Dans le cadre de notre objectif de vous informer, nous publions ci-dessous un éditorial vu sur internet il y a peu. La thématique est «voitures de collection».
Son titre saisissant (Lorraine Acheter une voiture d’occasion, est-ce un bon placement) est évocateur.
Le rédacteur (identifié sous la signature d’anonymat ) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Le texte a été divulgué à une date mentionnée 2022-07-18 01:47:00.
Acheter une voiture de collection ou de prestige est-il un bon placement ? Réponse des spécialistes, comme LL Classic Cars, au Luxembourg. Laurent Lefebvre, gérant de LL Classic Cars …
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Voici un nouvel éditorial qui va s’additionner à notre revue de presse sur « voitures de collection ».
Son titre (Ce dimanche au Portel, c’était «reluquage» de belles voitures et moule-frite en terrasse) en dit long.
Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’éditorialiste est connu et fiable.
La crédibilité est donc majeure en ce qui concerne cet encart.
La date d’édition est 2022-07-17 10:24:00.
Texte en question :
Il y avait foule ce dimanche au Portel. De nombreuses personnes sont venues suivre la quatrième édition du Coxbeach, ce rassemblement de voitures anciennes dont le nom fait référence à la Coccinelle, célèbre modèle de Volkswagen. La fête de la Moule battait son plein dans le même temps.
Temps de lecture: 2 min
Odeur de frites et de crème solaire, ce dimanche, au Portel ! De nombreux curieux se sont massés sur la digue, dans la descente de plage et sur la promenade basse pour assister à la quatrième édition du Coxbeach, ce rassemblement de belles bagnoles.
Bercés par les notes des musiciens en concert et par le bruit de la mer, les locaux et les touristes de passage ont suivi un programme estival dont on ne garantit par l’ordre exact : moule-frite, glaces en cornet, « reluquage » en règle de carrosseries rutilantes et bronzette à la plage.
Scooby Doo parmi nous ?
Parmi les plus de 150 véhicules exposés, deux grands classiques de l’Allemand Volkswagen : la Coccinelle, et le Combi. Sur place, on s’amuse à scruter les spécifiques des modèles. Et les « petites touches », apportées par les propriétaires. Pas mal de colliers de fleur accrochés au rétroviseur intérieur, notamment, esprit californien oblige. On croise même une réplique plutôt convaincante de la célèbre Mystery machine de Scooby Doo.
La moule en fête
Installés au camping-car du Portel, Henri et Nadine sont venus vivre en couple l’expérience « Coxbeach ». Tous les deux sont enchantés. Enfin, tous les trois : leur chien, bien installé dans le sac à dos, pointe le bout de son nez. Tout ce beau monde s’offrira « une moule dans la soirée ».
À la bonne heure puisqu’on célébrait aussi le mollusque ce dimanche, dans la station. En témoignaient les terrasses remplies, les tonnelles et les sets de table spécial « Fête de la moule », imprimés pour l’occasion.
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Cet éditorial ayant pour thématique « voitures de collection » a été observé sur le web, nous avons voulu vous le signaler ci-dessous.
Le titre (Baden. Le feu de voiture se propage à la maison) résume tout le post.
Le journaliste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.
La confiance est en conséquence éminente concernant cet encart.
Un incendie s’est déclaré, dans la nuit de samedi 16 au dimanche 17 juillet 2022, au château de Kergonano. Le feu a pris dans une voiture stationnée à l’extérieur, avant de se propager à l’habitation. Les occupants n’ont pas été blessés.
Ouest-France
Publié le
Un incendie s’est déclaré, dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 juillet, dans une des anciennes dépendances, habitée, du château de Kergonano, à Baden (Morbihan). C’est un automobiliste qui a donné l’alerte, vers 1 h 40, en klaxonnant. Entendant du bruit, la propriétaire s’est levée et a aperçu à son tour des flammes. Elle a alors alerté les pompiers.
Selon les premiers éléments, le feu aurait pris au niveau du véhicule du couple d’habitants, âgés de 88 ans. Les flammes se sont propagées à une partie de la charpente du pignon. Les pompiers sont restés jusqu’à plus de 3 h, les caméras thermiques détectant de la chaleur dans la charpente.
Baden. Le feu de voiture se propage à la maison
Ce thème apporte des réponses à vos investigations vous apprécierez pareillement ces publications :
Groupe B, « les voitures interdites ».,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Ci-dessous un nouvel article qui va grossir notre revue de presse sur « voitures de collection ».
Son titre (Automobile. Comment Porsche a été sauvée grâce à un SUV) parle de lui-même.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’auteur est positivement connu pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez lire ces infos en toute confiance.
L’encart a été publié à une date indiquée 2022-07-16 23:05:00.
L’histoire du Cayenne commence par une étude commandée par Hans Riedel, responsable des ventes Porsche à l’époque. La question est la suivante : « Porsche peut-il survivre avec les seules 911 et Boxster au catalogue ? »
Après quelques semaines, la réponse de l’étude de marché tombe et elle est sans appel. Pour continuer d’exister au XXIe siècle, Porsche va devoir se diversifier. Le « seul moyen pour Porsche de retrouver une pente ascendante sans dépendre du seul marché de la voiture de sport classique ».
À quoi doit ressembler la troisième Porsche ?
La décision est prise, le projet “troisième Porsche” est lancé. Mais quel véhicule proposer ?
Cinq concepts de véhicules alternatifs sont examinés par la direction. Les trois premiers sont rapidement écartés et “la finale” oppose deux projets. D’un côté un monospace de luxe et de l’autre un SUV sportif. A l’époque, les monospaces se vendent bien un peu partout dans le monde.
Mais Porsche ne peut prendre de décision avant de consulter son équipe américaine. Les États-Unis sont un énorme marché pour la marque allemande.
D’entrée, les dirigeants de Porsche USA se montrent catégoriques et disposent d’arguments de choc. Certes, les vans étaient particulièrement populaires sur le marché américain. Mais surtout parmi les familles avec de nombreux enfants et un faible niveau de revenus.
Pendant ce temps-là, les gros SUV se vendaient bien, y compris aux CSP+.
Porsche USA met son véto au monospace, en Allemagne la décision est prise : la troisième Porsche sera un SUV.
Un partenariat avec Mercedes
Assez rapidement, Porsche prend conscience de la nécessité de s’allier à un partenaire pour concevoir son premier SUV. En utilisant une base déjà existante, la marque économisera des centaines de millions d’euros de développement, tout en gagnant beaucoup de temps.
Le premier partenaire envisagé est Mercedes-Benz. Le constructeur à l’étoile doit en effet lancer son Classe M en 1997 et Porsche le sait. Les premiers contacts sont encourageants et Mercedes-Benz n’est pas du tout opposé à s’associer à Porsche sur ce projet.
L’accord est rapidement scellé et les équipes des deux constructeurs commencent à travailler ensemble. « À ce stade, nous envisageons le SUV Porsche comme une déclinaison haute performance du futur Classe M de chez Mercedes », explique Klaus-Gerhard Wolpert, chef de produit Cayenne pendant douze ans.
De Mercedes-Benz à Volkswagen
« La voiture aurait eu son propre design extérieur, beaucoup de la technologie de la Classe M, mais des moteurs et des composants de châssis de notre part », précise le responsable du projet.
La coopération Porsche-Mercedes convenue à l’été 1996 progressait bien, mais vers la fin de l’année, des questions d’argent entre les deux sociétés ont forcé Porsche à se retirer du projet. Il fallait tout recommencer à zéro et trouver un nouveau partenaire.
Bien que Volkswagen et Porsche ne soient pas encore membres du même groupe, le président du conseil d’administration de Volkswagen, Ferdinand Piëch, petit-fils du fondateur de la société Porsche, Ferdinand Porsche, va accueillir ce projet favorablement.
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Interdiction de rouler en Porsche !
Pour donner à ses ingénieurs une idée des exigences liées au développement d’un SUV, la direction de Porsche va prendre une décision inhabituelle via son directeur Wolpert : « J’ai demandé à tous mes chefs de division de rendre leurs voitures de société Porsche. Nous avons acheté un certains nombre de SUV tels que le BMW X5, le Ford Explorer, le Jeep Grand Cherokee et le Mercedes Classe M. Les ingénieurs et responsables devaient conduire ces modèles au quotidien, et tous les mois nous les permutions. »
Une façon pour Porsche d’insuffler à ses troupes la culture SUV. Les ingénieurs s’intéressent soudainement à l’espace de stockage, la hauteur du seuil de chargement, aux sièges arrière rabattables ou aux capacités de franchissement.
Différencier le Cayenne du Touareg
L’autre enjeu sera de faire une vraie Porsche en partant d’un Volkswagen Touareg. Le châssis, le pare-brise et les quatre portes des deux SUV sont en effet identiques.
« De profil, les portes définissent la personnalité d’une voiture. Derrière la porte arrière, il nous reste peut-être un mètre, ça ne laisse pas beaucoup de place pour faire quelque chose », explique Mauer, un des ingénieurs. Pour se différencier, les designers vont bosser d’arrache-pied, passant une année entière sur les seuls phares.
Le point le plus haut des ailes et des phares est au-dessus de celui du capot, une caractéristiques essentielle pour une Porsche et un vrai défi quand vous devez faire entrer un gros moteur V8 sous le capot.
Une présentation remarquée
En septembre 2002, quatre bonnes années après que la décision de construire le Cayenne ait été rendue publique, la première Porsche cinq places célébrait sa première mondiale au Mondial de l’automobile de Paris.
Pour Wendelin Wiedeking, patron de Porsche, l’entreprise joue très gros ce jour-là : « Cette journée, il n’y a aucun doute dans mon esprit, aura une signification historique pour l’entreprise. »
Au sein de Porsche, le Cayenne est rapidement accepté, au contraire des puristes de la marque qui crient au scandale. Pour les fans et clubs de la marque, une Porsche à cinq portes et cinq places est déjà une hérésie, alors un vulgaire 4×4…
Le Cayenne a sauvé la marque
Les chiffres donneront raison à Porsche. Alors que le constructeur tablait sur 25 000 ventes par an, Porsche vendra 276 652 exemplaires de la première génération, soit 35 000 par an.
Depuis son lancement, plus d’un million de Cayenne ont été vendus.
« Avec le Cayenne, nous avons réussi pour la première fois à transférer avec succès la légende Porsche à un tout nouveau segment de marché », déclare Oliver Blume, président du directoire de Porsche AG. Et à sauver une marque mythique.
Dans le cadre de notre mission d’information, nous publions ci-dessous un texte vu sur le web ce jour. Le sujet est «voitures de collection».
Son titre (Baden. Le feu de voiture se propage à la maison) synthétise tout le texte.
Sachez que le journaliste (annoncé sous le nom d’anonymat ) est connu et fiable pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur internet.
Il n’y a aucune raison de ne pas croire de la fiabilité de ces infos.
Un incendie s’est déclaré, dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 juillet, dans une des anciennes dépendances, habitée, du château de Kergonano, à Baden (Morbihan). C’est un automobiliste qui a donn …
A relever, cet encart sur le web dont la thématique est « voitures de collection » et qui est susceptible de vous plaire.
Son titre (Monaco. Un nouveau musée pour la collection de voitures du prince) en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat », l’écrivain est positivement connu.
Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette édition.
La collection automobile de la famille princière de Monaco comprenant Renault Floride, Citroën 2CV, Alpine A110 mais aussi Lamborghini Miura ou F1, s’expose à présent dans un nouveau lieu au décor modernisé. Celui-ci se trouve sur l’itinéraire du circuit automobile et vient d’ouvrir au public.
Par MaxK
Publié le 17/07/2022 – 10:00
L’automobile à Monaco, ce n’est pas qu’un Grand Prix et un rallye. La famille princière a en effet accumulé, depuis les premières acquisitions du prince Rainier III dans les années 1950, une collection comptant aujourd’hui une centaine de véhicules. Exposée durant trois décennies sur les terrasses de Fontvieille, celle-ci vient de déménager pour s’établir dans de nouveaux locaux situés au 54, route de la Piscine, sur le port Hercule. Une adresse qui figure sur le tracé du célèbre circuit de F1. Ce nouveau musée de plus de 3 500 m² vient d’ouvrir ses portes au public.
Des pépites de route comme de course
La collection automobile princière de Monaco comprend des véhicules variés mais évidemment tous remarquables, que ce soit par leur rareté, leur sportivité, leur exclusivité ou leur histoire. Des marques prestigieuses aujourd’hui disparues (et pour certaines en phase de renaissance) sont représentées comme Facel Vega, Delage, Delahaye ou Hispano-Suiza. Les classiques ne manquent pas, qu’ils soient badgés Porsche, Ferrari, Maserati mais aussi Alpine ou Mercedes. C’est d’ailleurs une 300 SL « rouge fraise » de 1956, l’une des dix-huit produites dans cette couleur, que l’établissement présente comme sa vedette.
Une large part de l’exposition est consacrée à des voitures de course des années 1990 et 2000. On y dénombre plusieurs F1 (dont la première Ferrari de Charles Leclerc*), une Audi d’endurance, un Mitsubishi Pajero de rallye-raid… Il y en a donc pour tous les goûts, ou presque, avec une scénographie modernisée qui s’appuie notamment sur des images extraites de films.
Une collection à découvrir
Inaugurée le 7 juillet dernier par le prince Albert II et la princesse Stéphanie, la nouvelle exposition permanente de la collection automobile monégasque est accessible au public tous les jours de 10 h 00 à 19 h 00 (pas d’entrée après 18 h 00). Comptez 10 € pour une entrée adulte plein tarif ; 5 € pour un étudiant ou un jeune de 7 à 17 ans. L’accès est gratuit pour les plus petits. Il est possible de réserver sa place via une billetterie en ligne.
Étiquettes
A lire:
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Dans le cadre de notre mission de vous alerter, nous publions ci-dessous un encart de plusieurs lignes vu sur internet il y a à peine quelques minutes. La thématique est «voitures de collection».
Son titre (Monaco. Un nouveau musée pour la collection de voitures du prince) en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat », le pigiste est connu et fiable pour d’autres textes qu’il a publiés sur le web.
La fiabilité est ainsi substantielle en ce qui concerne cet éditorial.
Sachez que la date de publication est 2022-07-17 03:00:00.
Voici lle texte :
La collection automobile de la famille princière de Monaco comprenant Renault Floride, Citroën 2CV, Alpine A110 mais aussi Lamborghini Miura ou F1, s’expose à présent dans un nouveau lieu au décor modernisé. Celui-ci se trouve sur l’itinéraire du circuit automobile et vient d’ouvrir au public.
Par MaxK
Publié le 17/07/2022 – 10:00
L’automobile à Monaco, ce n’est pas qu’un Grand Prix et un rallye. La famille princière a en effet accumulé, depuis les premières acquisitions du prince Rainier III dans les années 1950, une collection comptant aujourd’hui une centaine de véhicules. Exposée durant trois décennies sur les terrasses de Fontvieille, celle-ci vient de déménager pour s’établir dans de nouveaux locaux situés au 54, route de la Piscine, sur le port Hercule. Une adresse qui figure sur le tracé du célèbre circuit de F1. Ce nouveau musée de plus de 3 500 m² vient d’ouvrir ses portes au public.
Des pépites de route comme de course
La collection automobile princière de Monaco comprend des véhicules variés mais évidemment tous remarquables, que ce soit par leur rareté, leur sportivité, leur exclusivité ou leur histoire. Des marques prestigieuses aujourd’hui disparues (et pour certaines en phase de renaissance) sont représentées comme Facel Vega, Delage, Delahaye ou Hispano-Suiza. Les classiques ne manquent pas, qu’ils soient badgés Porsche, Ferrari, Maserati mais aussi Alpine ou Mercedes. C’est d’ailleurs une 300 SL « rouge fraise » de 1956, l’une des dix-huit produites dans cette couleur, que l’établissement présente comme sa vedette.
Une large part de l’exposition est consacrée à des voitures de course des années 1990 et 2000. On y dénombre plusieurs F1 (dont la première Ferrari de Charles Leclerc*), une Audi d’endurance, un Mitsubishi Pajero de rallye-raid… Il y en a donc pour tous les goûts, ou presque, avec une scénographie modernisée qui s’appuie notamment sur des images extraites de films.
Une collection à découvrir
Inaugurée le 7 juillet dernier par le prince Albert II et la princesse Stéphanie, la nouvelle exposition permanente de la collection automobile monégasque est accessible au public tous les jours de 10 h 00 à 19 h 00 (pas d’entrée après 18 h 00). Comptez 10 € pour une entrée adulte plein tarif ; 5 € pour un étudiant ou un jeune de 7 à 17 ans. L’accès est gratuit pour les plus petits. Il est possible de réserver sa place via une billetterie en ligne.
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Voilà un post que nous sommes heureux de communiquer ici sur notre site. Le propos est « voitures de collection ». Son titre saisissant (Automobile. Comment Porsche a été sauvée grâce à un SUV) en dit long.
Identifié sous la signature «d’anonymat », le journaliste est positivement connu.
La date d’édition est 2022-07-16 23:05:00.
Texte original :
L’histoire du Cayenne commence par une étude commandée par Hans Riedel, responsable des ventes Porsche à l’époque. La question est la suivante : « Porsche peut-il survivre avec les seules 911 et Boxster au catalogue ? »
Après quelques semaines, la réponse de l’étude de marché tombe et elle est sans appel. Pour continuer d’exister au XXIe siècle, Porsche va devoir se diversifier. Le « seul moyen pour Porsche de retrouver une pente ascendante sans dépendre du seul marché de la voiture de sport classique ».
À quoi doit ressembler la troisième Porsche ?
La décision est prise, le projet “troisième Porsche” est lancé. Mais quel véhicule proposer ?
Cinq concepts de véhicules alternatifs sont examinés par la direction. Les trois premiers sont rapidement écartés et “la finale” oppose deux projets. D’un côté un monospace de luxe et de l’autre un SUV sportif. A l’époque, les monospaces se vendent bien un peu partout dans le monde.
Mais Porsche ne peut prendre de décision avant de consulter son équipe américaine. Les États-Unis sont un énorme marché pour la marque allemande.
D’entrée, les dirigeants de Porsche USA se montrent catégoriques et disposent d’arguments de choc. Certes, les vans étaient particulièrement populaires sur le marché américain. Mais surtout parmi les familles avec de nombreux enfants et un faible niveau de revenus.
Pendant ce temps-là, les gros SUV se vendaient bien, y compris aux CSP+.
Porsche USA met son véto au monospace, en Allemagne la décision est prise : la troisième Porsche sera un SUV.
Un partenariat avec Mercedes
Assez rapidement, Porsche prend conscience de la nécessité de s’allier à un partenaire pour concevoir son premier SUV. En utilisant une base déjà existante, la marque économisera des centaines de millions d’euros de développement, tout en gagnant beaucoup de temps.
Le premier partenaire envisagé est Mercedes-Benz. Le constructeur à l’étoile doit en effet lancer son Classe M en 1997 et Porsche le sait. Les premiers contacts sont encourageants et Mercedes-Benz n’est pas du tout opposé à s’associer à Porsche sur ce projet.
L’accord est rapidement scellé et les équipes des deux constructeurs commencent à travailler ensemble. « À ce stade, nous envisageons le SUV Porsche comme une déclinaison haute performance du futur Classe M de chez Mercedes », explique Klaus-Gerhard Wolpert, chef de produit Cayenne pendant douze ans.
De Mercedes-Benz à Volkswagen
« La voiture aurait eu son propre design extérieur, beaucoup de la technologie de la Classe M, mais des moteurs et des composants de châssis de notre part », précise le responsable du projet.
La coopération Porsche-Mercedes convenue à l’été 1996 progressait bien, mais vers la fin de l’année, des questions d’argent entre les deux sociétés ont forcé Porsche à se retirer du projet. Il fallait tout recommencer à zéro et trouver un nouveau partenaire.
Bien que Volkswagen et Porsche ne soient pas encore membres du même groupe, le président du conseil d’administration de Volkswagen, Ferdinand Piëch, petit-fils du fondateur de la société Porsche, Ferdinand Porsche, va accueillir ce projet favorablement.
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Interdiction de rouler en Porsche !
Pour donner à ses ingénieurs une idée des exigences liées au développement d’un SUV, la direction de Porsche va prendre une décision inhabituelle via son directeur Wolpert : « J’ai demandé à tous mes chefs de division de rendre leurs voitures de société Porsche. Nous avons acheté un certains nombre de SUV tels que le BMW X5, le Ford Explorer, le Jeep Grand Cherokee et le Mercedes Classe M. Les ingénieurs et responsables devaient conduire ces modèles au quotidien, et tous les mois nous les permutions. »
Une façon pour Porsche d’insuffler à ses troupes la culture SUV. Les ingénieurs s’intéressent soudainement à l’espace de stockage, la hauteur du seuil de chargement, aux sièges arrière rabattables ou aux capacités de franchissement.
Différencier le Cayenne du Touareg
L’autre enjeu sera de faire une vraie Porsche en partant d’un Volkswagen Touareg. Le châssis, le pare-brise et les quatre portes des deux SUV sont en effet identiques.
« De profil, les portes définissent la personnalité d’une voiture. Derrière la porte arrière, il nous reste peut-être un mètre, ça ne laisse pas beaucoup de place pour faire quelque chose », explique Mauer, un des ingénieurs. Pour se différencier, les designers vont bosser d’arrache-pied, passant une année entière sur les seuls phares.
Le point le plus haut des ailes et des phares est au-dessus de celui du capot, une caractéristiques essentielle pour une Porsche et un vrai défi quand vous devez faire entrer un gros moteur V8 sous le capot.
Une présentation remarquée
En septembre 2002, quatre bonnes années après que la décision de construire le Cayenne ait été rendue publique, la première Porsche cinq places célébrait sa première mondiale au Mondial de l’automobile de Paris.
Pour Wendelin Wiedeking, patron de Porsche, l’entreprise joue très gros ce jour-là : « Cette journée, il n’y a aucun doute dans mon esprit, aura une signification historique pour l’entreprise. »
Au sein de Porsche, le Cayenne est rapidement accepté, au contraire des puristes de la marque qui crient au scandale. Pour les fans et clubs de la marque, une Porsche à cinq portes et cinq places est déjà une hérésie, alors un vulgaire 4×4…
Le Cayenne a sauvé la marque
Les chiffres donneront raison à Porsche. Alors que le constructeur tablait sur 25 000 ventes par an, Porsche vendra 276 652 exemplaires de la première génération, soit 35 000 par an.
Depuis son lancement, plus d’un million de Cayenne ont été vendus.
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Cet encart de quelques lignes ayant pour thème « voitures de collection » circule sur internet, nous avons voulu vous le révéler plus bas.
Son titre (Dans la Manche, un autocar exceptionnel récupéré dans un garage et restauré à Granville) est sans détour.
Sachez que l’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez ainsi faire confiance aux informations qu’il publie.
L’encart a été édité à une date mentionnée 2022-07-16 02:00:00.
Texte mentionné :
Le garage automobile Normandy Classics, de Granville (Manche) accueille dans ses locaux un autocar Citroën Cityrama de 1959. L’objectif : le restaurer pour la fondation du patrimoine.
Je vous indique un tout nouvel éditorial qui va parachever notre revue de presse sur « voitures de collection ».
Son titre (Dans la Manche, un autocar exceptionnel récupéré dans un garage et restauré à Granville) est parlant.
Présenté sous la signature «d’anonymat », l’éditorialiste est positivement connu pour d’autres textes qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez par conséquent faire confiance à cette publication.
L’encart a été divulgué à une date indiquée 2022-07-16 02:00:00.
Voici lle texte en question :
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