Ca se propage sur le web : Youpi ! Après la voiture, la transition écologique revient taper l’immobilier !

Je vous indique un nouvel éditorial qui va allonger notre revue de presse sur « voitures de collection ».

Son titre (Youpi ! Après la voiture, la transition écologique revient taper l’immobilier !) est évocateur.

Sachez que l’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.

Texte source :


Publié le 16 octobre 2022






A

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par h16

Il y a quelques semaines, je notais, consterné, que la transition écologique devenait doucement mais sûrement l’excuse facile et pratique pour tabasser juridiquement et fiscalement les automobilistes : moyennant une stigmatisation des voitures âgées ne répondant pas à des normes de plus en plus drastiques et déconnectées de la réalité, on allait enfin pouvoir interdire aux pauvres de se déplacer de façon autonome et ne laisser ce privilège qu’aux classes supérieures (celles qui votent comme il faut). L’aventure ne pouvait bien évidemment pas s’arrêter là : la transition écologique entend s’appliquer à tous, partout, tout le temps, et donc bien évidemment jusque dans vos foyers.

Ce n’est pas la première loi sur la propriété immobilière permettant à quelques douzaines de députés de définir ce qui est autorisé ou non dans votre foyer, mais c’est probablement la première fois qu’une loi suffira à précipiter directement dans le ravin tout le domaine de l’immobilier et de la construction en France.

Mise en place lors de la farce consternante de la Convention citoyenne pour le climat, en octobre 2019, la loi Climat et Résilience a été définitivement promulguée et publiée au Journal officiel le 24 août dernier. Elle entend pousser l’écologisme un peu partout dans le secteur de l’immobilier en France : au vu du succès retentissant des bonnes idées écologiques en matière alimentaire, de déplacements ou d’énergie, il aurait été dommage que les secteurs de la propriété foncière ou de la construction ne soient pas eux aussi copieusement sabotés par les lubies européennes et françaises dans le domaine écologique.

Au-delà des habituels hochets propagandistes (par exemple l’éducation à l’environnement dans les établissements scolaires, comme si ça manquait !) que cette loi introduit bien évidemment aux forceps, son objectif prétend être de lutter contre les passoires thermiques, ces affreuses constructions qui ont, outre le mauvais goût de ne pas être des cubes de béton new âge avec de mauvais bardages en bois virant au gris à la moindre intempérie, le désavantage d’avoir été isolées avec les savoirs d’un autre temps qui partait du principe qu’on disposerait, progressivement, de sources d’énergies de plus en plus abondantes et sûres.

Pari ancien et forcément idiot alors que l’humanité sortait de l’économie de pénurie pour entrer dans celle de l’abondance avec un nucléaire peu coûteux et terriblement efficace : tout le monde sait que rien ne bat les moulins à vent à l’arrêt et les panneaux photovoltaïques poussiéreux et qu’il vaut toujours mieux adapter sa consommation d’énergie au moins-disant plutôt qu’adapter la production, comme le montrent tous les pays du tiers monde vers lesquels la France se tourne et se dirige à petites foulées bondissantes.

Il va donc falloir isoler les cahutes françaises, vous n’y couperez pas. Et pour cela, rien de tel qu’introduire une échelle alphabétique, aussi arbitraire que simpliste et colorée, comme ces gommettes utilisées pour noter les élèves de la maternelle au collège. On placera les maisons dites passives (bien isolées en somme) à la note A, et on attribuera un G à ces tristes bidonvilles énergétiques dans lesquels trop de Français vivent encore, ces imbéciles !

Du reste, c’est logique : puisque l’électricité sera, on le sait, de plus en plus chère et de moins en moins stable, autant préparer consciencieusement la population à se peler les miches ou à devoir dépenser de plus en plus son épargne pour tenter d’amener son logement, décrété « passoire énergétique » par les autorités, à un niveau non-méprisable par nos élites bienveillantes.

Et pour inciter les récalcitrants à s’isoler (des autres avec le pass sanitaire, du froid en plein réchauffement climatique avec de la laine de verre et d’autres procédés inventifs), le législateur a concocté d’amusantes incitations avec notamment une obligation d’audits énergétiques (aussi coûteux qu’utiles, voyons !) puis, bien évidemment, une interdiction progressive de toute location d’un logement mal classé.

En substance, si votre logement est classé G, vous pouvez dire adieu à votre revenu locatif d’ici 2025. Vous aurez jusqu’en 2028 pour ceux classés F et 2034 pour les classés E. En substance, ce sont 4,4 millions de logements qui seront touchés d’ici 12 ans, dont 600 000 durant les trois prochaines années.

Eh oui : dans trois ans, 600 000 logements vont devenir impropres à la location.

Il faut avouer que dans un pays où les loyers sont déjà fort chers, et où l’on nous serine sans arrêt qu’il manque des millions de logements pour répondre à la demande, la manœuvre écolo-politique de l’actuel gouvernement laisse songeur : la pénurie supplémentaire va certainement accroître la demande et donc augmenter encore les loyers des biens disponibles, ce qui, en période d’inflation, est une idée particulièrement lumineuse. Ce serait comme supprimer des lits d’hôpitaux en pleine pandémie, tiens…

Mais le génie de nos législateurs et de nos politicards ne s’arrête pas là : pour qu’une partie de ces logements retrouve sa qualité de louable, il faudra faire des travaux. Les propriétaires, ces gros rentiers en haut-de-forme aux cigares dodus et au ventre bedonnant n’auront bien évidemment aucun mal à trouver l’argent pour les lancer, surtout que l’actuelle pénurie de main-d’œuvre dans les métiers du bâtiment n’existe pas, tout comme celle des matériaux de construction.

En somme, cette loi finement ouvragée arrive au meilleur moment : en créant de façon totalement artificielle des pénuries et de lourdes contraintes supplémentaires alors que l’on manque de matériaux, de bras et de logements, on peut garantir que les difficultés des Français à se loger décemment vont largement augmenter.

Actuellement, les familles modestes doivent déjà ruser pour s’en sortir entre les malus prohibitifs sur leur véhicule, le coût stratosphérique du carburant, les incessantes pluies d’impôts et de taxes et le renchérissement de la vie courante lié à une gestion catastrophique de la monnaie et de la dette. Les Gilets jaunes n’en furent d’ailleurs qu’une expression concrète.

Grâce aux efforts constants d’une poignée d’idéologues cossus et citadins, déconnectés des réalités de la France d’en bas, ces familles modestes vont maintenant aussi devoir lutter comme jamais auparavant pour simplement se loger.

Forcément, ça va bien se passer.

—-
Sur le web

Article publié initialement le 13 décembre 2021.

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Le guide de la Renault 4L.,Ouvrage Recommnandé par la presse.

Aston Martin (Coffret).,Ouvrage .

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A lire : Avant la retraite, cet ancien mécano aéronautique répare des vélos près de Pont-Audemer

A-lire-Avant-la-retraite-cet-ancien-mecano-aeronautique

A lire, ce texte sur internet dont le thème est « voitures de collection » et qui va vous séduire.

Son titre troublant (Avant la retraite, cet ancien mécano aéronautique répare des vélos près de Pont-Audemer) est parlant.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’auteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez ainsi vous fier aux infos qu’il diffuse.

L’éditorial a été diffusé à une date indiquée 2022-10-15 03:06:00.

Texte source dont il s’agit :

Thierry Pece, en pleine réparation de vélo !
Thierry Pece, en pleine réparation de vélo ! ©Yann Rivallan

Thierry Pece aime la mécanique. Il l’aime sous toutes ses formes. Il a, par exemple, l’habitude de réparer lui-même sa voiture. Mais dans sa jeunesse, au lieu de se lancer dans la classique mécanique automobile, il choisit une branche moins connue : la micromécanique. Et plutôt que de mettre les mains dans le cambouis, cet habitant de Lieurey, près de Pont-Audemer (Eure) s’est d’abord attaqué aux machines sophistiquées de la bijouterie-joaillerie.

Conception de pièces pour l’aéronautique

Il est ensuite passé dans une industrie verrière, où il travaillait auprès d’instruments de mesure avant de finalement entamer le gros de sa carrière au sein d’une entreprise spécialisée dans la conception de pièces pour l’aéronautique, à Vernon. Une entreprise qu’il rejoint en 1990 et où il restera 28 ans. Là-bas, il conçoit des prototypes et de petites pièces comme des cerveaux de commande « pour faire tourner un aileron d’avion, par exemple » ou encore des treuils de sauvetage pour hélicoptère.

Mais en fin d’année 2018, tout s’arrête brutalement. Il est licencié suite à une série de coupes salariales « stratégiques », explique-t-il. Il a alors 57 ans et doit encore cotiser un peu avant de prendre sa retraite. Pour ne rien arranger, la crise sanitaire frappe un an plus tard. Difficile de retrouver du boulot. Thierry Pece suit tout de même des stages professionnels et arrive à Dives-sur-Mer, dans le magasin de location et de vente de vélos, Dives Évasion. La nouvelle formule lui plaît rapidement. Certes moins technique que son ancien métier, le vélo « reste de la mécanique » et c’est tout ce qui compte.

Réparations de vélos à domicile

De fil en aiguille lui vient l’idée de créer son propre atelier de réparation de vélos, à son domicile de Lieurey. Aujourd’hui âgé de 60 ans, le presque retraité entame cette dernière aventure avant d’arrêter définitivement de travailler. Son atelier a ouvert au mois de juillet 2022 et propose tout type de réparations. Chambre à air, dérailleur, patins de freins…

Thierry Pece a aménagé un petit local juste à côté de sa maison pour en faire un véritable atelier de réparations de vélos.
Thierry Pece a aménagé un petit local juste à côté de sa maison pour en faire un véritable atelier de réparations de vélos. ©Yann Rivallan

Le leucoroyaltais a accumulé un bon stock de pièces de rechange et de l’outillage. Et, en cas de manque, il peut commander des pièces précises à partir d’un site professionnel.

Aujourd’hui, il se voit bien faire ça « jusqu’à 62 ans ». Le minimum pour la retraite. « Mais si ça marche bien, je continuerai peut-être six mois ou un an de plus. »

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Information pour vous : Jaguar Classic montre deux Type-C « Continuation »

Notre rédaction va mettre en pleine lumière ce papier qui vient d’être publié, dont le propos est «voitures de collection».

Le titre (Jaguar Classic montre deux Type-C « Continuation ») parle de lui-même.

Sachez que le journaliste (annoncé sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.

La date de parution est 2022-10-14 14:24:00.

Jaguar Classic a dévoilé des modèles C-type « Continuation » conçus pour célébrer la domination de l’original sur les 24 Heures du Mans 1953 où les types C ont terminé premier, deuxième, quatrième et …

A lire sur le même sujet:

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Sardaigne Un Voyage en Voiture.,Le livre Vu à la TV.

Le guide Peugeot 205 GTI rallye,….,A voir et à lire. Top 10 dans sa cathégorie.

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Dernière actualité toute fraiche : À la recherche d’un nouveau souffle

Voici un papier que notre équipe est heureuse de présenter ici sur notre blog. Le propos est « voitures de collection ».
Le titre (À la recherche d’un nouveau souffle) parle de lui-même.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», le rédacteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Vous pouvez en conséquence donner du crédit à cette édition.

La date de publication est 2022-10-13 20:23:00.

On avait presque oublié que la France organisait un Mondial de l’Automobile. Étalée sur six jours au lieu de 16, l’édition 2022 ne pourra logiquement pas atteindre le niveau de fréquentation d’il y a …

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Infos toute fraiche : Les voitures de collection les plus populaires en France sont tout sauf des surprises !

Cet article ayant pour thème « voitures de collection » se propage sur le web, nous avons projeté de vous le révéler ici.

Son titre séduisant (Les voitures de collection les plus populaires en France sont tout sauf des surprises !) en dit long.

Sachez que l’écrivain (présenté sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Voici lle « papier » :

Le Top 5 des voitures de collection les plus populaires et répandues en France comporte deux françaises qui vont renaître de leurs cendres. Pour Citroën, est-ce un raté ?

C’est bien connu, les constructeurs adorent puiser dans leur passé pour imaginer l’avenir. Combien de fois les marques automobiles ont fait référence à d’anciennes gloires, que ce soit pour des concepts, ou carrément pour l’arrivée d’un nouveau modèle ? Quasiment à chaque fois. C’est d’autant plus marqué chez Renault qui va relancer coup sur coup les « 4 » et « 5 » d’ici le milieu de la décennie. Et devinez quoi : ces deux autos sont parmi les plus populaires dans le marché de la collection, dominé par une certaine petite aux chevrons.

Renault a visé juste

A lire aussi : Prix des voitures de collection : peut-on expliquer l’irrationnel ?

La star des véhicules de collection en France est donc la Citroën 2CV, à plus de 22 000 immatriculations. La Renault 4 arrive en 3e position, et la R5 en 6e position. Et n’allez pas nécessairement croire que le public qui achète ces véhicules est nécessairement le retraité nostalgique d’une époque révolue : les jeunes s’intéressent également à ces modèles ! De bon augure, pour Renault qui relance ses gloires. Mais à regarder le classement, on ne peut s’empêcher qu’il y avait probablement un coup à jouer à relancer une 2CV pour Citroën.

Les voitures de collection les plus répandues en 2022

Modèle Immatriculations
ModèleCitroën 2CV Immatriculations23 136
ModèleVolkswagen Coccinelle Immatriculations8309
ModèleRenault 4 Immatriculations7403
ModèleFiat 500 Immatriculations4695
ModèleMG GT Immatriculations4141
ModèleRenault 5 Immatriculations4105
ModèlePeugeot 205 Immatriculations3588
ModèleCitroën Dyane Immatriculations3362
ModèleChevrolet Corvette Immatriculations2757
ModèleVolkswagen Golf Immatriculations2611
Publié le 13/10/2022 Mis à jour le 13/10/2022

Lecture:

Le guide de la 2CV.,Ouvrage Recommnandé par la presse.

Porsche 911, le plaisir à….,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

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Freddie Mercury : la sua Rolls Royce all’asta (benefica) par RM Sotheby’s


Freddie Mercury: la sua Rolls Royce all’asta (benefica) par RM Sotheby’s | Cyclo Otto

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Ceci circule sur internet : Filip Salens, concessionnaire automobile: “Parfois, la plaque d’immatriculation est plus importante que la voiture”

Ci-dessous un nouvel encart qui va allonger notre revue de presse sur « voitures de collection ».

Le titre (Filip Salens, concessionnaire automobile: “Parfois, la plaque d’immatriculation est plus importante que la voiture”) est évocateur.

Le journaliste (identifié sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.

La confiance est par conséquent grande en ce qui concerne ce post.

L’article :

La collection d’ancêtres de Filip et Maxim Salens reflète l’histoire familiale. Leur pièce maîtresse? La Daimler DS420 Limousine (1993).

Le week-end dernier, Maxim Salens (33 ans) a été repéré au Zoute Rally à Knokke au volant d’une Jaguar XK140 OTS (1956). Mais remontons dans le temps: il y a quarante ans, Salens père devient concessionnaire Jaguar. “Le 15 décembre 1979, j’ai commencé à travailler chez l’importateur – mon premier patron était Paul Buysse. Fin 1982, une concession Austin, Triumph, Rover, British Leyland et Jaguar s’est libérée à Bruges. Nous avions un petit garage à l’extérieur de la ville, avec un showroom au milieu”, se souvient Filip Saelens.

Filip Salens | Concessionnaire automobile retraité

  • Voiture de tous les jours: Range Rover V8 4.4 D Autobiography (2019) – BMW K 1600 Grand America (2020).
  • Joujou préféré: Triumph Rocket 3R 2500cc (2020).
  • La première: Citroën 2CV (1970).
  • La meilleure: Jaguar XKR-S (2011).
  • La pire: Rover SD2.
  • Vendue à regret: “La Jaguar Type E 2+2 V12 (1973), ainsi que deux versions avec un petit moteur, qui se sont retrouvées chez le président du Zaïre, Mobutu.”
  • Le rêve: Rolls-Royce Dawn.

Après 35 ans dans la région de Bruges, la concession est transférée à Hooglede, située une quarantaine de kilomètres plus au sud. L’ancien garage sert à abriter la collection privée constituée par Salens au fil des décennies: plus de vingt voitures et encore plus de motos, dont sa première Yamaha 350 R5 (1972), une Ducati Desmosedici (2008) dérivée de celle qui a remporté le MotoGP 2006, ainsi que deux Norton 850 (1978) toujours dans des caisses en bois. “Ce sont de vieux café racers qui étaient restés chez l’importateur Podevijn à Alost et ont été vendus aux enchères il y a une dizaine d’années: j’en voulais un et je me suis retrouvé avec les deux. Mais nous ne les avons jamais vus. Il faut peut-être encore les monter.” Maxim poursuit: “Un jour, j’ai voulu ouvrir les caisses, mais mon père a dit non: il craint de voir ce qui va en sortir.”

Nous sommes face à une Daimler XJC de 1978, aussi rare que superbe. “Une voiture originale. Sa technique n’est délicate que si on ne la connaît pas, ce qui n’est pas le cas pour cette 6 cylindres. Le réglage de la 12 cylindres, par contre, était plus compliqué.” La Jaguar XJS 4.0 Celebration Convertible (1996) est une des dernières et des plus complètes. “Une chouette voiture de balade”, déclare Filip Salens.

La Jaguar XK140 OTS (1956).
©Thomas Vanhaute

De nombreuses de voitures de la collection ont une valeur sentimentale, comme sa première 2CV. “Elle date du dernier jour de production au Portugal, le 27 juillet 1990. Nous l’avons ramenée ici en quatre jours.” Nous passons devant une Mini Riley (1969), une Cooper avec un petit coffre dans la version la plus luxueuse. “Elle est rare, surtout avec la boîte automatique à quatre vitesses. La Mini Moke (1989) est un tout-terrain conçu pour être parachuté dans les zones de guerre.”

La Mini Riley (1969) est une Cooper avec un petit coffre – ici dans sa version le plus luxueuse.
©Thomas Vanhaute

Avec le collecteur d’échappement d’un moteur V12, il a fait fabriquer un lustre et un vilebrequin a été transformé en pied d’une table Bulo. La collection reflète l’histoire familiale. “La Daimler 4.2 Sovereign (1982) a été notre première voiture de démonstration”, explique Filip. “Ensuite c’est devenu la voiture de mon père. Et la Daimler Six 4.0 V8 (1998) de mon frère a toujours sa plaque d’immatriculation d’origine.” La plaque peut être plus importante que la voiture. “Je ne veux pas prolonger la Mk II (1967), car je devrais rendre la plaque FS 001 d’origine.”

La Daimler DS420 Limousine (1993) n’affiche que 5.000 kilomètres au compteur et est en parfait état.
©Thomas Vanhaute

“J’ai grandi avec ces plaques”, poursuit Maxim. Il ouvre la portière de la Daimler DS420 Limousine (1993). “C’est une des dernières voitures avec conduite à gauche. Elle n’a que 5.000 kilomètres au compteur: elle est en parfait état. Elle a été construite dans l’ancienne usine de Jaguar, à Coventry.”

“La SP 250 ‘Dart’ (1963) a été la dernière Daimler avant que Jaguar ne reprenne la marque en 1960. En 1959, elle a été élue ‘voiture la plus laide’ au New York Motor Show. La London Metropolitan Police l’utilisait pour serrer les chauffards. Avec son moteur V8 et sa carrosserie légère en polyester, elle est super rapide et très agile. Nous avons participé à beaucoup de rallyes à bord de cette voiture.”

La SP 250 “Dart” (1963) a été la dernière Jaguar avant que Daimler ne reprenne la marque en 1960. En 1959, elle a été élue “voiture la plus laide” au New York Motor Show.
©Thomas Vanhaute

À l’époque, Daimler avait dû changer le nom du modèle afin d’éviter les conflits avec le conglomérat Chrysler. La Dodge “Dart” (1963) est également présente. “Un super cadeau de mon père, quand j’étudiais en Floride”, se souvient Maxim. “Il avait trouvé la voiture sur un site en ligne: elle était dans le Maine et il l’avait fait livrer à ma résidence universitaire, sur une remorque. On peut s’y installer à six, plus quatre cadavres dans le coffre. Comme mon père, j’aime la nostalgie. Après mon aventure américaine, je l’ai fait rapatrier. Une affaire coûteuse, car je ne l’ai plus jamais conduite.”

Parutions sur le même propos:

La PEUGEOT 305 de mon père.,Ouvrage .

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Peugeot V6, 50 ans de prestige….,A voir et à lire. Top 10 dans sa cathégorie.

PORSCHE, l’excellence.,Clicker Ici .

Ne manquez pas cette annonce : Il y a 50 ans, la commune avait sa pompe à essence

Voilà un éditorial que nous sommes heureux de livrer ici sur notre blog. Le propos est « voitures de collection ».
Son titre suggestif (Il y a 50 ans, la commune avait sa pompe à essence) est évocateur.

Sachez que l’éditorialiste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez lire ces révélations en toute sécurité.

L’encart a été édité à une date mentionnée 2022-10-12 22:05:00.

Les files d’attente s’allongent à l’entrée des stations-service en ce début d’automne et il faut s’armer de beaucoup de patience pour effectuer le plein de son véhicule, si tant est que l’on puisse y parvenir correctement.

En fouillant dans les archives des vieilles familles du village, on peut découvrir des photographies qui semblaient d’une banalité à l’époque, mais qui sont aujourd’hui un témoignage fort intéressant, et précieux, de la vie quotidienne dans le village à une époque où les services les plus classiques étaient offerts localement.

Installée sur la place de la Mairie

Ainsi, sur ce cliché pris au mois de mai 1965, on peut apercevoir, en arrière-plan, à gauche, une pompe à essence sur la place de la Mairie. Non, vous n’avez pas rêvé, c’est bien une pompe à essence !

C’était la famille Guérin, apparentée à la famille Beukmann toujours présente à Gajan, qui en assurait la gestion et la distribution du carburant. Cette illustration nous apprend que l’on pouvait s’approvisionner également, au même endroit, en bouteilles de gaz (pancarte en haut du portail à gauche).

Quant aux personnes qui trônent au pied du chêne disparu il a une vingtaine d’années, il s’agit, de gauche à droite, du correspondant Midi Libre, Paul Louche, du président de la cave coopérative vinicole, Jean Fabre, du maire de Gajan, Robert Servière et de l’historien local, Paul Bérin.

Nous étions à une époque où le mot proximité avait vraiment un sens et où les automobilistes n’étaient pas obligés de faire des kilomètres pour obtenir ce que l’on pouvait acquérir sur place.

Correspondant Midi Libre : 04 66 81 19 82

Parutions:

Mini, 60 ans.,Clicker Ici Best sellers.

Renault 4L.,Le livre . Distribué en librairie et centre commerciaux.

Porsche 944-924-968.,Clicker Ici . Disponible dans toutes les bonnes bibliothèques de votre département.

FERRARI, mythiques berlinettes.,Ouvrage .

Information toute fraiche : Malgré 100 milliards de dollars d’investissement, la voiture autonome reste un fiasco

Voici le principal d’un éditorial que je viens de voir sur le web. Le sujet va indéniablement vous convenir. Car le propos est « voitures anciennes ».

Son titre (Malgré 100 milliards de dollars d’investissement, la voiture autonome reste un fiasco) parle de lui-même.

Sachez que l’auteur (identifié sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur internet.

La crédibilité est de ce fait grande en ce qui concerne cet éditorial.

Sachez que la date de publication est 2022-10-11 03:34:00.

L’article dont il s’agit :

La voiture autonome est supposée être la prochaine révolution … Même les plus petits acteurs sont touchés : Aurora Innovation, une startup cofondée par Chris Urmson, l’ancien responsable des …

Livres sur un propos identique:

Apprendre l’anglais en Voiture: Histoires Courtes pour Débutants et Intermédiaires – A2 – B1.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Dyane De mon père.,Ouvrage .

Les plus belles Mopar.,Clicker Ici .

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Das Lebenswerk de Walter Brun (Oldtimer-Blogartikel du 11.10.2022) | (service auto)

Walter Brun avec Thierry Boutsen (© Daniel Reinhard)

Ein Buch mit sieben Siegeln, wie man so schön sagt, erlebte vor einigen Tagen in der « autobau erlebniswelt » in Romanshorn seine grossartige Taufe. Nach gut zwei Jahren harter Arbeit wurde eine der verrücktesten Buchideen in fast vollständigem Umfang verwirklicht.

Brun Buch (© Daniel Reinhard)

Ein Buch, nein drei, die das motorsportliche Lebenswerk von Walter Brun fast tagebuchmässig aufzeigen, wurde mit viel Prominenz vorgestellt.

Bruno Flückiger, Oscar Laurrari et Markus Hotz (© Daniel Reinhard)

Oscar Larrauri reiste extra aus Argentinien an, Thierry Boutsen aus Monaco, Massimo Sigala aus Italien, Jochen Mass et Harald Grohs, sowie Herbert Schnitzer aus Deutschland and natürlich viele lokale Motorsportler waren bei Fredy Lienhard in den « autobau » geladen. Eine passendere Location für das unglaubliche Lebenswerk gibt es ja wohl kaum.

Walter Brun, Fredy Lienhard et Edi Brandenberger (© Daniel Reinhard)

Walter Brun geniesst nicht nur in der Schweiz einen grossen Bekanntenkreis, nein im ganzen deutschsprachigen Raum ist er als ehemaliger Rennfahrer und Teambesitzer wohlbekannt.

Er bewegte vom Lotus Cortina im Jahre 1966, über die Porsches 956 und 962, bis hin zum Saleen 2009 über 43 Jahre sehr erfolgreich die verschiedensten Rennwagen. Seine eigenes Team in der Gruppe-C gewann 1986 die Teamweltmeisterschaft und selbst in der Königsklasse, der F1 (1988-90), war der Name Brun über drei Jahre mit von der Partie.

Fredy Lienhard et Jochen Mass (© Daniel Reinhard)

Die Idee eines Buches mit Fotos sämtlicher Gruppe-C und F1-Rennen aus dem Hause Brun wurde von Waltis Sohnemann Sacha immer mehr ausgeweitet, so dass zum Schluss in drei Bänden auf 960 Seiten mit rund 1200 Fotos jedes einzelne Rennen mit jedem dort anwesenden Brun- Auto, ganz egal ob in Europa, Japan oder Amerika, am Berg oder auf der Rundstrecke von 1966 bis 2009 dokumentiert werden. Gruppe-C, Formel 1, Berg-Europameisterschaft oder auch Interserie, alles findet seinen Platz und ist Jahr für Jahr aneinandergereiht.

Thierry Boutsen, Herbert Schnitzer et Jochen Mass bei der Buchtaufe (© Daniel Reinhard)

Man kann sich vorstellen, dass es über 30 oder 40, ja sogar 60 Jahre zurück nicht ganz einfach ist, mindestens ein Bild von jedem Auto in jedem Rennen aufzuspüren. Weltweit wurden Fotografen angeschrieben, die « dank » der Corona-Pandemie auch etwas Zeit fanden, in ihren Archiven zu wühlen und am Ende fehlten tatsächlich nur drei Bilder aus drei Interserie-Rennen (zwei von 1985 und eines von 1986).

Robert Weber et Sascha Brun (© Daniel Reinhard)

Die vier Autoren Sacha Brun, Peter Wyss, Eckhard Schimpf et Thomas Nehlert lieferten den im Vergleich zu den Bildern knapp gehaltenen Text, sowie natürlich die unzähligen Bildunterschriften.

Ein zufriedener Walter Bruno (© Daniel Reinhard)

Obwohl Walti sich in den letzten Jahren immer mehr vom Rennsport distanziert hat, sich mehr und mehr der Musik verschrieb, zeigte er doch eine grosse Zufriedenheit und Genugtuung über sein gigantisches Lebenswerk auf praktisch allen Rennstrecken dieses Planeten. In den über 50 Jahren blieben auch grosse Erfolge als Deutscher Meister, Europameister und Weltmeister nicht aus.

Für Interessierte ist das Buch, das auf 1000 Exemplare limitiert ist, für € 375.–
sur le site Web Sportfahrer-Zentrale
ab sofort bestellbar.