Nos rédacteurs ont relevé un encart sur internet dont le sujet est «voitures de collection».
Le titre (L’incroyable vente aux enchères de la Collection Carrera avec un gros lot de Porsche 911) est évocateur.
Sachez que l’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat ) est positivement connu.
Vous pouvez prendre connaissance de ces révélations en confiance.
Sachez que la date d’édition est 2023-05-17 09:14:00.
RM Sotheby’s proposera en juillet prochain une vente exceptionnelle de Porsche de la Collection Carrera. Une vente aux enchères qui se fera en deux parties : la première aura lieu en Suisse le 7 juillet, la seconde se fera à Milan le 12 juillet prochain.
Amoureux de Porsche ou pas, c’est l’occasion idéal pour craquer sur l’un des modèles d’exception que proposera la maison de vente RM Sotheby’s en juillet prochain. Au programme, des Porsche 911, des BMW Z8, des Alpina, des Corvette ou encore des Mercedes-Benz 280 Cabriolet. Tout pour vous faire craquer. Elles sont remplies d’histoire, de vécu et cherche un nouveau propriétaire, ces quelques voitures de collection partiront à partir de 46 000 € et pourront facilement atteindre les 500 000 €.
Dans le cadre de notre mission d’information, nous publions ci-dessous un texte vu sur internet aujourd’hui. La thématique est «voitures de collection».
Le titre (De belles mécaniques sur les routes luxembourgeoises) en dit long.
L’auteur (identifié sous le nom d’anonymat ) est connu et fiable pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.
La fiabilité est ainsi importante en ce qui concerne ce post.
Texte :
Les amateurs de balades en voiture ancienne peuvent se réjouir. Quelque 140 oldtimers sont attendus pour la nouvelle édition de l’ACL Classic Tour, en ce jeudi de l’Ascension, à partir de 7 h 30 sur l …
Dans le cadre de notre activité d’information, nous publions ci-dessous un texte vu sur le web il y a quelques minutes. Le sujet est «voitures de collection».
Son titre saisissant (JBox, la boîte qui recharge les voitures électriques) parle de lui-même.
Identifié sous le nom «d’anonymat », l’écrivain est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour d’autres encarts qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez donc donner du crédit à cette parution.
L’encart a été édité à une date notée 2023-05-16 07:15:00.
L’article source mentionné :
Depuis 1992, Jean-Christophe Kerdelhué travaille dans les énergies renouvelables. Une époque où ces deux mots n’évoquaient pas grand-chose pour une écrasante majorité de la population. Il fait ses armes dans la micro-hydroélectricité, au sein de la Compagnie générale des eaux (désormais Veolia), avant de rejoindre la société SIIF Energies, qui devient peu après EDF Renouvelables, où il occupe le poste de directeur général des territoires d’outre-mer. Autant dire que l’homme est un spécialiste du sujet.
Fort de son expérience, Jean-Christophe Kerdelhué cède aux sirènes de l’entrepreneuriat et décide de voler de ses propres ailes. Il quitte l’énergéticien en 2006 pour fonder un an plus tard sa propre entreprise, NW. Dans un premier temps, celle-ci conçoit, finance et exploite outre-mer des parcs éoliens et photovoltaïques. « Ces expériences m’ont montré à la fois toutes les possibilités offertes par les énergies renouvelables, mais également tous les problèmes qu’elles posaient, et notamment celui du stockage de l’électricité, du fait de leur intermittence », raconte l’entrepreneur. En effet, selon que les éoliennes ou autres panneaux solaires ne produisent pas assez ou trop selon les conditions climatiques, il faut pouvoir injecter ou au contraire retirer de l’énergie dans le réseau afin d’éviter le black-out ou de perdre de l’électricité inutilement produite.
Un défi grandissant pour RTE, le gestionnaire du réseau électrique, à l’heure des investissements massifs dans les énergies renouvelables. « En 2000, rappelle le patron de NW, il y avait environ 2.000 sites de productions reliés au réseau, tous pilotables. Maintenant, il y en a environ 500.000 ! » Un état de fait nécessitant une grande flexibilité dans la gestion et d’importantes capacités de stockage, d’où une multiplication des appels d’offres de RTE pour faire face à la situation. Une aubaine pour Jean-Christophe Kerdelhué : l’homme désirait depuis quelque temps retourner en métropole, tout en sachant que le marché de la production d’énergies renouvelables y était peut-être trop gros pour son entreprise ultramarine. Il décide de changer son fusil d’épaule et de s’attaquer au stockage de l’électricité, qu’il avait déjà expérimenté en Guyane.
270 points de stockage sur le territoire
Les activités de NW sont donc scindées en deux. D’un côté, il y a NW Energy, qui gère 8 parcs éoliens et solaires déployant une puissance de 45 MW, et de l’autre, NW Storm, créée en 2018 et aujourd’hui fer de lance du groupe, qui met au point des petites unités de stockage brevetées. Ces conteneurs remplis de batteries lithium-ion branchés au réseau à moyenne tension, les JBox, ont une capacité d’environ 1 MW et peuvent être installés en trois jours. Les batteries proviennent de Corée du Sud, avec, selon Jean-Christophe Kerdelhué, un accord de reprise et de recyclage en fin de vie, et les modules sont assemblés en France, à Saint-Etienne, pour un prix final d’environ un million d’euros pièce.
Leur rôle, pour lequel NW est rémunéré par RTE, est ainsi de lisser les pics de production d’énergie renouvelable en stockant l’électricité en surplus et, en cas de tension très forte sur le réseau comme au cours de l’hiver dernier, de restituer cette énergie pour faire face à la demande. Depuis, NW a installé 275 de ces JBox sur l’ensemble du territoire, pour une capacité totale de 350 MW – soit tout de même l’équivalent d’une centrale à gaz ou du tiers d’un réacteur nucléaire. L’innovation de NW en matière de stockage réside dans le pilotage numérique de ces batteries éparpillées sur tout le territoire. « En cas de besoin, elles peuvent toutes répondre comme si elles n’étaient qu’une seule », résume Jean-Christophe Kerdelhué.
Une unité de stockageNW Groupe
Dans leur fonctionnement habituel, chaque JBox injecte et reçoit en moyenne 100 kW, sur une capacité de 1.000 kW, pour faire face aux fluctuations du réseau. Ce qui laisse, potentiellement, une importante réserve électrique qui ne demande qu’à être utilisée. Et en cela réside l’originalité du modèle de NW : « Je me suis dit qu’il était possible de connecter des bornes de recharge ultra-rapides pour les véhicules électriques sur les JBox, déclare l’entrepreneur. Ainsi, il est possible de recharger sa voiture électrique avec l’électricité en stock, sans peser directement sur le réseau. » Une petite révolution, à l’heure où le marché de la voiture à batterie a crû de 394 % entre 2019 et 2021, selon Plateforme Automobile, soulevant des interrogations sur la capacité du réseau électrique français, quelque peu stressé, à répondre à la demande des automobilistes.
Des points de recharge au tarif imbattables
NW a ainsi mis au point des stations de recharge de haute puissance, nommées IECharge, déployant entre 150 kW et 320 kW et capables de ravitailler un véhicule en une quinzaine de minutes environ. Elle en a déployé une cinquantaine pour le moment, toutes branchées sur des JBox. « Cela permet d’installer ces points de recharge très rapides en zones rurales ou périurbaines, où sont installés les modules de stockage, alors qu’elles se concentraient jusqu’à présent en ville ou sur les autoroutes », se réjouit Jean-Christophe Kerdelhué.
En outre, en étant branchées aux cellules de stockage, ces stations évitent à l’entreprise le coûteux raccordement au réseau tout en mutualisant les coûts de maintenance des JBox et IECharge. De quoi garantir à l’utilisateur un tarif de 0,30 euro le kilowattheure, lorsque les concurrents de l’entreprise proposent majoritairement des prix oscillant entre 0,39 et 0,70 euro/kWh. Autre satisfaction pour les conducteurs, il n’y a nul besoin d’abonnement pour se ravitailler et une simple carte de paiement suffit.
Recharger son véhicule grâce à l’électricité stockéeNW Groupe
Mais le risque existe-t-il, en cas de fortes tensions sur le réseau électrique, que les JBox doivent uniquement user de leur électricité stockée pour répondre à la consommation, en vertu de ses engagements avec RTE, et ne puissent plus servir à la recharge des véhicules ? « Un scénario comme celui-ci est très peu vraisemblable, tempère le dirigeant de NW. Et puis si le risque d’un black-out était imminent, je ne pense pas que la recharge de leur voiture à nos bornes soit la principale préoccupation des Français. »
300 millions d’euros levés
Le modèle hybride stockage/recharge de NW, protégé par trois brevets mondiaux, a en tout cas séduit les investisseurs. En 2020 et 2022, la société a levé 35 millions puis 300 millions d’euros auprès du fonds RGreen Invest, désormais détenteur de 40 % de son capital. De quoi être désormais valorisée à hauteur de 1,5 milliard d’euros et d’accéder au statut envié de « licorne ». Si Jean-Christophe Kerdelhué se refuse à communiquer son chiffre d’affaires, il assure que la société est à l’équilibre, grâce aux services systèmes rendus à RTE, et en forte croissance, avec 1,5 milliard d’euros d’investissements prévus en trois ans et demi.
Ainsi, NW vise le déploiement de 2,5 GW de capacité de stockage à l’horizon 2026, avec des modules couplés à 1.000 stations IECharge. Cet arsenal devrait être déployé en France, en Europe et aux Etats-Unis, où la société vient de signer un contrat pour l’installation de 1.000 JBox au Texas. Elle vient également de fêter l’embauche de son centième salarié.
Et NW fourmille d’idées. Son nouveau projet, baptisé TiKaz, vise la construction « clé en main » de bâtiments agricoles photovoltaïques, financés par l’énergie récupérée par les panneaux solaires. Une manière pour l’entreprise de déployer en France, sur un secteur spécifique, une puissance équivalente à celle nécessaire au fonctionnement de son système recharge/stockage. Gageons que le groupe, plutôt discret jusque-là, n’a pas fini de faire parler de lui.
Publications sur le même thème:
La Renault 21 de mon père.,Ouvrage Recommnandé par la presse.
Dans le cadre de notre devoir de vous informer, nous publions ci-dessous un éditorial vu sur internet aujourd’hui. Le sujet est «voitures de collection».
Son titre (Ces magasins Noz près de Lyon bradent la collection d’été de San Marina à -60%) est parlant.
Sachez que le chroniqueur (présenté sous le nom d’anonymat ) est positivement connu.
C’est l’occasion ou jamais. Le leader du déstockage Noz, qui a racheté les stocks de l’enseigne San Marina en liquidation judiciaire, a annoncé, ce jeudi 11 mai 2023, mettre en vente de la collection été 2023 du chausseur dès ce vendredi 12 mai dans ses magasins.
S’il n’y a pas de Noz à Lyon ou dans le Rhône. Il est possible de trouver des boutiques à moins d’une heure dans l’Ain.
Sandales, baskets, escarpins à -60 %
« La collection été San Marina débarque chez Noz : sandales, baskets toile, escarpins, mocassins, mais aussi articles de maroquinerie », est-il écrit sur les réseaux sociaux.
Ces articles seront mis en vente à -60 %. Au total, 302 magasins bénéficient de cette opération dans toute la France. À côté de Lyon, dans le département de l’Ain, l’enseigne Noz la plus proche se trouve à Meximieux. Il faut compter un peu moins d’une heure en voiture.
Sinon, vous pouvez toujours aller à ceux de Bourg-en-Bresse ou d’Ambérieu-en Bugey qui restent à une distance raisonnable (un peu plus d’une heure en voiture).
Voici la liste complète des cinq boutiques Noz qui mettent en vente des articles San Marina à prix cassés dans l’Ain
Ambérieu-en-Bugey
Bourg-en-Bresse
Meximieux
Oyonnax
Saint-Genis-Pouilly
Des magasins Noz dans la Loire
À noter qu’il y a aussi des magasins Noz qui destockent des articles d’été San Marina dans la Loire, assez proche de Lyon. On retrouve l’enseigne à Feurs, Roanne, Perreux ou encore Villars.
Vidéos : en ce moment sur Actu
Pour rappel, Noz a déjà destocké des articles Camaïeu en début d’année.
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Ce post, dont la thématique est « voitures de collection », vient d’être relevé sur le web, nous sommes heureux de vous en proposer l’essentiel ci-dessous.
Son titre (Soupçonné d’ivresse au volant, il tente de faire porter le chapeau à son chien) en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat », le journaliste est connu et fiable.
Vous pouvez prendre connaissance de ces révélations en confiance.
Un conducteur soupçonné d’ivresse dans le Colorado a tenté en vain de faire porter le chapeau à son chien, selon la police de l’est de cet Etat américain. Les policiers de Springfield ont écrit sur …
Nous présentons un tout nouvel éditorial qui va couronner notre revue de presse sur « voitures de collection ».
Le titre (Succès sur la piste en en dehors pour le Spa Classic) synthétise tout l’éditorial.
Identifié sous le nom «d’anonymat », l’éditorialiste est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur internet.
La confiance est de ce fait grande en ce qui concerne ce post.
Texte :
Des plateaux relevés
Si les pilotes aiment tant venir se frotter au Circuit de Spa-Francorchamps, c’est grâce à son tracé exigeant et son environnement qui serpente à travers la forêt ardennaise. Mais Spa-Classic c’est avant tout une histoire de passion qui réunit, sur la piste, pour le plus grand bonheur du public, des pilotes de tous niveaux, confirmés, amateurs et novices. Comme le rappelait Eric van de Poele dans une interview : « Pour le public, c’est fantastique de revoir ces voitures sur la piste, de les entendre. Pour nous, de les piloter. L’idée n’est pas d’aller chercher le dernier centième de seconde à tout prix ou de faire un dépassement à la folie. Durant tout ce week-end, il y a de belles courses, c’est très chaud. Ce sont de vraies courses ».
Une sortie familiale
Spectacle sur la piste donc, mais également en dehors. Car le Spa-Classic, ce sont aussi des animations pour toute la famille dans « le village ». Dans une ambiance festive, petits et grands ont pu profiter des nombreuses animations proposées : tatouage éphémère, barbier, pêche aux canards, photocall ou encore popcorn et barbe à papa… Le tout en admirant plus de 800 voitures anciennes qui avaient fait le déplacement.
Bibliographie :
Le guide de la Peugeot 203.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
LA MINI (1959-2000) de mon père.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Dans le cadre de notre travail de vous informer, nous publions ci-dessous un papier vu sur internet aujourd’hui. Le thème est «voitures de collection».
Son titre troublant (Les plateformes, une forme d’exploitation des travailleurs raciss ?) parle de lui-même.
Sachez que l’auteur (présenté sous la signature d’anonymat ) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Il n’y a aucune raison de douter du sérieux de ces révélations.
L’article d’origine :
Sophie Bernard a enqut sur les chauffeurs Uber dans trois mtropoles et met en vidence la dgradation de leurs conditions de travail et de rmunration.
Le capitalisme de plateformes utilise très largement une main d’œuvre racisée, à laquelle il fait miroiter, dans la phase de lancement des plateformes, des conditions de travail et de rémunération plus avantageuses que celles que ces travailleurs peuvent trouver par ailleurs, mais qui ne le restent pas très longtemps. Il utilise ainsi les discriminations que ceux-ci subissent pour installer un modèle qui repose in fine sur une dégradation des conditions de travail et d’emploi, ce qui serait beaucoup plus difficile sans cela. Et qui finit par pénaliser tous les travailleurs.
C’est ce que met en exergue l’enquête que vient de publier la sociologue du travail Sophie Bernard sur l’entreprise Uber. Enquête, qu’elle a menée aussi bien à Paris qu’à Londres et Montréal, car le phénomène n’est évidemment pas propre à la France, même s’il y trouve des conditions de développement favorables.
Celle-ci a aimablement accepté de répondre ici à des questions pour présenter son livre à nos lecteurs.
Nonfiction : Le capitalisme fonctionne de telle manière que les travailleurs racisés se voient assignés aux positions subalternes. Notre époque ne fait pas exception sur ce point, et l’une de ses formes les plus récentes, le capitalisme de plateformes, recoure très largement à cette main d’œuvre. Ce qui constitue aujourd’hui encore un angle mort des critiques, pourtant nombreuses, qu’on lui adresse. C’est alors notamment le cas de l’entreprise Uber, sur laquelle vous avez enquêté. Comment l’expliquer ?
Sophie Bernard : Plusieurs processus conduisent à cette surreprésentation d’hommes racisés parmi les chauffeurs Uber, et ce dans les trois métropoles dans lesquelles j’ai enquêté (Paris, Londres et Montréal). Ainsi, au moment de son implantation, la plateforme s’est d’abord tournée à Paris et à Londres vers les professionnels déjà en activité (les chauffeurs de VTC, dans un cas, et les minicab, dans l’autre), les incitant à travailler par son intermédiaire grâce à des rémunérations attractives. Or ces derniers étaient des hommes racisés pour la majorité. Pour assurer son déploiement, le recrutement s’est ensuite opéré par cooptation, favorisant par là-même une concentration ethno-raciale. En effet, tous les chauffeurs rencontrés sont entrés dans le métier sur la recommandation de proches l’exerçant eux-mêmes. Ce mécanisme se voit renforcé par les primes offertes par Uber à chaque parrainage réalisé par un chauffeur. La plateforme a également mené de vastes campagnes de communication ciblant les quartiers populaires, comme l’opération « 70 000 entrepreneurs » déployée dans les communes populaires d’Ile-de-France en 2016. Si elle a ainsi explicitement cherché à attirer une main d’œuvre racisée, c’est également la position spécifique occupée par ces populations dans le monde du travail qui explique leur surreprésentation parmi les chauffeurs Uber. Assignés aux emplois précaires non-qualifiés ou faisant l’expérience du déclassement, ces hommes racisés voient en effet dans le métier une opportunité d’améliorer leur condition en accédant à l’indépendance et à des rémunérations élevées. Le modèle économique d’Uber repose sur une offre excédentaire de chauffeurs par rapport à la demande afin de lui répondre rapidement et de s’assurer de sa satisfaction. Les populations racisées constituent ainsi une réserve de main d’œuvre précieuse pour s’en assurer.
A vous lire, on se dit que la particularité d’Uber, par rapport à d’autres entreprises de plateformes, consiste dans l’écart considérable entre la promesse et la réalité, tant en ce qui concerne les revenus atteignables que les conditions de travail des chauffeurs qu’elle recrute. Car si l’entreprise s’est d’abord signalée par sa manière de contourner la réglementation régissant les taxis et dans le même temps de viser la constitution d’un monopole de fait, des buts pour lesquels elle a eu besoin de s’assurer la disponibilité d’une main d’œuvre nombreuse, elle a ensuite très vite utilisé contre ses chauffeurs les outils qu’elle leur avait tout d’abord vantés. Comment analyser ce retournement ?
Le modèle économique d’Uber repose sur les effets de réseau, lesquels font dépendre la valeur d’un service du nombre de ses utilisateurs : plus ce nombre augmente, plus sa valeur augmente. Cet effet est d’autant plus important dans un marché bi-face. Ainsi, plus il y a de chauffeurs Uber et plus les clients ont intérêt à utiliser cette application pour trouver rapidement un véhicule. De même, plus les clients utilisent Uber et plus les chauffeurs ont intérêt à travailler par son intermédiaire pour accroitre leurs chances d’obtenir des courses et d’augmenter leur niveau de rémunération. L’objectif est d’atteindre une masse critique d’utilisateurs des deux côtés du marché bi-face pour enclencher une dynamique dans laquelle tout le monde a intérêt à converger vers une plateforme unique, instaurant par là-même une situation de monopole ou de quasi-monopole.
Uber adopte ainsi systématiquement la même stratégie au moment de son implantation dans les trois métropoles étudiées. Pour attirer la clientèle, l’entreprise lui offre des courses gratuites ou des promotions importantes. Pour inciter les chauffeurs à travailler par son intermédiaire, elle leur offre des rémunérations élevées, et notamment des primes importantes. Ils se font alors les principaux promoteurs de la plateforme auprès de leur entourage. Uber est ainsi parvenue à s’imposer comme un acteur incontournable du secteur, mettant la concurrence en grande difficulté, qu’il s’agisse des chauffeurs privés à Paris, des opérateurs de minicabs à Londres, des taxis à Montréal. Si la plateforme a dans un premier temps utilisé des incitations économiques pour attirer les chauffeurs, ces derniers n’ont ensuite plus d’autre choix que de travailler par son intermédiaire s’ils veulent gagner leur vie. L’enquête démontre en effet que la plupart des chauffeurs ne travaillent que par l’intermédiaire d’Uber et, quand ce n’est pas le cas, ils ne réalisent qu’une part infime de leur chiffre d’affaires par l’intermédiaire des plateformes concurrentes.
Une fois qu’Uber dispose du nombre suffisant de chauffeurs, la plateforme supprime les primes, baisse les tarifs et augmente la commission qu’elle s’octroie sur chaque course (celle-ci passant de 15 à 25 %). Si ces derniers veulent maintenir leur niveau de rémunération, ils sont contraints d’allonger leur durée du travail. Le déploiement de la plateforme s’accompagne ainsi d’une dégradation des conditions de travail et de rémunération des chauffeurs.
Vous insistez sur le fait que les stratégies mises en œuvre par les chauffeurs pour maximiser leur revenu au regard du temps passé font finalement le jeu de la plateforme. Pourriez-vous expliciter ce point ?
En tirant les tarifs vers le bas, Uber incite les chauffeurs à allonger leur durée du travail et à privilégier les horaires atypiques. En effet, des majorations de tarifs (en fonction d’un coefficient multiplicateur) sont définies en temps réel en fonction de l’offre et de la demande sur certaines zones pour inciter les chauffeurs à se connecter ou à se déplacer en direction des zones dans lesquelles il en manque à l’instant t. Elles interviennent le plus souvent le matin très tôt, en fin de journée, la nuit et les week-ends. Pour limiter leur durée du travail, les chauffeurs cherchent néanmoins à optimiser leur temps. Au lieu de répondre aux incitations de la plateforme leur signalant des majorations, ils tâchent de les anticiper. Ayant acquis au fil du temps des connaissances concernant les périodes et les zones de forte demande et échangeant à ce propos sur les réseaux sociaux, ils adaptent leurs horaires et leurs déplacements pour limiter les temps d’attente et accroitre leurs chances d’obtenir des courses majorées. Mais alors même qu’ils ont le sentiment de se réapproprier la maîtrise de leur temps, ils ne font que satisfaire aux attentes de la plateforme. On peut en effet se demander si la diminution des majorations observée par les chauffeurs dans les trois métropoles n’est pas un des résultats de ces stratégies d’anticipation. A partir du moment où les chauffeurs sont au bon endroit au bon moment, Uber n’a plus à en faire usage pour les attirer. Cet exemple démontre l’efficacité de la nouvelle forme de contrôle déployée par Uber. Le management algorithmique permet ainsi de gouverner les conduites des chauffeurs à distance tout en leur donnant le sentiment qu’ils agissent librement.
Faire miroiter de meilleures conditions de rémunération, de travail, voire une plus grande considération est un moyen de capter une main d’œuvre importante, qui fonctionne tout particulièrement bien vis-à-vis de travailleurs racisés, et on peut observer dans l’histoire le même phénomène à l’œuvre à différentes époques, comme lorsqu’il s’est agit de recruter en masse des mineurs ou encore, plus tard, des OS dans l’automobile. Pensez-vous que le capitalisme de plateformes ne fasse que reproduire ce même schéma ou bien certains de ses traits le favoriseraient-il ?
De nombreux travaux sociologiques appréhendent la situation des travailleurs des plateformes en général, et des chauffeurs Uber en particulier, comme une nouvelle forme d’exploitation s’inscrivant dans la continuité d’un mouvement généralisé de précarisation du monde du travail débuté dans les années 1970. Cependant, du point de vue des travailleurs racisés, la situation n’est pas nouvelle tant l’histoire de l’emploi précaire est intrinsèquement liée à celle du travail immigré. La racialisation, désignant les logiques de production des hiérarchies raciales dans telle ou telle société donnée, est un principe d’organisation du capitalisme de plateforme. Si le « recrutement » des chauffeurs Uber s’inscrit en cela dans la continuité de celui des mineurs ou des OS de l’industrie, la plateforme peut être appréhendée comme une innovation du capitalisme racial. La combinaison du management algorithmique et de formes d’emploi ultra-flexibles participe d’une reconfiguration de l’emploi précaire qui se révèle particulièrement adaptée à l’exploitation des travailleurs racisés.
A lire également sur Nonfiction :
Sophie Bernard, Le Nouvel Esprit du salariat, Rémunérations, autonomie, inégalités, par Jean Bastien
Sarah Abdelnour, Dominique Méda, Les nouveaux travailleurs des applis, par Jean Bastien
Ce objet vous a fasciné vous aimerez tout autant ces ouvrages:
La Renault 16 de mon père.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Dyane De mon père.,Ouvrage Recommnandé par la presse.
La grande histoire des chars et véhicules blindés.,Ouvrage .
Supercars, le culte de la….,A voir et à lire. . Disponible sur internet.
Nous avons remarqué un papier sur le web dont la thématique est «voitures de collection».
Son titre (De sa Renault 8 à sa Golf GLI, ce Loirétain se passionne pour les voitures de collection et participera au Festival des vieilles roues) est parlant.
L’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat ) est positivement connu.
Les révélations publiées sont ainsi perçues crédibles.
Le Festival des vieilles roues mettra à l’honneur les voitures de collection, dimanche 28 mai à Thignonville, dans le Pithiverais. On retrouvera notamment le passionné Didier Brierre.
Bibliographie :
Génération 80 en 80 voitures.,Ouvrage Recommnandé par la presse.
Bereits im Jahr 1986 arbeitete Alfa Romeo an einer Hybridversion des Alfa 33. Der Toyota Prius wurde als Konzeptfahrzeug 1995 präsentiert, im Dezember 1997 erstmals als Serienwagen verkauft.
L’ingénieur d’Alfa Romeo utilise la plate-forme 33 Sport Wagon avec Boxermotor et 95 PS. Sie koppelten eine Elektromaschine mit 16 PS und eine gar nicht so kleine Batterie daran. Rund 150 kg Mehrgewicht brachte der Hybrid-Alfa auf die Waage under er konnte rund fünf Kilometer rein elektrisch fahren (mit maximal 60 km/h). Wurden beide Motoren genutzt, lag die Höchstgeschwindigkeit bei rund 140 km/h.
Drei Fahrzeuge entstanden, dann wurde das Projekt eingestellt. Zu einem Flottenversuch im italienischen Taxiwesen kam es nie.
Vergleicht man die Leistungswerte des 33 Ibrida mit denen des ersten Toyota Prius, dann schneidet der Alfa ziemlich gut ab. Vermutlich war es für Alfa Romeo aber trotzdem weise, nicht als Hybrid-Pionier antreten zu wollen. Schliesslich kostete es auch Toyota viel Energie und Geld, die Hybridtechnologie am Markt zu etablieren …
Voici un texte que je suis heureux de livrer ici sur notre blog. La thématique est « voitures de collection ». Son titre suggestif (Rolls Royce de Peter O’Toole, voiture fusée tarnaise… une vente insolite se déroule à Montastruc-la-Conseillère, près de Toulouse) en dit long.
Le journaliste (présenté sous le nom d’anonymat ) est positivement connu.
Vous pouvez prendre connaissance de ces révélations en confiance.
l’essentiel Plusieurs automobiles anciennes seront mises en vente aux enchères ce dimanche au Château de Lasserre , au nord de Toulouse. Parmi elles, quelles curiosités et modèles uniques…
Jour J ce dimanche! Le commissaire-priseur, propriétaire du Château de Lasserre, à Montastruc-la-Conseillère, au nord de Toulouse, propose une vente de voitures, dont certaines rares et originales, avec « plus de 200 pièces dont 70 véhicules tous issus de la collection d’un propriétaire également atypique, un Tarnais créateur, constructeur mécanique, pilote, écrivain… » confie son organisateur.
Dans le lot on remarque déjà quelques pièces uniques comme cette Rolls-Royce Corniche blanche qui, assure Stanislas Machoir « a été la propriété de la légende du cinéma Peter O’Toole ». Ce modèle de Rolls n’est pas rare mais celui présenté à Lasserre devrait séduire les collectionneurs en quête de véhicules au pedigree hors du commun. Celui-ci est très peu kilométré. C’est le cas également de cette Alpine Renault 1600 cm3, de 1970, caisse légère, vendue pour être « une première main », qui devrait séduire les amateurs de bolides anciens. Son prix pourrait dépasser les 80000 euros.La voiture est superbe, elle est devenue une vraie légende.
La fusée tarnaise , un monstre endormi unique au monde/DDM
Un étrange engin rouge, sorte de fusée sur roues, est également de la vente. « Jean Yves Attard, a réalisé dans les années 80 ce prototype auto pour essayer de battre le record du monde de vitesse sur le lac Salé aux USA , record crée par Malcolm Campbell et alors détenu pas l’anglais Richard Nobel à 1027 km/h. Il est équipé d’un moteur Rolls Royce simple turbine de 25.000 cv (consommation 100 l/ minute) et a été fait avec l’aide du Centre d’essai en Vol de Bretigny et Toulouse. Il doit alors avoir l’accord du chef des armées. Ce chef est le Président François Mitterrand qui donne son accord! Malheureusement un moteur double turbine surpasse celui d’Attard… », explique Stanislas Machoir. Quarante ans plus tard, ce créateur a décidé de lui confier la vente de son véhicule. »Une mise à prix de 20.000 euros est envisageable pour cette réalisation qui devrait être la figure de proue d’une collection privée ou d’un musée », estime le commissaire-priseur qui compte sur une envolée du prix pouvant atteindre, dit-il, « 100 000 euros ».
Moins étranges, mais tout aussi rares, d’autres automobiles susciteront sans doute l’intérêt comme cette Renault Vivastella; une Hupmobile de 1933; une Mercedes 220 SL cabriolet, une Lotus Europa…Aux côtés de ces belles endormies, certaines depuis plus de 50 ans (!) , tout une série d’objets liés à l’automobile seront également présentés à la vente.
La Citroën AMI 6, 8 et….,Ouvrage Recommnandé par la presse.
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