Je vous produit un nouvel encart qui va allonger notre revue de presse sur « voitures de collection ».
Son titre (Langon : à 67 ans et sans solution d’hébergement, Armand vit dans sa voiture) est évocateur.
Présenté sous la signature «d’anonymat
», l’éditorialiste est positivement connu.
Ce post peut de ce fait être pris au sérieux.
Par Lilou Boulanger Publié le
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« Avec 5€, je mange matin, midi et soir… Enfin, si on peut appeler ça manger, je grignote du pâté, du chorizo et une baguette », admet Armand Giraudel.
À 67 ans, il se retrouve à vivre dans sa voiture à Langon (Gironde), faute de solution d’hébergement.
Seul, sans famille et avec le RSA comme revenu, il lui est impossible de trouver une location.
Il ne sait pas comment il va réussir à passer l’hiver.
L’expulsion, point de départ des problèmes
Armand Giraudel vivait depuis 11 ans avec sa compagne dans la maison de cette dernière à Mazères (Gironde).
Malheureusement, sa compagne est décédée début 2022. Le couple n’a pas eu le temps et n’a pas pensé à se pacser pour qu’Armand puisse récupérer la maison à son décès.
« On a fait une erreur, c’est comme ça, je l’accepte », exprime le sexagénaire. Une simple lettre a été laissée par sa compagne chez le notaire, pour qu’il puisse jouir de la maison jusqu’à sa vente.
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Les enfants de la défunte souhaitent récupérer la maison. Alors Armand Giraudel a reçu l’huissier et les gendarmes le 5 septembre 2023 pour être expulsé.
J’ai encore toutes mes affaires là-bas et surtout, mon chat Toto.
Armand Giraudel, explique qu’il a vaguement cherché une solution de secours pendant un an, mais qu’avec ses revenus, il ne trouvait rien.
Surtout, il ne pensait pas que la maison devrait être vendue si rapidement, puisqu’il avait une lettre l’autorisant à rester.
Rester digne mentalement
Du jour au lendemain, Armand Giraudel se retrouve avec deux couvertures, quelques habits de rechange et sa voiture en guise de toit.
« Ce qui me fait mal, c’est que ma compagne n’aurait pas voulu que ça se passe comme ça. »
Si jusque-là, Armand Giraudel faisait bonne figure, il ne cache pas que vivre dans la rue, ça ne lui ressemble pas.
« Je vais à l’association des Lilas à Langon pour me laver régulièrement et avoir une bonne apparence. Je tiens à être propre, à me raser et ne pas avoir l’air négligé. »
Et dormir dans sa voiture n’est pas toujours synonyme de sécurité. Alors, le sexagénaire sillonne Langon à la recherche d’un coin calme pour la nuit.
« On n’a pas de solution d’hébergement à lui proposer »
L’homme est suivi par une assistante sociale à la maison des solidarités du Département, qui l’accompagne dans les démarches administratives.
Du côté du CCAS (centre communal d’action sociale) de Langon, l’adjointe en charge des solidarités, Jacqueline Dupiol, déplore cette situation.
On a rencontré ce monsieur, mais on n’a pas de solution d’hébergement à lui proposer. Je suis désolée pour lui, mais on est terriblement démunis.
L’élue explique que la ville ne dispose que de deux chambres d’urgence, et elles sont malheureusement déjà occupées. « Il y a plusieurs personnes qui vivent dans leur voiture également. »
Le CCAS de Langon enregistre une augmentation de sa fréquentation. « Avant, on avait des personnes qui avaient besoin d’une solution pour deux ou trois nuits, maintenant c’est pour du long terme. »
Il y a d’ailleurs de plus en plus de jeunes et de personnes très âgées. « Je comprends que les gens viennent sur Langon pour être au plus près des services, mais il n’y a pas assez de logements, c’est terrible », poursuit Jacqueline Dupiol.
Appel à la solidarité et à la générosité des Sud-Girondins
Ces derniers jours, Armand Giraudel n’a même plus le moral. Il vient de recevoir une facture du syndicat des eaux de Castets-et-Castillon pour son ancienne maison.
1311 m3 consommés soit plus de 2 000€ d’eau à payer.
Dès que j’ai 20 €, je les garde pour mettre de l’essence afin de pouvoir me chauffer pendant la nuit, ils veulent ma mort ou quoi.
Armand Giraudel en appelle à la solidarité et à la générosité des Sud-Girondins.
Le 5 novembre prochain, l’huissier revient à la maison pour lui ouvrir la porte afin qu’il récupère toutes ses affaires, son chat et ses meubles. Mais le sans domicile fixe n’a pas de solution de stockage.
Si vous pouvez l’aider, d’une quelconque manière, il est joignable au 06.66.95.17.85 (il ne peut que recevoir des appels et non en passer).
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Voilà un encart que notre staff est heureuse de livrer ici sur notre blog. La thématique est « voitures de collection ». Le titre suggestif (Dodge Challenger r/t plus classic hors homologation 4500e occasion essence – Paris, (75) Paris) est évocateur.
Annoncé sous le nom «d’anonymat », le rédacteur est positivement connu.
Vous pouvez de ce fait faire confiance à cette publication.
Caractéristiques
Marque : Dodge
Modèle : Challenger
Mise en Circu. : 10/2016
Kilométrage : 24.002km
Type d’annonce : Occasion
Référence : USCI_3771_155575
Rapport d’Expertise AutoSynthèse Identification, kilométrage, historique (administratif et entretien), caractéristiques et options,…
Description
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Voilà qui va vous convenir : Un nouveau papier que je viens de trouver sur le web et que nous vous reproduisons ci-dessous. Le thème est « voitures de collection ».
Le titre suggestif (L’origine de la force de la monnaie) est évocateur.
Sachez que l’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.
Vous pouvez lire ces informations en toute confiance.
L’article :
Au départ une monnaie était toujours une richesse transportable comme l’or, l’argent, le blé, le sel ou des plumes d’oiseau rare. Mais nous avons perdu le sens de la richesse qui n’est qu’un regard satisfait, envieux ou admiratif sur une marchandise, un symbole ou une institution (Amadou Toumani Touré disait qu’au Mali ils étaient riches de la famille). Ce regard n’est satisfait, envieux ou admiratif que par la qualité du travail qui a été nécessaire à la fabrication ou à l’obtention de cette marchandise, de ce symbole ou de cette institution. C’est donc sans aucun doute l’énergie humaine qui est la source de la force de la monnaie.
Trouver l’énergie humaine qui donnera sa force à la monnaie a toujours été l’apanage des puissants. Ce fut l’esclavage, le servage, le salariat avec toujours la tentation de la servitude volontaire sécurisante. Seul le salariat subsiste, au moins en occident, et l’impôt a pris le relais. Les nations puissantes sont allées chercher l’énergie humaine sous forme de richesses par des pillages ou des colonisations. Les empires anglais ou français sont allés chercher une énergie humaine dans leurs colonies pour donner force à leurs monnaies et ne pas observer de hausses des prix consécutives au moindre travail de leur propre peuple. Le cas de l’Allemagne hitlérienne est intéressant par la rapidité de la création du problème puis de sa solution. Elle a commencé par faire comme tout le monde en pillant les pays qu’elle avait vaincu et en augmentant parallèlement sa quantité de reichsmarks nourris par l’énergie humaine étrangère. Le problème a été résolu dès 1948 par les trois gouverneurs militaires de l’occupation occidentale qui ont supprimé 95% de la monnaie allemande en créant le deutsche mark valant un quart de dollar. Aujourd’hui après les empires et l’Allemagne, ce sont les USA qui ont fabriqué à l’infini des dollars qui ne trouvent leur force déjà utilisée qu’en allant pomper de l’énergie humaine sous forme de richesses sur presque toute la Terre. La solution déjà écrite d’un nouveau dollar valant probablement mille fois moins que le dollar actuel est assez peu imaginable sans perdre une guerre. En le comprenant, on comprend mieux que la guerre est le moyen commode de déculpabiliser ceux qui mettent un pays en incapacité de se contenter de l’énergie de son peuple.
La question se pose alors de savoir pourquoi nous avons totalement oublié que la force de l’argent ne vient que de l’énergie humaine et pourquoi cette évidence est cachée à l’université et même violemment reniée par tous ceux que cela dérange. Et nous en arrivons à la question : dans quel cas une évidence est-elle dérangeante ? Lorsqu’elle révèle une vérité soigneusement dissimulée. En tirant le fil on s’aperçoit que si l’énergie humaine n’est pas reconnue comme source de la force de la monnaie, c’est que l’on veut cacher au peuple le changement de paradigme effectué depuis la dernière guerre mondiale. De tous temps l’énergie humaine avait été dépensée avant d’être évaluée puis traduite en monnaie et véhiculée par elle. Or aujourd’hui nous inversons le temps en dépensant la monnaie avant de lui donner sa force et cela rend possible toutes les folies sans aucune exception. Les folies ont le besoin vital que le peuple ne soit pas conscient que l’on dépense pour elles aujourd’hui son énergie de demain. Utiliser l’énergie humaine demain sans contrepartie puisque déjà dépensée, c’est réinventer l’esclavage sans le dire et en laissant lâchement la patate chaude aux suivants. On comprend mieux pourquoi le peuple ne doit pas connaître la définition de la monnaie comme véhicule d’énergie humaine et se contenter de ses utilisations de moyen de paiement, d’unité de compte et de réserve de valeur. C’est aussi réducteur que de définir une voiture comme moyen de transport, protecteur des intempéries et défilement de paysages. Le peuple peut prendre ses week-ends, ses vacances, ses RTT et aller à la plage et au ski. Il doit ignorer qu’il scelle par ses plaisirs, l’esclavage de ses enfants.
Comment réagir ? La réaction habituelle est la guerre qui est le bouc émissaire parfait d’une baisse drastique du niveau de vie et qui exonère les vrais responsables qui sont les hauts fonctionnaires surpayés, nouvelle aristocratie inutile qui, en l’achetant, ont transformé leur victime, le peuple, en complice. Les Politiques, les médias et les juges n’existent que par la vitalité de la corne d’abondance imaginaire que le changement de paradigme a créée. Ils sont donc aux ordres « à l’insu de leur plein gré ». On voit à nouveau mal comment l’intelligence peut reprendre le manche et comment il serait possible d’éviter la guerre ou la révolution. Pour ceux qui croient que la France a débuté en 1789, c’est un retour aux sources.
Une première conclusion est qu’il est totalement inutile de perdre son temps à combattre en les isolant, chacune des folies qui ne sont toutes que des conséquences de la corne d’abondance imaginaire : wokisme, lgbt, immigration, féminisme, individualisme, laïcité, passage doucereux de l’égalité à l’identité homme femme. Elles ne sont toutes que des conséquences. C’est en comprenant l’origine de la force de la monnaie que tout pourra rentrer dans l’ordre. La nouvelle aristocratie, universitaire, ministérielle ou planquée dans les comités Théodule, a réussi le coup de maître que personne n’en ait envie.
Dans le cadre de notre devoir de vous alerter, nous publions ci-dessous un texte vu sur internet il y a quelques minutes. Le thème est «voitures de collection».
Le titre (le top 10 des incontournables – Masculin.com) est évocateur.
Sachez que l’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat ) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Vous pouvez ainsi vous fier aux infos qu’il divulgue.
L’éditorial a été diffusé à une date indiquée 2023-10-29 02:07:00.
Vous êtes plutôt 2CV ou Ford Mustang ? Quelles voitures de collection vous font le plus rêver ? En 2022, même si la cote de certains modèles s’envole, il n’est plus nécessaire de se ruiner pour prendre le volant d’une belle ancienne.
Voici donc les 10 véhicules de collection les plus convoités en France aujourd’hui.
Les hommes sont de grands enfants devant les voitures de collection
Elles ont plus de 30 ans, ne sont plus produites mais font pourtant fantasmer de nombreux hommes. Elles, ce sont les voitures de collection, bien sûr. Dans la foulée de salon comme Rétromobile à Paris ou Epoqu’Auto à Lyon, ces véhicules semblent susciter un intérêt croissant. Pour certains, investir dans une belle ancienne peut s’avérer plus valable que d’investir en bourse ou dans la pierre.
Mais alors que certains modèles voient leurs cours s’envoler à plusieurs dizaines de millions d’euros (notamment les Ferrari qui voient leurs prix flamber pendant les ventes aux enchères), d’autres restent encore accessibles au commun des mortels. C’est à ces voitures de collection que nous nous intéresserons ici, en se basant sur le baromètre annuel publié par l’association 40 millions d’automobilistes.
Voici peut-être la plus mythique des voitures françaises. Si elle a droit chaque année à son heure de gloire sur le Tour de France grâce à la caravane Cochonou, les « deuchistes » sont actifs tout au long de l’année.
Avec sa bouille inimitable et son moteur 2 cylindres, la petite Citroën bénéficie d’une cote d’amour intacte auprès du public. Et d’une cote estimée entre 6000 et 19 000 euros selon le modèle recherché (en bon état).
Ford a lancé sa dernière génération de Mustang en 2018 et la Mach-E électrique. Mais les versions qui font le plus rêver les collectionneurs ont été produites avant 1973.
Pour rappel, les premières Mustang sont sorties des usines en 1964 et c’est en 1968, avec le film Bullitt, que cette voiture est « entrée dans l’Histoire ». Dès lors, rien de surprenant à voir son prix s’envoler jusqu’à près de 60 000 euros pour les modèles les plus anciens.
La Mini du vingt-et-unième siècle est toujours sympathique. Mais en prenant du volume, elle a perdu ce qui faisait le charme de la « vraie » Mini. À savoir tout le caractère d’une voiture longue de 305 centimètres seulement, mais qui pouvait cacher un moteur de plus de 1000cm3 et 70 chevaux sous son capot.
Dans les années 1960, la Mini Cooper S pouvait filer jusqu’à 160km/h : une vraie bombe !
Faut-il vraiment présenter la « voiture du peuple » ? À l’instar de la 2CV en France, la Cox a été pensée pour la classe ouvrière allemande, pour être accessible au plus grand nombre. Les premiers prototypes ont été dessinés par Ferdinand Porsche himself et plus de 20 millions d’exemplaires ont été écoulés dans le monde depuis 1933. Sa cote actuelle, elle, peut grimper jusqu’à 40 000 euros.
Qui aurait pu croire, en 1968, que la Citroën Méhari deviendrait un véhicule aussi emblématique. Si elle n’a jamais été un grand succès commercial (moins de 150 000 exemplaires vendus tout au long de ses 20 années de carrière), cette « voiture de plage » a marqué son époque, en étant aussi pratique que fun à conduire.
Face à l’engouement qu’elle suscite aujourd’hui, Citroën a même décidé de la ressusciter en créant une version électrique, l’E-Méhari.
On ne compte plus les variantes de 911 produites par Porsche depuis son lancement en 1964. Mais à plus de 50 ans, l’iconique sportive allemande, toujours propulsée par son fameux moteur flat-six, fait rêver des millions de personnes à travers le monde.
Alors que son prix peut dépasser les 300 000 euros sur le marché du véhicule de collection, sa légende ne semble pas prête de s’éteindre.
Citroën est décidément très présent dans ce genre de classement – et on n’a même pas cité la Traction ! Celle qui a révolutionné l’automobile en 1955 a été la première à proposer des freins à disques de série. Mais elle était aussi dotée (selon les versions) d’une suspension hydropneumatique, de la direction assistée ou même de phares pivotants.
Pas un hasard si le Général De Gaulle en avait fait sa voiture présidentielle, ou si Emmanuel Macron roule aujourd’hui en… DS7 Crossback !
8. Volkswagen Combi
DR
Combien de voyageurs ont déjà rêvé de prendre la route au volant d’un Combi VW ? Le mythique Type II lancé en 1950 a vu sa production cesser définitivement au Brésil en décembre 2013. Entre-temps, le van allemand a traversé les époques et les continents sans prendre une ride.
Aujourd’hui, impossible d’en trouver un digne de ce nom à moins de 12 000 euros. Et il faut débourser jusqu’à 5 fois plus pour acquérir un modèle d’époque impeccable.
La TR6 n’est sans doute pas la voiture la plus connue du grand public. Produite de 1969 à 1976 seulement, la sportive anglaise a été vendue à près de 100 000 exemplaires.
Aujourd’hui, la descendante de la non moins emblématique Triumph TR3 symbolise le style British dans sa plus pure expression : l’élégance mêlée à la performance. Une classe intemporelle pour l’une des voitures de collection les plus prisées du moment.
C’est dans les années 1960 et 1970 que la marque Alpine a connu son heure de gloire. Notamment avec la berlinette A110. Taillée pour la compétition, cette voiture pouvait foncer jusqu’à près de 220 km/h et offrait des performances impressionnantes à l’époque.
Cinquante ans plus tard, l’Alpine A110 est revenue sur le devant de la scène, propulsée par un moteur 4 cylindres de 252 chevaux. Elle semble n’avoir rien perdu en sportivité, ni en élégance. De quoi prolonger le mythe de quelques dizaines d’années encore !
Bibliographie :
VENTURI, GT à la française.,Le livre Pour tous les pationnés.
Voilà un encart que notre rédaction est heureuse de divulguer ici sur notre blog. Le thème est « voitures de collection ».
Le titre (Voitures de cinéma. Comment « Qui a tué Paméla Rose » a transformé la Renault Fuego en collector ?) en dit long.
Identifié sous la signature «d’anonymat
», le pigiste est positivement connu pour d’autres papiers qu’il a publiés sur le web.
La confiance est en conséquence élevée en ce qui concerne cet article.
Le post a été diffusé à une date mentionnée 2023-10-27 23:05:00.
Voici ll’article :
“Mais qui a tué Pamela Rose ?” est un film français réalisé par Éric Lartigau et sorti en 2003. Porté par Kad Merad et Olivier Baroux, c’est une comédie qui parodie volontiers les films policiers américains.
D’ailleurs, si le film est intégralement tourné en France, l’intrigue se déroule aux États-Unis. Mais la voiture des héros est bien française, puisqu’il s’agit d’une Renault Fuego.
Deux flics pas bien malins
Le synopsis du film débute par le meutre d’une strip-teaseuse nommée Pamela Rose. Deux agents du FBI, Richard Bullit et Douglas Riper, sont chargés de mener l’enquête. Ils se heurtent au shérif Doug Marley, décidé à ne pas coopérer avec eux.
Pour retrouver le meurtrier de Pamela Rose, retrouvée morte dans une chambre d’hôtel, les deux agents du FBI, incarnés par Kad Merad et Olivier Baroux, disposent d’un flair très douteux, mais également de la voiture personnelle de Richard Bullit, une Renault Fuego.
Une voiture ringarde ?
Le choix de la Fuego ne doit rien au hasard. On devine que cette voiture, volontairement qualifiée de ringarde, fait partie de la panoplie obligatoire du flic raté. La Renault fait en effet figure d’incomprise dans l’histoire de l’automobile française.
Présentée comme “une Porsche française” lors de sa sortie, elle devait pourtant se contenter d’un moteur poussif et d’une base de Renault 18. L’arrivée de la version Turbo n’arrivera pas à la sortir de l’ornière.
Le mal était fait, et les années tuning allaient enterrer définitivement toute ambition de collection pour la Fuego. Mais c’était sans compter sur Kad Merad.
Une voiture de collection de prestige
Dans Qui a tué Pamela Rose ? L’agent Douglas Riper se voit obligé de faire équipe avec Richard Bullit. Ce dernier tient absolument à utiliser son véhicule personnel pour mener à bien l’enquête, ce qui n’est pas du goût de son équipier.
Une divergence qui donne lieu à un dialogue resté dans les mémoires des fans du film : “Cette caisse pourrie, comme vous dites, c’est une voiture de collection de prestige. Il n’y en a plus que trois qui roulent dans le monde, et moi j’ai la numéro quatre !”
Qui a re-tué Pamela Rose ?
Neuf ans après le premier opus, le duo comique revient en 2013 avec une suite : “Qui a re-tué Pamela Rose ?”. Si l’agent Ripper conduit une Chevrolet Caprice de 1987, c’est aussi parce que le film est cette fois tourné aux Etats-Unis, à Washington.
Pour les scènes tournées en France, l’équipe ne pouvant pas importer de véhicules depuis les États-Unis, elle réussit à trouver en région parisienne une Chevrolet Caprice de la même couleur et de la même année appartenant à un collectionneur. Mais pour l’agent Bullit, impossible de se passer de la Fuego.
Indispensable Fuego
L’agent Bullit roulera donc de nouveau en Renault Fuego, jaune cette fois-ci. A la grande surprise de Kad Merad, pas besoin d’en importer une à Washington : “On n’a même pas eu besoin d’importer la voiture de France parce que là-bas, il existe des clubs de Fuego ! Dans les années 1980, 20 000 Fuego ont été fabriquées aux États-Unis et des gens sont même venus nous voir sur le tournage avec leur Fuego. Je ne plaisante pas ! Ça m’a tué ! Les mecs sont aussi fans que ceux qui vouent un culte aux Mustang dans notre pays” déclare-t-il à la sortie du film.
La voiture fait désormais partie de la collection Movie Cars Central en région Parisienne. Alors, toujours ringarde la Fuego ?
Dans le cadre de notre objectif de vous alerter, nous publions ci-dessous un article vu sur le web ce jour. La thématique est «voitures de collection».
Le titre (L’origine de la force de la monnaie) est évocateur.
Identifié sous le nom «d’anonymat », le rédacteur est positivement connu.
La date de publication est 2023-10-28 03:23:00.
Au départ une monnaie était toujours une richesse transportable comme l’or, l’argent, le blé, le sel ou des plumes d’oiseau rare. Mais nous avons perdu le sens de la richesse qui n’est qu’un regard satisfait, envieux ou admiratif sur une marchandise, un symbole ou une institution (Amadou Toumani Touré disait qu’au Mali ils étaient riches de la famille). Ce regard n’est satisfait, envieux ou admiratif que par la qualité du travail qui a été nécessaire à la fabrication ou à l’obtention de cette marchandise, de ce symbole ou de cette institution. C’est donc sans aucun doute l’énergie humaine qui est la source de la force de la monnaie.
Trouver l’énergie humaine qui donnera sa force à la monnaie a toujours été l’apanage des puissants. Ce fut l’esclavage, le servage, le salariat avec toujours la tentation de la servitude volontaire sécurisante. Seul le salariat subsiste, au moins en occident, et l’impôt a pris le relais. Les nations puissantes sont allées chercher l’énergie humaine sous forme de richesses par des pillages ou des colonisations. Les empires anglais ou français sont allés chercher une énergie humaine dans leurs colonies pour donner force à leurs monnaies et ne pas observer de hausses des prix consécutives au moindre travail de leur propre peuple. Le cas de l’Allemagne hitlérienne est intéressant par la rapidité de la création du problème puis de sa solution. Elle a commencé par faire comme tout le monde en pillant les pays qu’elle avait vaincu et en augmentant parallèlement sa quantité de reichsmarks nourris par l’énergie humaine étrangère. Le problème a été résolu dès 1948 par les trois gouverneurs militaires de l’occupation occidentale qui ont supprimé 95% de la monnaie allemande en créant le deutsche mark valant un quart de dollar. Aujourd’hui après les empires et l’Allemagne, ce sont les USA qui ont fabriqué à l’infini des dollars qui ne trouvent leur force déjà utilisée qu’en allant pomper de l’énergie humaine sous forme de richesses sur presque toute la Terre. La solution déjà écrite d’un nouveau dollar valant probablement mille fois moins que le dollar actuel est assez peu imaginable sans perdre une guerre. En le comprenant, on comprend mieux que la guerre est le moyen commode de déculpabiliser ceux qui mettent un pays en incapacité de se contenter de l’énergie de son peuple.
La question se pose alors de savoir pourquoi nous avons totalement oublié que la force de l’argent ne vient que de l’énergie humaine et pourquoi cette évidence est cachée à l’université et même violemment reniée par tous ceux que cela dérange. Et nous en arrivons à la question : dans quel cas une évidence est-elle dérangeante ? Lorsqu’elle révèle une vérité soigneusement dissimulée. En tirant le fil on s’aperçoit que si l’énergie humaine n’est pas reconnue comme source de la force de la monnaie, c’est que l’on veut cacher au peuple le changement de paradigme effectué depuis la dernière guerre mondiale. De tous temps l’énergie humaine avait été dépensée avant d’être évaluée puis traduite en monnaie et véhiculée par elle. Or aujourd’hui nous inversons le temps en dépensant la monnaie avant de lui donner sa force et cela rend possible toutes les folies sans aucune exception. Les folies ont le besoin vital que le peuple ne soit pas conscient que l’on dépense pour elles aujourd’hui son énergie de demain. Utiliser l’énergie humaine demain sans contrepartie puisque déjà dépensée, c’est réinventer l’esclavage sans le dire et en laissant lâchement la patate chaude aux suivants. On comprend mieux pourquoi le peuple ne doit pas connaître la définition de la monnaie comme véhicule d’énergie humaine et se contenter de ses utilisations de moyen de paiement, d’unité de compte et de réserve de valeur. C’est aussi réducteur que de définir une voiture comme moyen de transport, protecteur des intempéries et défilement de paysages. Le peuple peut prendre ses week-ends, ses vacances, ses RTT et aller à la plage et au ski. Il doit ignorer qu’il scelle par ses plaisirs, l’esclavage de ses enfants.
Comment réagir ? La réaction habituelle est la guerre qui est le bouc émissaire parfait d’une baisse drastique du niveau de vie et qui exonère les vrais responsables qui sont les hauts fonctionnaires surpayés, nouvelle aristocratie inutile qui, en l’achetant, ont transformé leur victime, le peuple, en complice. Les Politiques, les médias et les juges n’existent que par la vitalité de la corne d’abondance imaginaire que le changement de paradigme a créée. Ils sont donc aux ordres « à l’insu de leur plein gré ». On voit à nouveau mal comment l’intelligence peut reprendre le manche et comment il serait possible d’éviter la guerre ou la révolution. Pour ceux qui croient que la France a débuté en 1789, c’est un retour aux sources.
Une première conclusion est qu’il est totalement inutile de perdre son temps à combattre en les isolant, chacune des folies qui ne sont toutes que des conséquences de la corne d’abondance imaginaire : wokisme, lgbt, immigration, féminisme, individualisme, laïcité, passage doucereux de l’égalité à l’identité homme femme. Elles ne sont toutes que des conséquences. C’est en comprenant l’origine de la force de la monnaie que tout pourra rentrer dans l’ordre. La nouvelle aristocratie, universitaire, ministérielle ou planquée dans les comités Théodule, a réussi le coup de maître que personne n’en ait envie.
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Farman, de l’aviation….,Ouvrage Recommnandé par la presse.
Fidèle à sa vocation, ce site va vous exposer un article qui se propage sur internet. La thématique est «voitures de collection».
Le titre (Minor Hotels ouvre son premier hôtel en Finlande avec le NH Collection Helsinki Grand Hansa ) est sans équivoque.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable.
Vous pouvez prendre connaissance de ces infos en toute confiance.
Propriétaire et exploitant de nombreux hôtels, le groupe hôtelier est fier d’annoncer l’ouverture d’un second établissement sur le marché nordique.
Le projet prévoit la réhabilitation de deux bâtiments historiques, en collaboration avec Ylva.
Minor Hotels, propriétaire, opérateur et investisseur hôtelier international qui compte plus de 530 hôtels dans 56 pays d’Asie-Pacifique, du Moyen-Orient, d’Afrique, de l’océan Indien, d’Europe, d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord, annonce l’ouverture de sa première propriété en Finlande – l’hôtel cinq étoiles NH Collection Helsinki Grand Hansa – dans le cadre de ses plans d’expansion dans la région.
L’établissement, dont l’ouverture est prévue au premier trimestre 2024, sera la deuxième propriété de Minor Hotels dans les pays nordiques après l’ouverture du NH Collection Copenhagen en 2021. Il est actuellement en cours de construction en partenariat avec Ylva. Cette nouvelle adresse se composera de deux des bâtiments les plus emblématiques et reconnaissables de la ville : le bâtiment Kaleva (connu sous le nom d’hôtel Seurahuone) et le New Student House (qui a abrité le célèbre hôtel Hansa entre 1924-1968), ainsi qu’une extension construite plus récemment. Le NH Collection Helsinki Grand Hansa proposera 224 chambres modernes, un restaurant, un lobby bar, un bar rooftop sur une terrasse spectaculaire et une vue à 360° sur le centre-ville d’Helsinki, un spa et centre de remise en forme, ainsi que neuf salles et espaces de réception.
Situé dans la rue principale d’Helsinki, Mannerheimintie, en face de la gare centrale, à 25 minutes en voiture et 33 minutes en train de l’aéroport, fait de cet hôtel un lieu idéal pour les voyageurs souhaitant séjourner au cœur de la ville.
Nous sommes heureux d’annoncer l’ouverture de notre première propriété en Finlande et d’accroître notre présence dans les pays nordiques. Nous pensons qu’il s’agit d’un marché avec un potentiel de croissance significatif pour Minor Hotels, c’est pourquoi nous investissons dans des propriétés emblématiques telles que le futur hôtel NH Collection Helsinki Grand Hansa et la propriété NH Collection Copenhague, Dilip Rajakarier, PDG de Minor International et de Minor Hotels.
Leea Tolvas, PDG d’Ylva, a déclaré : Nous sommes très heureux de l’arrivée sur le marché d’un nouvel opérateur, connu dans le monde entier pour ses destinations de luxe uniques. L’année dernière, 3,7 millions de nuitées ont été enregistrées à Helsinki, ce qui est bien supérieur à 2021. La croissance devrait se poursuivre et il y a de la place sur le marché pour des hôtels de haute qualité, en particulier pour les touristes sélectifs à la recherche de luxe et d’expériences haut de gamme.
NH Collection a récemment ouvert ses premiers hôtels au Moyen-Orient et en Asie : l’hôtel NH Collection Dubai The Palm et le NH Collection Maldives Havodda Resort. D’autres ajouts récents au portefeuille NH Collection en Europe incluent NH Collection Milano CityLife, NH Collection Frankfurt Spin Tower et NH Collection Prague Carlo IV. En outre, la marque prévoit d’ouvrir le NH Collection Chiang Mai Ping River en Thaïlande et le NH Collection Luang Prabang au Laos, tous deux en 2024, ainsi qu’un certain nombre de nouvelles propriétés en Chine au cours de l’année prochaine.
À propos de Minor Hotels Minor Hotels est un propriétaire, exploitant et investisseur hôtelier international, qui compte actuellement plus de 530 hôtels en activité. Minor Hotels explore constamment de nouvelles possibilités dans le secteur hôtelier avec un portefeuille de propriétés conçues pour attirer différents types de voyageurs, répondant à de nouveaux goûts ainsi qu’à des besoins personnels. Grâce aux établissements Anantara, Avani, Oaks, Tivoli, NH Collection, NH Hotels, nhow, Elewana, Marriott, Four Seasons, St. Regis, Radisson Blu et Minor International, Minor Hotels est présent dans 56 pays d’Asie-Pacifique, du Moyen-Orient, d’Afrique, de l’océan Indien, d’Europe, d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord. Avec des plans dynamiques pour développer les marques existantes et explorer des acquisitions stratégiques sur les marchés les plus opportuns, Minor Hotels poursuit la vision d’un monde plus passionné et interconnecté. Minor Hotels fait partie du programme de fidélité GHA DISCOVERY, qui permet aux voyageurs de savourer chaque moment chez eux ou à l’extérieur, tout en recevant une reconnaissance et des récompenses dans les hôtels et centres de villégiature participants du monde entier.
À propos d’Ylva Ylva a pour objectif de construire le Helsinki de demain. Nos activités commerciales se concentrent sur l’immobilier et la restauration. Ylva appartient à l’Union des étudiants de l’Université d’Helsinki. Depuis 150 ans, nous construisons pour les habitants d’Helsinki une ville où les idées convergent. Pour nous, la rentabilité est synonyme de décisions à long terme qui rendront possibles les 150 prochaines années. Notre parcours unique nous oblige à être des pionniers en termes d’ouverture et de durabilité et à nous engager dans le développement d’Helsinki.
Image d’illustration : NH Collection Helsinki Grand Hansa – Credits Ylva ARCO Architecture Company
Notre équipe vient de prendre connaissance de ce papier sur la thématique « voitures de collection ». Avec plaisir nous vous en fournissons le principal ici.
Son titre troublant (Chevrolet Caprice) est sans ambiguïté.
Présenté sous le nom «d’anonymat », l’éditorialiste est connu et fiable.
L’éditorial peut par conséquent être pris au sérieux.
Le papier a été divulgué à une date mentionnée 2023-10-27 06:12:00.
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Cet article ayant pour thématique « voitures de collection » a été décelé sur le web, nous avons voulu vous le publier sans attendre.
Son titre saisissant (Occitanie. Des faux procès-verbaux ont-ils été rédigés dans ce commissariat de police ?) parle de lui-même.
Identifié sous le nom «d’anonymat », le pigiste est connu et fiable pour d’autres articles qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez par conséquent vous fier aux infos qu’il donne.
La date de parution est 2023-10-27 03:04:00.
Par Maxence Dourlen Publié le 27 Oct 23 à 8:04
Voir mon actu
« On voit beaucoup de choses au cours d’une carrière, mais là, je dois dire que c’est tout à fait lunaire ! » Ce sont les mots de Dominique*, fonctionnaire de police chevronné basé en Occitanie depuis plusieurs années.
Ces choses, ce sont les affaires pour le moins suspectes qui secouent le commissariat d’Auch (Gers) depuis maintenant plusieurs mois. Des faux procès-verbaux présumés, notamment, qui ont été dénoncés à la hiérarchie à plusieurs reprises par des policiers locaux.
Une première affaire en 2021
La première « affaire » remonte au mois d’avril 2021, comme le rapportent nos confrères de La Dépêche. A l’époque, un adolescent roulait dangereusement et sans permis de conduire au volant d’une Peugeot 307 dans les rues d’Auch.
Finalement stoppé dans sa course par un trottoir, le mis en cause parvenait à prendre la fuite avant de faire la rencontre de la patrouille de police. De quelle façon ? C’est ici que les versions divergent…
Deux versions du procès verbal
Blessé à la hanche, le jeune garçon expliquait pendant son audition qu’il avait été « bloqué par la voiture » de police et qu’il avait « crié » de douleur. Deux procès verbaux ont été rédigés suite à cette interpellation par un binôme de fonctionnaires, Victor* et Sarah*, tous deux syndiqués à Alliance.
Actu Occitanie a pu les consulter et une différence nette apparait entre ces deux PV rédigés à une heure d’intervalle.
Dans le premier, à 15h57, les policiers disent « venir au contact de son véhicule pour éviter toutes autres manœuvres dangereuses qui mettraient en danger les personnes se trouvant sur la voie publique ».
Vidéos : en ce moment sur Actu
Une heure plus tard, un second procès verbal est rédigé. Le premier est simplement abandonné. Dans celui-ci, les policiers ne viennent plus au contact, mais « bloquent son véhicule ». Les mots ont un sens et cette façon de procéder ne laisse pas insensible au sein du commissariat.
Personne n’a cru l’adolescent lorsqu’il a parlé de cette intervention douteuse. Il avait beaucoup d’histoires derrière lui… Il disait qu’il s’était fait tamponner et écraser contre la voiture qu’il conduisait… On se doutait qu’il y avait un problème avec l’équipage à l’origine de l’interpellation.
Dans un autre document consulté par Actu Occitanie, un fonctionnaire impliqué ironise et indique « avoir un peu abîmé » la voiture de police.
Un signalement plus d’un an plus tard
Plusieurs mois plus tard, en octobre 2022, un signalement est fait auprès de l’inspection générale de la police nationale (IGPN) par un autre policier, Thomas* (syndicaliste de Unité SGP-Police Force ouvrière), interpellé par ce présumé faux PV. « Le procureur d’Auch a été saisi au titre de l’article 40 du Code de procédure pénale (CPP) suite à ce signalement, précise une source policière à Actu Occitanie. C’est loin d’être anodin… »
C’est finalement le procureur d’Agen (Lot-et-Garonne) qui a ouvert une enquête pour « faux et usage de faux en écriture publique aggravé ».
Nouvelle affaire en avril 2023
En avril 2023, bis repetita. Toujours avec la même implication du fonctionnaire, Victor*. Cette fois-ci, il s’agit d’une affaire de stupéfiants et d’un adolescent âgé de 14 ans arrêté en possession de drogue.
Le jeune garçon est ramené au commissariat, en compagnie de sa maman… mais l’officier de police judiciaire (OPJ) indique à son collègue Victor* qu’il n’avait aucun motif valable pour contrôler l’adolescent dans la rue. Ce dernier doit alors être remis à ses parents et la drogue (environ 10 grammes de résine de cannabis) doit être détruite.
Un groupe WhatsApp nommé « la Bope »
Au commissariat d’Auch, un groupe WhatsApp nommé « la Bope » (unité de police militaire brésilienne particulièrement violente et répressive) réunit plusieurs fonctionnaires de police. Selon une source policière, les membres « s’autoriseraient à franchir certaines limites concernant les méthodes d’interpellation ».
« Faux en écriture publique »
Une nouvelle fois, Victor* aurait fait le choix de rédiger un faux procès-verbal présumé impliquant l’adolescent dans un trafic de stupéfiants. Problème, l’ADS (adjoint de sécurité) – Etienne* – présent à ses côtés ce jour-là, refuse de signer la saisine et dresse un rapport d’intervention au directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) du Gers, René Pichon.
Je constate que quelques minutes après (l’avis de l’OPJ, N.D.L.R), que Victor*, rédige tout de même un procès verbal d’interpellation m’expliquant verbalement qu’il rajouterait […] qu’une transaction a eu lieu entre l’adolescent et une personne de type nord africaine vêtue de noire ayant pris la fuite à notre arrivée sur les lieux, afin qu’il y ait un motif de contrôle dans le procès verbal. Chose que je n’ai pas constaté sur place.
Sous l’impulsion de l’avocate du mineur, Me Sandra Vazquez, une plainte avec constitution de partie civile a été déposée au tribunal d’Agen. Une information judiciaire pour « faux en écriture publique » a ensuite été ouverte, comme l’expliquent nos confrères d’Off Investigation dans un dossier très complet. Information confirmée à Actu Occitanie.
L’avocate de cet adolescent a reçu énormément de documents qui ne laissent aucun doute concernant ces agissements. C’est accablant…
Des pressions
Dès lors, des pressions auraient été opérées, notamment sur l’adjoint de sécurité pour que son rapport soit plus « lisse », mais aussi sur l’officier de police judiciaire qui était de permanence lors des faits.
« Sa hiérarchie lui a demandé de faire un nouveau rapport pour que les faits soient atténués, confirme une source policière à Actu Occitanie. Un moyen de faire pression sur ce jeune homme… » qui a été récemment auditionné par un juge d’instruction du pôle criminel de la cour d’appel d’Agen.
Des pressions confirmées par le principal intéressé dans une attestation de témoin en mai 2023.
Le lanceur d’alerte également « inquiété »
Thomas*, le lanceur d’alerte, qui a aujourd’hui changé de service, a lui aussi été « inquiété », son identité ayant été révélée aux deux mis en cause, Victor* et Sarah*.
Ses motivations, le timing du signalement à l’IGPN ou encore son absence au moment des faits (tamponnage de l’ado en 2021) sont pointés du doigt. Une enquête pré-disciplinaire a notamment été demandée.
« Selon moi, sa dénonciation à l’IGPN pour une intervention sans victime, sans faute apparente, 18 mois après et alors qu’il n’était pas présent, est simplement scandaleuse ! », explique le directeur de la police du Gers à la chargée d’enquête administrative, dans des documents consultés par Actu Occitanie.
« J’ai appelé le collègue à l’IGPN Bordeaux, qui m’a fait savoir que ce n’était pas la première fois que Thomas* dénonçait ainsi Victor*. Il disait n’être pas inquiet pour les suites données. Je n’ai plus de nouvelles depuis, et je vais appeler le procureur de la République d’Agen pour me renseigner, en espérant qu’il classe sans suite. »
Une « méthode d’interception BAC »
Dans ce mail, René Pichon fait également état « d’une méthode d’interception BAC » pour évoquer l’affaire d’avril 2021. Un terme qui rappelle de près ou de loin le fameux « tamponnage » du premier procès verbal… « Elle est surtout illégale ! », peste une source proche du dossier.
L’enquête pré-disciplinaire (administrative) diligentée contre le lanceur d’alerte « a été clôturée » début septembre 2023 selon son avocate Me Sandra Vazquez, contactée par Actu Occitanie. Un avertissement lui a été donné. Aujourd’hui, il a changé de service et n’officie plus dans le Gers.
« C’est le seul agent a avoir été sanctionné à l’heure actuelle », précise David Leyraud, secrétaire zonal Alliance Sud.
De son côté, Thomas* a déposé plainte en gendarmerie pour dénonciation calomnieuse.
De la diffamation pour Alliance Police nationale
Sollicité par Actu Occitanie, le syndicat Alliance Police nationale – dont font partie Victor* et Sarah* – regrette cette situation et surtout la façon de procéder de certains fonctionnaires.
« Il n’y a pas de faux procès-verbaux, assure David Leyraud. Il s’agit plus de diffamations ou de rumeurs que de la réalité… Aucun collègue n’a été sanctionné administrativement ou pénalement dans cette affaire. Dans ce contexte-là, il n’y a aucune raison qu’Alliance n’accorde pas sa confiance aux collègues à ce jour. »
Le secrétaire zonal Alliance Sud regrette notamment que l’opprobre soit jetée sur les effectifs du commissariat d’Auch. Il appelle également « à la présomption d’innocence et à la fin de la république des rumeurs ».
Les policiers d’Auch sont systématiquement dénigrés. Psychologiquement c’est stressant pour eux… Laissons faire la justice et les autorités hiérarchiques administratives. Pour ceux qui se prêtent à la calomnie, je trouve cela très dommageable. Sous couvert d’anonymat et très peu de courage, il y a une forme d’acharnement.
Bientôt des interrogatoires
Différents documents transmis à Actu Occitanie laissent entendre que ces méthodes (faux procès verbaux) pourraient encore avoir lieu ces derniers temps, les principaux fonctionnaires concernés étant toujours en service.
Selon nos informations, l’IGPN doit réaliser un certain nombre d’interrogatoires ces prochaines semaines au commissariat d’Auch.
Sollicitée pour réagir sur toute cette affaire, la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) du Gers se refuse au moindre commentaire. « Des enquêtes judiciaires et administratives sont en cours. Nous laissons faire la justice. »
* Les noms ont été modifiés.
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