Relecture de l’article : Mini One occasion | Annonces-Automobile

Nous venons de lire cet article sur le thème « voitures de collection ». Avec régal nous vous en offrons le principal plus bas.

Le titre (Mini One occasion | Annonces-Automobile) en dit long.

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On revient sur l’article : ESSAI – Hyundai Kona Electric (2023) : objectif famille

Dans le cadre de notre vocation de vous informer, nous publions ci-dessous un éditorial vu sur internet il y a peu. Le sujet est «voitures de collection».

Le titre troublant (ESSAI – Hyundai Kona Electric (2023) : objectif famille) en dit long.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est positivement connu.

Vous pouvez donc vous fier aux infos qu’il divulgue.

Sachez que la date de publication est 2023-10-04 03:45:00.

Dans la foulée de sa version hybride, le Hyundai Kona de seconde génération débarque en 100 % électrique. Les dimensions ont sérieusement grimpé, le contenu techno est toujours plus riche, et le look original donne dans le Hyundai pur jus. Maintenant, reste à justifier ses tarifs costauds. Notre essai.

Chaque nouveauté Hyundai le confirme, ces dernières années : assumer la provoc’, quitte à choquer ou au moins surprendre, ça fonctionne… avec explosion des ventes à la clef. La métamorphose du constructeur coréen a commencé avec l’actuel Tucson (fin 2020), et s’est poursuivie avec les très disruptives Ioniq 5 et Ioniq 6 électriques. Le Kona se renouvelle donc dans le même esprit, et cultive sans complexe ce qui est devenu l’identité maison : surtout, ne ressembler à rien de ce que l’on croise habituellement sur nos routes ! On ne sait pas vraiment où poser les yeux, les lignes sont un peu tourmentées, tout en angles, et les motifs façon « pixels » (sur les bandeaux lumineux et boucliers avant / arrière) sont les seuls éléments partagés avec le reste de la famille Hyundai.


ESSAI – Hyundai Kona Electric (2023) : objectif famille

A 4,35 m de long, le nouveau Kona se place à mi-chemin entre un SUV urbain et un modèle du segment supérieur. Le look tout en angles rappelle le Tucson, en plus osé. Si il connait le même succès, l’audace sera payante.

Bon à savoir : anticiper l’achat et la revente.

Il est possible de connaitre la valeur de revente ou de reprise de votre véhicule grâce à la cote auto Turbo de votre Hyundai Kona, l’alternative à la côte Argus.

Curieux, tout comme ses proportions : à 4,35 m de long, le Kona est devenu plus gros que ses rivaux directs et se place en face du Honda HR-V (4,34 m), lui aussi entre deux eaux. Même un Peugeot 2008, l’un des plus imposants du segment, est plus court de 5 cm. En comparaison, un Renault Captur émarge à 4,23 m. Pas vraiment de surprise, en soi : nous avions déjà pu appréhender le nouveau Kona en version hybride classique (141 ch) au début de l’été. Par rapport à celle-ci, l’électrique se distingue essentiellement par la face avant spécifique, flanquée d’un bouclier plein et de la trappe de recharge.

A bord du Kona Electric : du volume !

Hormis les affichages propres à l’électrique sur l’instrumentation et l’écran central (toujours une large double dalle numérique composée de deux écrans de 12,3 pouces, de série), l’habitacle du Kona Electric est identique à celui de l’hybride. On en retrouve donc le même agencement épuré, et la planche de bord à l’horizontale (qui a le bon goût de conserver de vrais boutons notamment pour la ventilation !). Dommage, la présentation claire et nette ne masque pas quelques lacunes de construction. Les assemblages semblent plutôt sérieux, mais les matériaux sont inégaux (beaucoup de plastiques durs et pas très épais). Par contre, les graphismes de l’interface média sont soignés (et l’arborescence des menus parfois complexe).


ESSAI – Hyundai Kona Electric (2023) : objectif famille

L’habitacle est épuré, moderne, et l’équipement techno est complet. L’ambiance est flatteuse, mais dans le détail, certains matériaux déçoivent.

Logiquement, les dimensions en nette hausse (18 cm plus long que le précédent, dont 6 cm de plus d’empattement) profitent à l’habitabilité. A l’arrière, deux grands adultes (pas trois, sauf punition !) sont aussi bien reçus qu’à bord de n’importe quel SUV du segment supérieur. Un Peugeot 3008 ou un Renault Austral ne font guère mieux, en espace aux jambes comme en garde au toit. Seule nuance par rapport au Kona hybride, le plancher est légèrement rehaussé à cause de la batterie (peu gênant à l’usage). Le Kona soigne aussi ses aspects pratiques, avec un vaste rangement entre les sièges avant.

Côté bagages, le volume est là aussi en gros progrès par rapport au précédent. On compte 466 l, tout comme dans le Kona hybride, soit 100 l de plus que l’ancien Kona. La modularité est simple, en revanche : pas de banquette coulissante, mais le dossier se rabat tout de même en 3 parties et le coffre peut être séparé par un double plancher. Enfin, attention bienvenue, le capot avant dissimule un « frunk » de 27 l permettant de ranger les câbles de charge.


ESSAI – Hyundai Kona Electric (2023) : objectif famille

L’empattement sérieusement allongé (2,66 m) libère un espace généreux à l’arrière. Il y a de la place pour deux grands adultes, aux jambes comme à la tête.

Sur la route : enfin rigoureux… et confortable

Sans surprise, comme au volant de toute électrique, c’est la douceur de marche qui prime. Notre modèle d’essai, un sommet de gamme Executive de 217 ch, délivre des chronos énergiques (7,8 s de 0 à 100 km/h) et un agrément général de très bon niveau. Plus modeste, une version moins puissante (156 ch) d’entrée de gamme présente déjà des prestations très correctes. Dans les deux cas, la puissance est en légère hausse par rapport au précédent Kona, lui aussi proposé en deux niveaux à l’époque (136 et 204 ch).

En parallèle, le couple maximal est revenu à une valeur bien plus sage : 255 Nm, contre 395 Nm auparavant. Certes, le nouveau Kona accélère à peine moins fort (2 dixièmes de plus de 0 à 100 km/h à mettre aussi au compte d’une centaine de kg de plus) et les relances n’ont rien de spectaculaire. Au moins, le train avant arrive désormais à encaisser ce punch, sans les remontées parfois brutales et hasardeuses du précédent.

Le Kona est donc devenu bien plus rigoureux et efficace. Bien sûr, on n’attendra pas la moindre notion de sport. Il y a 1.773 kg à déplacer, la direction très légère (un peu trop) parait volontairement isolée au maximum, et le confort prime. Tout n’est pas parfait, l’amortissement tressaute encore sur certaines irrégularités (les jantes de 19 pouces de notre modèle n’arrangent rien) mais fait complètement oublier la raideur de son devancier. On profite maintenant d’un confort globalement feutré, à l’image du tempérament de l’auto : rassurant et homogène, à défaut d’être spécialement affûté. En revanche, les aides à la conduite, elles, le sont parfaitement ! Un peu trop même : l’alerte de survitesse, le dépassement de ligne… tout cela intervient avec zèle et force bip-bip horripilants. Et à chaque démarrage, il faut fouiller dans les menus pour leur couper le sifflet.  

Hyundai Kona Hybrid, un SUV compact plein d’ambition – Essai TURBO du 17/09/2023


ESSAI – Hyundai Kona Electric (2023) : objectif famille

La meilleure nouvelle concerne le comportement routier et le confort : le Kona est bien moins raide qu’auparavant, et le train avant arrive enfin à encaisser le couple (255 Nm, plus modeste qu’auparavant).

Autonomie, recharge : dans la bonne moyenne

Deux batteries sont toujours proposées au catalogue. L’entrée de gamme dispose désormais de 48 kWh (contre 39 kWh sur l’ancien), tandis que la version supérieure affiche toujours 65 kWh. En soi, la petite batterie présente déjà des prestations largement suffisantes pour un usage quotidien classique, sans longs trajets sur voie rapide : Hyundai annonce 377 km d’autonomie WLTP. Quant à la « grosse » batterie, on pourrait en principe espérer 514 km ! Chiffre qui tombe toutefois à 454 km avec les jantes de 19 pouces… En pratique, nous avons relevé une consommation plutôt modérée, à un peu moins de 17 kWh / 100 km, correspondant à une autonomie d’environ 380 km. Sans se priver de solliciter les 217 ch, notamment sur autoroute. Une conduite plus modérée permettrait donc sans trop d’efforts de parcourir 400 km sur une charge.

Enfin, si la régénération à plusieurs niveaux (via les palettes au volant) parait aussi efficace que plaisante à l’usage, le bilan à la borne est moins brillant : pas dramatique, mais les 100 kW maximum en charge rapide CCS le placent au même niveau que la plupart de ses concurrents (tout comme les Stellantis Fiat 600e ou Peugeot e-2008 par exemple). On compte ainsi 41 mn pour charger de 10 à 80 %. Même chose en charge classique AC, à 11 kW (environ 6 h de charge). Le Kona ne reposant pas sur une conception 800V comme ses cousines Ioniq, on se contente donc de technologie de recharge classique. Notons toutefois la présence d’une fonction V2L, permettant de charger des accessoires via la prise de la voiture.     


ESSAI – Hyundai Kona Electric (2023) : objectif famille

La consommation relevée sur notre essai tournait autour de 17 kWh/100 km, en parcours mixte. Avec un peu de retenue, on peut aisément prévoir 400 km sur une charge.

Tarifs, équipement : tout compris, ou presque

L’inflation reste limitée pour cette seconde génération. Heureusement, car l’ancien n’avait déjà rien de bon marché. Le Kona facture donc toujours ses qualités à des tarifs assez salés : à 40.850 € en entrée de gamme Intuitive avec la petite batterie (44.250 € en 65 kWh), il se place légèrement au-dessus de la concurrence. Son rival le plus proche, le e-2008, débute à 38.950 €. Le coréen n’est pas aussi abouti en comportement, mais peut se targuer d’une consommation légèrement plus favorable et d’un espace à bord généreux. Quand à Honda, le eNy1 (variante électrique du HR-V, pour rappel) offre des prestations comparables côté techno (68,8 kWh de batterie, 204 ch) mais se contente d’un coffre bien plus petit (344 l) et s’avère bien plus cher : 47.700 € minimum.

On en retient surtout l’équipement, technologique notamment, tout à fait généreux : régulateur adaptatif, GPS avec planificateur d’autonomie, caméra de recul, interface Carplay / Android sont présents d’office. Moyennant une rallonge de 1.000 €, la Creative ajoute les feux à Leds, les sièges et volant chauffants, ainsi que la sellerie cuir-tissu. Sans doute le meilleur compromis (présentation plus valorisante, mais toujours de modestes jantes de 17 pouces, plus favorables à l’autonomie et au confort).

Titre fiche technique

FIche technique Hyundai Kona Electric (2023)

Fiche technique

Modèle essayé : Hyundai Kona Electric Executive 65 kWh
Dimensions L x l x h 4,35 x 1,82 x 1,58 m
Volume mini / maxi du coffre 466 / 1.300 l
Empattement 2,66 m
Poids à vide 1.773 kg
Puissance – couple maximal 217 ch – 255 Nm
0 à 100 km/h – vitesse maximale 7,8 s – 172 km
Autonomie mixte annoncée – relevée 454 km (jantes 19 pouces) – 380 km
Capacité Batterie 65 kWh
Puissance recharge DC : 100 kW – AC : 11 kW

Hyundai Kona Electric : la fiche technique complète

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Que penser de ce texte : Mini One Classic

Fidèle à sa mission, ce blog va vous dévoiler un encart assez complet qui circule sur le web. Le sujet est «voitures de collection».

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La date d’édition est 2023-10-04 02:14:00.

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Edito tout frais : Pau : un mois sans voiture, le salon de l’étudiant et un coup de gueule, 5 infos à ne pas rater ce mercredi

Voici un éditorial que nous sommes heureux de dévoiler ici sur notre blog. Le thème est « voitures de collection ».
Le titre (Pau : un mois sans voiture, le salon de l’étudiant et un coup de gueule, 5 infos à ne pas rater ce mercredi) est évocateur.

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Sachez que la date d’édition est 2023-10-04 01:59:00.

Pau : un mois sans voiture, le salon de l’étudiant et un coup de gueule, 5 infos à ne pas rater ce mercredi

À Pau, les futurs étudiants invités à s’informer au Salon ce samedi

Archives Marc Zirnheld

publié le 4 octobre 2023 à 8h59.

Ce mercredi, on parle de ces automobilistes qui renoncent à leur voiture pendant un mois, du salon de l’étudiant qui arrive et d’un coup de gueule du Secours populaire.

Pau : ces automobilistes renoncent à leur voiture pendant un mois

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Dernière actu toute fraiche : Trois pilotes et 1 200 voitures de légende pour les 10 ans du Classic Festival au circuit de Nogaro

Cet article, dont le sujet est « voitures de collection », a été repéré sur le web, notre rédaction est heureuse de vous en proposer le contenu le plus fameux dans cette publication.

Son titre (Trois pilotes et 1 200 voitures de légende pour les 10 ans du Classic Festival au circuit de Nogaro) est parlant.

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Sachez que la date de publication est 2023-10-04 01:03:00.

Voici ll’article dont il s’agit :

l’essentiel
« Le plus grand musée automobile à ciel ouvert » accueille samedi et dimanche plus de 1200 voitures rares ainsi que trois pilotes légendaires : Henri Pescarolo, Jacques Laffitte et Jean Ragnotti.

Henri Pescarolo, Jacques Laffitte et Jean Ragnotti sont les invités d’honneur de la dixième édition du Classic Festival qu’accueillent samedi et dimanche Nogaro et son circuit. Ces trois « légendes » du sport auto se tiendront tout au long du week-end à la disposition du public pour des dédicaces, des selfies mais aussi pour évoquer le passé et le présent des disciplines dans lesquelles ils ont brillé.

Jean Ragnotti, c’est notamment 3 titres de champion du monde des rallyes et le Gascon Jacques Laffitte, 176 grands prix de F1 avec 6 victoires. Des victoires et des titres, Henri Pescarolo, détenteur absolu des participations (33) aux 24 heures du Mans, en a aussi plein le palmarès.
120 marques représentées

Mais au Classic Festival la liste des invités de marques ne se limite pas aux « têtes couronnées » qui ont gagné leurs galons volant en main. Les invitées de marque sont aussi et surtout, les innombrables marques qui s’y invitent dont beaucoup ont disparu et qui ont fait et font la grande et longue histoire mondiale de l’automobile.

Le public au plus près des belles mécaniques du temps jadis...
Le public au plus près des belles mécaniques du temps jadis…
DDM – ARCHIVES SEBASTIEN LAPEYRERE

Avec plus de 1200 voitures représentant 120 marques, cette 10e édition invite à visiter « le plus grand musée de l’automobile à ciel ouvert ». Un musée pour découvrir à quoi rassemblaient entre autres exemples, les voitures de marque Albatros, Allard, Cornil, De Tomaso, Delaye, Hampe, Osella, Moynet Sampson, Scora, Selex…

Pour ces « pépites » et toutes les autres, bichonnées par leurs propriétaires tout à leur bonheur de venir, parfois de très loin, les faire admirer « in Gers », pas de courses, pas de grilles de départ, de drapeau à damier et de podium sur le circuit Paul-Armagnac. Car le Classic Festival ce n’est pas un week-end de sport auto mais bien « deux journées du patrimoine automobile ». Un impressionnant rassemblement « sans visées sportives » mêlant des voitures de route « d’avant », « de l’époque », et des voitures de courses « de jadis » qui racontent l’automobile et ses évolutions au siècle dernier, souligne Benoît Abdelatif, directeur de l’organisation pour le compte de la société M3.

Un week-end festif

Avec le Tour Gascon (rallye touristique qui se déroule le samedi après-midi autour de Nogaro) et l’Armagnac Track (séances de roulage sur le circuit), la plupart de ces véhicules qui peuvent aussi prendre part au défilé en ville du samedi (18 heures) et à la parade Autosur Classic du dimanche (12 h 40/ 13 h30) sur le circuit, s’exposent autant de manière statique qu’en mouvement. Et « du mouvement » le Classic Festival en engendre avec aussi sa très prisée bourse d’échanges, son village marchand fort d’une quarantaine d’exposants et ses animations gratuites pour les enfants alors qu’en ville, le samedi à partir de 18 heures, sa Bodega Classic prend des airs de feria familiale.

Vaches landaises dans les arènes, banda endiablée, assiettes et verres partagés : depuis 10 ans, le Classic Festival a trouvé sa place dans le calendrier festif du circuit et de la ville.

Pratique : 14 euros l’entrée en prévente

Samedi 7 et dimanche 8 octobre. Ouverture des portes du circuit à 8 heures. Premiers roulages libres sur la piste organisés en «plateaux» à 8 h 30.
Tarifs 1 jour: 14€ en prévente jusqu’au 6 octobre, 20€ au guichet/ Tarifs 2 jours: 22€ en prévente, 30€ au guichet. Gratuit pour les moins de 14 ans accompagnés par un adulte. Parking gratuit. Le billet donne accès à l’ensemble du circuit (paddock, pit lane, tribunes, village marchand… Pus d’infos sur www.classicfestival.fr

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Ne manquez pas cette annonce : RMC s’engage avec vous : Voiture volée, son assurance refuse de lui rendre

Nous nous empressons de mettre en pleine lumière cet éditorial qui vient d’être publié, dont le thème est «voitures de collection».

Le titre (RMC s’engage avec vous : Voiture volée, son assurance refuse de lui rendre) est sans ambiguïté.

L’auteur (présenté sous le nom d’anonymat
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Vous pouvez lire ces infos en toute confiance.

La date de parution est 2023-10-03 07:02:00.

Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Benjamin Amar, professeur et syndicaliste. Et Thierry Moreau, journaliste médias. – Après le succès d’audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s’invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l’émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l’écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpère, chargée de plaidoyer Libertés à Amnesty International France. En simultané sur RMC Story.

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Revivez les meilleurs moments de la chaîne dans « Les Immanquables » avec Estelle Midi.

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Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Benjamin Amar, professeur et syndicaliste. Et Thierry Moreau, journaliste et ancien rédacteur en chef de Télé 7 jours. – Après le succès d’audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Remi Barret et sa bande, Estelle Denis s’invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l’émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l’écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpère, chargée de plaidoyer Libertés à Amnesty International France. En simultané sur RMC Story.

Revivez les meilleurs moments de la chaîne dans « Le Zapping RMC » avec Estelle Midi.

Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Benjamin Amar, professeur et syndicaliste. Et Thierry Moreau, journaliste et ancien rédacteur en chef de Télé 7 jours. – Après le succès d’audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s’invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l’émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l’écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpère, chargée de plaidoyer Libertés à Amnesty International France. En simultané sur RMC Story.

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Bibliographie :

Restaurez réparez votre….,Le livre Meilleur lecture.

Voiture de police en poursuite.,(la couverture) . Disponible à l’achat sur les plateformes Amazon, Fnac, Cultura ….

Apprendre l’espagnol en Voiture: Histoires Courtes pour Débutants et Intermédiaires A2 – B1: 12 Histoires Faciles en Espagnol et en Français pour Adultes et Enfants: Bilingue Text en Parallèle (B2).,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

La SAAB 900.,Ouvrage Recommnandé par la presse.

Article tout frais : Andalousie, sur la route des chefs-d’œuvre hispano-mauresques en van aménagé

Nous allons tout vous révéler sur cet encart qui vient d’être publié, dont le thème est «voitures de collection».

Le titre suggestif (Andalousie, sur la route des chefs-d’œuvre hispano-mauresques en van aménagé) parle de lui-même.

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Vous pouvez donc donner du crédit à cette édition.

L’article source mentionné :

Contact. Ronron du moteur… Le van avale les kilomètres avec gourmandise sur l’asphalte andalou. De Malaga à Grenade, de Tarifa à Séville, de Ronda à Cordoue, c’est le même éblouissement à travers le pare-brise. La même succession de plages blondes et de collines multicolores. Au volant de leurs fourgons aménagés, les routards ont déferlé sur le littoral d’Andalousie dès les années 1980. Icône d’un mode de vie alternatif, libre et proche de la nature, ce moyen de transport séduit désormais les voyageurs avides de découvertes en autonomie. Le patrimoine de la grande région du Sud espagnol est monumental. Il suffit donc de tirer sur le frein à main pour s’y griser de culture.

Les légendaires villages perchés, comme Ronda, sont les repères du voyage en van à travers la grande région du Sud espagnol. – Jean-Claude Urbain

Comme il a connu un miracle grec, l’Occident a connu un miracle arabo-musulman. Nos livres d’Histoire insistent peu sur l’apport de la civilisation andalouse à l’héritage européen. Elle a pourtant connu un âge d’or dont le rayonnement artistique, scientifique et philosophique a illuminé le Moyen Âge. Durant plus de 800 ans, les serviteurs d’Allah ont considéré le royaume d’al-Andalus comme l’antichambre du paradis. Avant d’être définitivement chassés de la péninsule ibérique par la reconquête catholique, les sultans éclairés y ont porté l’art de vivre oriental à son apogée.

Broderies de marbre, stalactites de stuc, ogives, arabesques… L’art mudéjar est l’adaptation du savoir-faire musulman au goût chrétien. – Jean-Claude Urbain

Modèles de tolérance et mécènes de génie, les princes arabes permirent à toutes les cultures d’Andalousie (wisigothe, juive, ibère, celte, berbère, etc.) de cohabiter et d’exprimer le meilleur d’elles-mêmes. Palais, forteresses, jardins, bains, mosquées… Leurs chefs-d’œuvre impressionnèrent tellement les seigneurs chrétiens que ces derniers utilisèrent à leur tour des artistes musulmans, les mudéjars, pour en prolonger l’influence. Cet effet de mélange est déjà très net à Grenade, où les minarets du vieux quartier de l’Albaicín ont tous été transformés en clochers.

Première étape : l’Alhambra

L’avantage du van sur un plus grand véhicule de type camping-car est qu’il permet de circuler aisément en ville pour stationner au plus près des sites remarquables. À Grenade, des parkings très bien intégrés donnent aux conducteurs un accès immédiat à la plus majestueuse acropole médiévale du monde méditerranéen. La « colline rouge » de l’Alhambra est un prodige architectural. Défendue par de hauts remparts, elle fut d’abord conçue pour être une forteresse, une Alcazaba. Mais en 1238, Muhammad Ier, le fondateur de la dynastie des Nasrides, décida d’y implanter sa cour. Quel contraste, depuis, entre l’austérité extérieure de la cité palatine et l’exquise délicatesse de ses espaces intérieurs ! Au fil des ajouts par les califes successifs, l’Alhambra est devenue un temple de volupté et de sophistication.

Dominant le palais des califes Nasrides, les jardins du Generalife constituaient leur palais d’été. – Jean-Claude Urbain

Conçus pour le repos et le plaisir des sens, les vergers en terrasses, les balcons, bassins et fontaines du Generalife complètent la perfection de l’Alhambra. L’empereur Charles Quint en fut tellement épris qu’il y imprima lui aussi sa marque. Et c’est l’addition singulière de son palais Renaissance qui favorisa, à travers les siècles, le respect pour le reste du site originel.

Le van est la maison roulante des voyageurs en Andalousie. Literie, kitchenette, douchette… Tout est parfaitement intégré. – Gauthier Graffeuille/VanBreak

L’apport d’al-Andalus à la culture occidentale est cependant loin de se limiter à cet aspect patrimonial. Il est toujours capital dans notre quotidien. Les voyageurs qui apprécient aujourd’hui de dormir, de prendre leur petit-déjeuner et de se changer dans l’intimité de leur van peuvent remercier l’Andalousie d’avoir introduit le coton et le sucre en Europe. C’est d’Andalousie encore que se répandit l’usage de la soie, du papier, de la poudre à canon et des moulins. Le royaume a également participé à l’invention d’instruments de navigation et aux progrès des mathématiques, en particulier de l’algèbre, dont le mot même est arabe.

Une culture aux multiples visages

Les double-voies gratuites Autovias d’Andalousie poursuivent leurs ondulations à travers les alignements impeccables d’oliviers. Çà et là, dans le flamboiement de leurs murs blancs, des villages perchés se dorent au soleil. Antequera, Olvera, Zahara de la Sierra, Arcos de la Frontera, Carmona… Et voilà enfin Séville, la capitale régionale, qui résume à elle seule toute la complexité de l’âme andalouse : la nonchalance ensoleillée, la ferveur religieuse, la convivialité des bodegas, la férocité des corridas et l’orgueil fiévreux du flamenco, sans oublier la sensualité des bains arabes.

Les gitans ont accompagné le repeuplement chrétien de l’Andalousie. Leur flamenco passionné est indissociable de la région. – Jean-Claude Urbain

Au cœur de la cité, quelques centaines de mètres suffisent pour passer de la verticalité gothique à la géométrie mudéjare, là où l’immense cathédrale Notre-Dame-du-Siège côtoie le palais de l’Alcazar. Tous les deux sont classés au Patrimoine mondial de l’Unesco. La première célèbre l’union des styles qui caractérise toute la région. Couronnée d’une « girouette » chrétienne, sa tour Giralda fut d’abord un minaret de 93 mètres de haut, similaire à celui de la Koutoubia de Marrakech. C’est ici, entre les ors et les volutes, que reposerait l’explorateur Christophe Colomb, qui découvrit le Nouveau Monde en 1492, l’année de la chute de Grenade.

Inspirée du minaret de la mosquée de Marrakech, la tour Giralda est devenue le clocher de la cathédrale de Séville après la reconquête. – Jean-Claude Urbain

Quant à l’Alcazar, on l’appelle aussi le « palais mudéjar ». Ses hautes murailles cachent des patios décorés de céramiques et de dentelles de stucs, travaillées à la mode arabe sur demande des souverains catholiques. C’est à Pedro Ier que l’on doit son aspect actuel. Le roi de Castille-León fit collaborer les artisans de l’Alhambra avec les artisans sévillans pour transformer l’Alcazar en parfait exemple d’architecture hispano-mauresque. Symbole de ce métissage, les inscriptions de la façade chantent à la fois les louanges de Don Pedro et d’Allah.

Prochaine étape, Cordoue : 140 kilomètres.

Au faîte de la civilisation

Dans l’ancienne ville du calife Abd al-Rahman III, c’est dans la chair de la Mezquita-Catedral que se consomme le mariage des cultures. Entreprise au VIIIe siècle et achevée à la fin du Xe, la grande mosquée de Cordoue fut transformée en cathédrale catholique au XIIIe. Deux organisations architecturales, deux religions, deux époques s’entrelacent ainsi dans le même espace sacré.

Où trouver dans le monde une plus belle forêt de colonnes que dans la Mezquita de Cordoue ? – Jean-Claude Urbain

Alentour, dans les ruelles tortueuses de la Juderia, le charme des courettes et des balcons fleuris font rêver à cette ancienne métropole qui rivalisait de splendeurs avec Constantinople et Bagdad. Ses rues étaient déjà assainies et éclairées au crépuscule quand celles de Paris n’étaient encore que de boueux coupe-gorge. Mais cette Cordoue des poètes et des musiciens, des théologiens et des médecins fut surtout la capitale du savoir. Ses bibliothèques réunirent jusqu’à 500.000 volumes !

Idéal équilibre entre la puissance et la grâce, le cheval andalou est la fierté des écuries royales de Cordoue. – Jean-Claude Urbain

À une dizaine de kilomètres, Madinat al-Zahra, la « Cité brillante » achève le périple à travers la légende d’al-Andalus. Ici, Abd al-Rahman III voulut doter son royaume d’une capitale digne de ses ambitions. Une ville-palais dont la splendeur et l’agencement rigoureux illustreraient une double fonction politique et idéologique. Sa construction commença en 936. Elle était presque achevée à sa mort, en 961. Moins d’un siècle plus tard, il n’en restait plus que des ruines…

Symbole éphémère de la puissance du califat, Madinat al-Zahra est aussi celui de sa ruine. – Jean-Claude Urbain

Cet ultime site est un des plus précieux témoignages de ce moment unique de l’Histoire. Au passage de l’an mille, les villes cosmopolites et avant-gardistes d’Andalousie ont permis aux cultures de dialoguer jusqu’à atteindre un degré inégalé de civilisation. Mille ans plus tard, où en sommes-nous ? Les démonstrations de puissance ne résident plus dans les fastes architecturaux, mais dans la maîtrise de l’énergie. Et ce sont des parcs d’éoliennes gigantesques qui escortent le van sur le chemin du retour.

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On revient sur l’éditorial : Le top 5 des voitures de collection les plus chère…

Voici les « bonnes pages » d’un texte que notre équipe vient de remarquer sur internet. Le propos va sans aucun doute vous ravir. Car la thématique est « voitures anciennes ».

Le titre saisissant (Le top 5 des voitures de collection les plus chère…) est sans confusion.

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L’éditorial a été diffusé à une date indiquée 2023-10-03 07:00:00.

Le marché de la voiture de collection continue de très bien se porter. Et c’est normal : avec l’avènement de la voiture électrique, nombreux sont ceux qui souhaitent renouer avec les sensations du passé. Et ils ne sont pas les seuls : la répression grandissante sur nos routes entraîne aussi un glissement des acheteurs de voitures sportives vers des modèles de collection voués certes aux balades, mais qui offrent toujours un plaisir mécanique. Pourquoi pas ?

Naturellement, le marché du oldtimer est vaste et varié. Aussi dans ses tarifs. Il n’est pas rare en effet que certains modèles mis aux enchères trouvent preneur à plusieurs millions d’euros lorsqu’il ne reste que deux ou trois exemplaires sur terre. Nous serons toutefois moins sélectifs : voici donc un petit tour des modèles qui resteront certes l’apanage de quelques privilégiés, mais qu’il est bon de se remémorer.

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Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut Coupé

135 millions d’euros : voilà ce qu’a coûté récemment cette Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut Coupé de 1955 à un amateur de voitures anciennes. Et pour cause : ce modèle n’existe qu’à deux exemplaires. C’est dire son caractère unique. Cette 300 SLR a été vendue par la maison d’enchères RM Sotheby’s à Stuttgart et son prix de vente constitue un record absolu, le précédent record étant détenu par une Ferrari 250 GTO vendue 70 millions d’euros en 2019. Le propriétaire a d’ores et déjà accepté de mettre cet exemplaire à disposition de certaines manifestations haut de gamme. L’autre exemplaire restera par contre la propriété de Mercedes-Benz.

Porsche 911 « 993 » GT2

Oui, cette Porsche est exceptionnelle. Apparue en 1993, la 911 GT2 est une version allégée et plus puissante de la 911 Turbo et elle était destinée avant tout à la compétition. Initialement son moteur développait 430 ch, mais elle en a affiché 450 ch en 1998. La production a été limitée à seulement 57 exemplaires, ce qui justifie un prix estimé entre 1 million et 1,3 million d’euros. Intéressé ? Un exemplaire sera mis en vente au prochain Zoute Grand Prix.

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McLaren F1

On ne présente plus la McLaren F1 qui, lancée en 1993, et qui avait était développée et construite par McLaren Cars, une filiale britannique McLaren Technology Group qui, entre autres, possède l’écurie de Formule 1 McLaren Racing. Entre 1993 et 1998, 107 exemplaires furent construits, tous équipés du V12 atmosphérique de BMW (V12 à 60° de 6,1 litres de cylindrée développant une puissance de 627 ch). Monté dans cette (presque) monoplace de seulement 1.140 kg, les sensations étaient évidemment au rendez-vous et les sorties de route aussi comme doit sans doute d’en souvenir Rowan Atkinson, alias Mister Bean. Pas donné au départ, le modèle voit ses prix flamber actuellement avec des enchères qui peuvent atteindre les 30 millions d’euros.

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BMW M3 Coupé « E30 »

La M3 « E30 », c’est en réalité la toute première M3 et elle avait été construite pour obtenir une homologation pour le championnat allemand des voitures de tourisme.  Le modèle a été construit entre 1987 et 1991. Elle a connu diverses évolutions avec un 4 cylindres de 2,3 litres de 200 ch qui est passé à 2,5 litres et 238 ch en fin de carrière. Près de 18.000 exemplaires ont été produits (en comptabilisant la carrosserie cabriolet, moins de 1.000 exemplaires), mais elle vaut encore entre 120.000 et 160.000 euros à la revente. Votre grand-père n’aurait pas conservé la sienne par hasard ?

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Ferrari Dino

En fait, il ne faut pas dire Ferrari Dino, mais Dino tout court, car cette marque était en réalité une filiale de Ferrari qui a construit les 246 GT/GTS (24 pour 2,4 Litres, et 6 pour 6 cylindres, 195 ch) pour rendre hommage à Dino Ferrari, le fils aîné d’Enzo Ferrari disparu prématurément, mais aussi pour répondre à Porsche qui connaissait un vrai succès avec la 911. À noter que Ferrari lança préalablement à la 246 la 206 GT (165 ch). Le modèle fut construit entre 1969 et 1974 à un peu plus de 3.700 exemplaires. Il n’y aura pas de suite pour la marque Dino et c’est probablement pour cette raison que les prix de vente atteignent des sommets : 450.000 euros l’unité.

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Infos pour vous : Et si l’écologie, c’était plutôt de rouler avec nos vieilles voitures

Nous allons tout vous révéler sur ce post qui vient d’être publié, dont la thématique est «voitures de collection».

Le titre (Et si l’écologie, c’était plutôt de rouler avec nos vieilles voitures) en dit long.

Sachez que le journaliste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez donc faire confiance aux infos qu’il donne.

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L’urgence écologique nous impose désormais de repenser nos mobilités, seul secteur pour lequel les émissions n’ont jamais cessé de croître.

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