente le rendez-vous incontournable des passionnés de voitures anciennes et de collection.
Restons dans le domaine des voitures et véhicules anciens mais, cette fois, avec des engins incroyables à deux ou quatre roues. Les 22, 23 et 24 septembre 2023 à Ouistreham, la Normandy Beach Race fera son grand retour sur le sable de la plage de Riva Bella. La Normandy Beach Race est, clairement, un rassemblement destiné, non sans provocation, aux irréductibles qui ne croient pas, comme nous, à l’avenir de la voiture électrique.
De Ouistreham au Mans, il n’y a qu’un pas, ou presque, à faire. Après une fabuleuse édition 2022, l’événement Le Mans Classic 2023 est programmé du 29 juin au 2 juillet et toujours sur le grand circuit utilisé lors des 24 Heures du Mans.
Avec également les 24 Heures du Mans, l’édition du centenaire, Le Mans sera, l’été prochain, la capitale mondiale du sport automobile, soyons chauvins !
Plus tôt dans l’année, Cannes accueillera, le 22 avril, l’arrivée du tant attendu Tour Auto. Le rallye historique surnommé de “musée roulant”, débutera à Paris, le 17 avril. A cette date sera proposée, au public, la traditionnelle exposition (Grand Palais Ephémère). Le Tour Auto traversera ensuite la France du 18 au 22 avril.
Toujours au Mans dans la Sarthe, quelques mois plus tôt, le rassemblement Exclusive Drive fera aussi son retour, les 17, 18 et 19 mars (circuit Bugatti). Cette année, un premier Exclusive Drive sera aussi organisé, les 17 et 18 novembre, dans le sud de la France, sur le circuit du Castellet.
Sachant que le GP de France de Formule 1 est, dorénavant, de l’histoire ancienne, tous les yeux et les oreilles des fans de F1 seront tournés, chez nous, vers le GP de Monaco programmé au 28 mai prochain. “L’Année Automobile 2023” s’ouvrira, bien sûr, par le Rallye Monte-Carlo (du 17 au 23 janvier), 90ème édition du nom et première manche du WRC 2023.
Enfin, terminons, en guise de teaser, par notre vidéo réalisée lors de la Normandy Beach Race 2021 avec, en “guest star”, notre ami Cyril Drevet au volant d’un… “golgot” ! Encore une fois, bonne année 2023 à toutes et à tous de la part de la rédaction LesVoitures.com. En espérant vous voir, cette année, aux événements Rétromobile, Le Mans Classic, Normandy Beach Race, Tour Auto, Exclusive Drive et 24 Heures du Mans.
Dans le cadre de notre objectif de vous alerter, nous publions ci-dessous un éditorial vu sur le web il y a quelques minutes. La thématique est «voitures de collection».
Son titre suggestif (L’incroyable garage de Cristiano Ronaldo) en dit long.
Identifié sous le nom «d’anonymat », l’écrivain est connu et fiable.
Vous pouvez lire ces révélations en toute tranquillité.
Le papier a été divulgué à une date indiquée 2022-12-31 23:55:00.
Amateur de belles mécaniques, Cristiano Ronaldo peut se targuer d’une impressionnante collection de bolides en tout genre.
Georgina Rodriguez connait bien son homme. La compagne de Cristiano Ronaldo sait en tout cas comment lui faire plaisir. Pour Noël, la mannequin argentine a vu les choses en grand en lui offrant une Rolls-Royce entourée d’un joli nœud. Un coupé grand luxe dont la valeur s’établit à plus de 400 000 euros selon les médias portugais.
Une voiture qui ne fera pas tache dans l’incroyable garage du quintuple Ballon d’or, qui possède – ou a possédé – des Bugatti, Maserati, Rolls Royce, Bentley, Ferrari ou autre Porsche. Difficile de tenir un compte précis des bolides en sa possession.
Parmi ses plus belles pièces, une Ferrari LaFerrari, coûtant 2,8 millions d’euros. Le modèle le plus cher du marché qui n’a été produit qu’à 499 exemplaires.
A noter également une Bugatti Chiron, affichée à 2,5 millions d’euros, ou une Veyron Grand Sport Vitesse à 2,2 millions d’euros. En plus donc des autres engins.
Et la collection de CR7 devrait encore s’agrandir. A en croire Marca, l’attaquant turinois aurait en effet commandé, l’an dernier, le modèle unique de la marque Bugatti intitulé «La Voiture Noire», crée spécialement pour le 110e anniversaire de la marque. Présenté au salon de l’automobile de Genève, le bolide est estimé à 11 millions d’euros.
Nous allons mettre en pleine lumière ce post qui vient d’être publié, dont le propos est «voitures de collection».
Son titre séduisant (premier modèle de la marque pensé pour l’Europe de l’Ouest) est sans ambiguïté.
Annoncé sous le nom «d’anonymat », l’auteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez de ce fait donner du crédit à cette parution.
L’article source mentionné :
La Favorit doit ses lignes à Bertone. Photo Skoda Media
Nous sommes à l’automne 1982. Après des mois de négociations et de tracasseries administratives, le gouvernement communiste de Tchécoslovaquie donne enfin son accord pour produire une nouvelle gamme de véhicules dans l’usine Skoda. Il en est ainsi, à l’époque, dans les pays de l’est : rien ne se décide sans l’accord du parti communiste.
Pour la marque, l’enjeu est énorme. La gamme Skoda est dépassée et si le marché intérieur est protégé des exportations, il est de plus en plus compliqué d’exporter ces modèles à moteur arrière. Le chantier est immense, le budget réduit au strict minimum. Skoda n’a pas le droit à l’erreur.
Un cahier des charges ambitieux
Un vent de liberté souffle sur le mur de Berlin, et Skoda le sait. Dans six mois, un an ou dix ans, il faudra se mesurer frontalement à la tendance européenne. A l’heure où Lada prépare une Samara moderne et où les Volkswagen Golf et Peugeot 205 dominent l’Europe, il faut réagir d’urgence. Les nouvelles Skoda auront évidemment le moteur à l’avant et abandonneront également la propulsion, au profit de la traction.
Si l’accord du parti communiste a mis longtemps à arriver, le constructeur n’a pas attendu le feu vert pour développer un prototype roulant. La Skoda 780, développée en 1979 va servir de base au projet Favorit.
Dès le début du projet, les ingénieurs tchèques vont faire preuve de créativité. Comparé au modèle précédent, le nombre de pièces est réduit de 405 à 227. La Favorit, plus courte de 40 mm se montre pourtant beaucoup plus habitable et offre un volume de chargement plus important.
Guerre de design
Pour le design, les dirigeants de Skoda ont besoin de sang neuf. A l’occasion du Salon de Genève 1983, ils vont rencontrer plusieurs designers. Giugiaro, dont un précédent projet avec Skoda est tombé à l’eau, décline la proposition tchèque. Pininfarina, de son côté, se voit dans l’obligation de refuser également. Son contrat avec Peugeot l’empêche de collaborer avec d’autres constructeurs européens.
Finalement, le marché se dispute entre le carrossier français Chausson et le styliste italien Bertone. Le 1er janvier 1983, la prestigieuse maison italienne remporte le contrat. La prochaine Skoda aura des traits italiens, et une technologie un peu allemande.
Le moteur est un bloc maison entièrement revu. Photo Skoda Media
Porsche à la rescousse
Pour se rapprocher au maximum des standards de qualité et de performance européens, les ingénieurs de Skoda n’hésitent pas à se tourner vers l’ouest. Tout au long du processus de développement, ils font appel à des spécialistes externes européens.
Mais la plus grosse contribution est certainement à mettre au crédit de Porsche, qui travaille sur l’intégration du moteur, sur la géométrie du train avant ou encore sur la réduction du volume sonore à l’intérieur de l’habitacle.
La phase finale de développement de la Favorit se fera au centre de tests Porsche à Weissach, en Allemagne (de l’Ouest).
Quel moteur pour la Favorit ?
Chez Skoda on est conscient que le quatre cylindres maison, qui a fait ses débuts en 1964, ne pourra pas être monté dans la nouvelle compacte, tel quel. Rapidement, on privilégie donc l’achat d’un moteur auprès d’un autre constructeur.
Une dizaine de motoristes sont approchés. Seuls Nissan, Isuzu, PSA et Volkswagen se montrent intéressés. C’est ce dernier qui ira le plus loin dans les négociations, envoyant une délégation à l’usine de Mladá Boleslav (Tchéquie) en avril 1986. Les allemands proposent alors un test à Skoda.
Entre septembre et novembre 1987, les ingénieurs Skoda montent des quatre cylindres Volkswagen dans leurs prototypes pour une série d’essais. Les résultats sont convaincants, mais les comptables de Skoda mettent leur véto. Le budget de développement de la Favorit fond comme neige au soleil.
Un des premiers prototypes de Favorit présenté au public. Photo Skoda Media
Du neuf avec du vieux
On reprend donc le bon vieux moteur maison avec un double objectif : passer cette antique mécanique à l’essence sans plomb, et augmenter considérablement sa durée de vie.
Sièges de soupapes et soupapes et pistons sont renforcés par l’utilisation de matériaux de meilleure qualité. Les chemises de cylindre et le vilebrequin sont revus, et l’étanchéité du moteur peaufinée.
Le moteur se montre plus silencieux, plus respectueux de l’environnement, et accepte enfin l’essence sans plomb qui s’est généralisée en Europe de l’ouest. La durée de vie du moteur Skoda passe de 100 000 à 250 000 km !
Des tests poussés
Pour réussir son pari, Skoda doit commercialiser un véhicule parfaitement fiable. De nombreux essais sur route sont effectués avec des prototypes qui parcourent plus de 250 000 kilomètres.
On teste la résistance de la Skoda 781, le nom provisoire de la Favorit, dans les Alpes et même au Mont Ventoux, en pleine chaleur. Pour terminer, un des prototypes parcourt 150 000 km en une seule fois avec une charge de 450 kilos, répartie entre les sièges et le coffre.
Fin septembre 1987, la voiture est jugée prête pour la commercialisation.
En 1987, les lignes de la Favorit surprennent. Photo Skoda Media
La révolution !
La Skoda Favorit est présentée pour la première fois le 16 septembre 1987 à la 29ème édition du Salon International de l’Ingénierie à Brno, devant des centaines de milliers de visiteurs.
Avec sa conception moderne, sa traction avant et son design, la Favorit est un véritable événement national. Après une période de rodage, la production en série est lancée début décembre 1987.
A peine deux ans plus tard, la révolution de velours va rebattre les cartes. Comme pressenti, Skoda va devoir affronter une concurrence mondiale. Pour survivre, une seule solution : se tourner encore un peu plus vers l’ouest.
La Favorit va impressionner le patron de Volkswagen. Photo Skoda Media
Elle impressionne Volkswagen
Dès 1987, un exemplaire de la Favorit avait été amené à Wolfsburg pour subir un examen complet. Le Dr. Hahn lui-même découvre la compacte de près et se montre séduit.
L’accord pour fournir un moteur aux Tchèques à échoué mais les dirigeants de VW n’ont pas dit leur dernier mot. Le 22 mars 1990, le président de Volkswagen, Carl Horst Hahn s’assoie autour d’une table avec plusieurs représentants tchèques, dont le président du parlement et le ministre de la métallurgie et de la mécanique.
Volkswagen rachète Skoda
Quelques mois plus tard, le groupe Volkswagen se porte acquéreur de Skoda. L’année suivante, la Favorit bénéficie d’un premier restylage avant de connaître une importante mise à jour en 1993.
Pour marquer la nouvelle ère de la marque, Volkswagen plante 548 drapeaux sur une Skoda Favorit, pour symboliser les 548 modifications apportées à la voiture. En 1995, Volkswagen se contente de transformer la Favorit en Felicia, preuve de ses qualités intrinsèques.
La Favorit sera le premier modèle de la marque pensé pour l’Europe de l’ouest. Un modèle essentiel dans l’histoire du constructeur.
Les tarifs d’époque en 1989
En 1989, la Skoda Favorit était proposée en France au tarif de : 46 990 F.
Le SMIC horaire était alors de 29,91 F.
Il fallait donc travailler 1 572 heures pour se l’offrir (soit environ 45 semaines de 35 heures !)
Aujourd’hui, la moins chère des Skoda Fabia est proposée à 17 370€. Le SMIC horaire est désormais de 11,07€. Il faut travailler 1 560 heures pour s’en offrir une.
Ce thème répond à vos investigations vous aimerez tout autant ces ouvrages:
Ce texte, dont la thématique est « voitures de collection », vient d’être trouvé sur internet, notre staff est heureux de vous en reproduire l’essentiel dans cette publication.
Son titre (Actualités Mountain Wilderness : une brochure pour aller dans les montagnes de métropole sans sa voiture) est évocateur.
Identifié sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable.
Vous pouvez de ce fait vous fier aux informations qu’il édite.
L’association Mountain Wilderness a souhaité partager les possibilités offertes par les transports en commun depuis la région parisienne afin de véhiculer les valeurs de la campagne Changer d’Approche. Elle publie une brochure « 10 idées de sorties montagne sans voiture au départ de Paris » qui complète la collection des 18 autres brochures déjà parues dans le cadre de la campagne. Pour l’occasion, la collection fait peau neuve et se dote d’une nouvelle identité graphique, modernisée et qui donne la part belle aux photos.
L’association Mountain Wilderness est une association militante engagée dans la défense de la montagne naturelle. Les précédentes brochures de la collection “10 idées de sorties montagne sans voiture” se concentraient sur un massif ou sur les destinations aux alentours d’une ville-porte. La dernière brochure en date, propose au départ de Paris des itinéraires à destination de toutes les montagnes de France métropolitaine.
La Loi Montagne de 1985 reconnaît six massifs en France métropolitaine: .Vosges, Alpes, Jura, Pyrénées,Massif Central, Corse. Ces massifs offrent une immense diversité des paysages et de milieux encore sauvages. Ces territoires facilement accessibles pour certains en transports collectifs ou propres, sont aussi accessible depuis Paris et l’Île-de-France. Le réseau ferroviaire nationale, dont beaucoup de lignes ont été fermées, possède encore des lignes, notamment dans les régions de montagne où l’accès est possible avec une émission réduite de carbone. Il faut savoir conjuguer train, autocars gérés par les départements ou la région, navettes locales, saisonnières parfois, co-voiturage, et même auto-stop !
Depuis 2005, Mountain Wilderness France agit pour limiter les impacts de la voiture individuelle dans les territoires de montagne. C’est dans cette optique que la campagne Changer d’approche est née en 2007. Changer d’approche c’est explorer la montagne avec une autre perspective, plus respectueuse de la nature et des hommes, en délaissant sa voiture au profit des transports en commun. Le train, le car, la navette permettent des échanges, avec les passagers, les conductrices et conducteurs. Ils permettent de contempler les paysages, d’y entrer en lâchant prise. Changer d’approche c’est s’immerger davantage en montagne, en goûtant aux saveurs locales et en contribuant à l’économie montagnarde, dans le respect de ceux qui y vivent et qui en vivent. Changer d’approche c’est prendre le temps de découvrir un territoire, d’observer un milieu, sa faune et sa flore, sous un nouvel angle et d’en apprendre davantage sur tout ce qui constitue ce monde à part.
Cette brochure s’inscrit dans le cadre des efforts collectifs visant à réduire notre empreinte écologique et contribuer à un développement sobre et résilient. La campagne Changer d’approche, initiée par Mountain Wilderness France œuvre en ce sens. Les 10 sorties réalisées sans voiture proposées dans cette brochure représentent une économie de 345 tonnes de CO2 !
La Renault 12 de mon père.,Ouvrage Recommnandé par la presse.
Simca Aronde De mon père.,Clicker Ici Ouvrage de référence.
Savoir réparer et entretenir sa voiture.,Ouvrage .
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