Dernière actu toute fraiche : Trois pilotes et 1 200 voitures de légende pour les 10 ans du Classic Festival au circuit de Nogaro

Cet article, dont le sujet est « voitures de collection », a été repéré sur le web, notre rédaction est heureuse de vous en proposer le contenu le plus fameux dans cette publication.

Son titre (Trois pilotes et 1 200 voitures de légende pour les 10 ans du Classic Festival au circuit de Nogaro) est parlant.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», le pigiste est connu et fiable pour d’autres articles qu’il a publiés sur le web.

La confiance est en conséquence substantielle concernant cet article.

Sachez que la date de publication est 2023-10-04 01:03:00.

Voici ll’article dont il s’agit :

l’essentiel
« Le plus grand musée automobile à ciel ouvert » accueille samedi et dimanche plus de 1200 voitures rares ainsi que trois pilotes légendaires : Henri Pescarolo, Jacques Laffitte et Jean Ragnotti.

Henri Pescarolo, Jacques Laffitte et Jean Ragnotti sont les invités d’honneur de la dixième édition du Classic Festival qu’accueillent samedi et dimanche Nogaro et son circuit. Ces trois « légendes » du sport auto se tiendront tout au long du week-end à la disposition du public pour des dédicaces, des selfies mais aussi pour évoquer le passé et le présent des disciplines dans lesquelles ils ont brillé.

Jean Ragnotti, c’est notamment 3 titres de champion du monde des rallyes et le Gascon Jacques Laffitte, 176 grands prix de F1 avec 6 victoires. Des victoires et des titres, Henri Pescarolo, détenteur absolu des participations (33) aux 24 heures du Mans, en a aussi plein le palmarès.
120 marques représentées

Mais au Classic Festival la liste des invités de marques ne se limite pas aux « têtes couronnées » qui ont gagné leurs galons volant en main. Les invitées de marque sont aussi et surtout, les innombrables marques qui s’y invitent dont beaucoup ont disparu et qui ont fait et font la grande et longue histoire mondiale de l’automobile.

Le public au plus près des belles mécaniques du temps jadis...
Le public au plus près des belles mécaniques du temps jadis…
DDM – ARCHIVES SEBASTIEN LAPEYRERE

Avec plus de 1200 voitures représentant 120 marques, cette 10e édition invite à visiter « le plus grand musée de l’automobile à ciel ouvert ». Un musée pour découvrir à quoi rassemblaient entre autres exemples, les voitures de marque Albatros, Allard, Cornil, De Tomaso, Delaye, Hampe, Osella, Moynet Sampson, Scora, Selex…

Pour ces « pépites » et toutes les autres, bichonnées par leurs propriétaires tout à leur bonheur de venir, parfois de très loin, les faire admirer « in Gers », pas de courses, pas de grilles de départ, de drapeau à damier et de podium sur le circuit Paul-Armagnac. Car le Classic Festival ce n’est pas un week-end de sport auto mais bien « deux journées du patrimoine automobile ». Un impressionnant rassemblement « sans visées sportives » mêlant des voitures de route « d’avant », « de l’époque », et des voitures de courses « de jadis » qui racontent l’automobile et ses évolutions au siècle dernier, souligne Benoît Abdelatif, directeur de l’organisation pour le compte de la société M3.

Un week-end festif

Avec le Tour Gascon (rallye touristique qui se déroule le samedi après-midi autour de Nogaro) et l’Armagnac Track (séances de roulage sur le circuit), la plupart de ces véhicules qui peuvent aussi prendre part au défilé en ville du samedi (18 heures) et à la parade Autosur Classic du dimanche (12 h 40/ 13 h30) sur le circuit, s’exposent autant de manière statique qu’en mouvement. Et « du mouvement » le Classic Festival en engendre avec aussi sa très prisée bourse d’échanges, son village marchand fort d’une quarantaine d’exposants et ses animations gratuites pour les enfants alors qu’en ville, le samedi à partir de 18 heures, sa Bodega Classic prend des airs de feria familiale.

Vaches landaises dans les arènes, banda endiablée, assiettes et verres partagés : depuis 10 ans, le Classic Festival a trouvé sa place dans le calendrier festif du circuit et de la ville.

Pratique : 14 euros l’entrée en prévente

Samedi 7 et dimanche 8 octobre. Ouverture des portes du circuit à 8 heures. Premiers roulages libres sur la piste organisés en «plateaux» à 8 h 30.
Tarifs 1 jour: 14€ en prévente jusqu’au 6 octobre, 20€ au guichet/ Tarifs 2 jours: 22€ en prévente, 30€ au guichet. Gratuit pour les moins de 14 ans accompagnés par un adulte. Parking gratuit. Le billet donne accès à l’ensemble du circuit (paddock, pit lane, tribunes, village marchand… Pus d’infos sur www.classicfestival.fr

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Ne manquez pas cette annonce : RMC s’engage avec vous : Voiture volée, son assurance refuse de lui rendre

Nous nous empressons de mettre en pleine lumière cet éditorial qui vient d’être publié, dont le thème est «voitures de collection».

Le titre (RMC s’engage avec vous : Voiture volée, son assurance refuse de lui rendre) est sans ambiguïté.

L’auteur (présenté sous le nom d’anonymat
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La date de parution est 2023-10-03 07:02:00.

Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Benjamin Amar, professeur et syndicaliste. Et Thierry Moreau, journaliste médias. – Après le succès d’audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s’invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l’émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l’écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpère, chargée de plaidoyer Libertés à Amnesty International France. En simultané sur RMC Story.

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Revivez les meilleurs moments de la chaîne dans « Les Immanquables » avec Estelle Midi.

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Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Benjamin Amar, professeur et syndicaliste. Et Thierry Moreau, journaliste et ancien rédacteur en chef de Télé 7 jours. – Après le succès d’audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Remi Barret et sa bande, Estelle Denis s’invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l’émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l’écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpère, chargée de plaidoyer Libertés à Amnesty International France. En simultané sur RMC Story.

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Bibliographie :

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Article tout frais : Andalousie, sur la route des chefs-d’œuvre hispano-mauresques en van aménagé

Nous allons tout vous révéler sur cet encart qui vient d’être publié, dont le thème est «voitures de collection».

Le titre suggestif (Andalousie, sur la route des chefs-d’œuvre hispano-mauresques en van aménagé) parle de lui-même.

Le chroniqueur (identifié sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez donc donner du crédit à cette édition.

L’article source mentionné :

Contact. Ronron du moteur… Le van avale les kilomètres avec gourmandise sur l’asphalte andalou. De Malaga à Grenade, de Tarifa à Séville, de Ronda à Cordoue, c’est le même éblouissement à travers le pare-brise. La même succession de plages blondes et de collines multicolores. Au volant de leurs fourgons aménagés, les routards ont déferlé sur le littoral d’Andalousie dès les années 1980. Icône d’un mode de vie alternatif, libre et proche de la nature, ce moyen de transport séduit désormais les voyageurs avides de découvertes en autonomie. Le patrimoine de la grande région du Sud espagnol est monumental. Il suffit donc de tirer sur le frein à main pour s’y griser de culture.

Les légendaires villages perchés, comme Ronda, sont les repères du voyage en van à travers la grande région du Sud espagnol. – Jean-Claude Urbain

Comme il a connu un miracle grec, l’Occident a connu un miracle arabo-musulman. Nos livres d’Histoire insistent peu sur l’apport de la civilisation andalouse à l’héritage européen. Elle a pourtant connu un âge d’or dont le rayonnement artistique, scientifique et philosophique a illuminé le Moyen Âge. Durant plus de 800 ans, les serviteurs d’Allah ont considéré le royaume d’al-Andalus comme l’antichambre du paradis. Avant d’être définitivement chassés de la péninsule ibérique par la reconquête catholique, les sultans éclairés y ont porté l’art de vivre oriental à son apogée.

Broderies de marbre, stalactites de stuc, ogives, arabesques… L’art mudéjar est l’adaptation du savoir-faire musulman au goût chrétien. – Jean-Claude Urbain

Modèles de tolérance et mécènes de génie, les princes arabes permirent à toutes les cultures d’Andalousie (wisigothe, juive, ibère, celte, berbère, etc.) de cohabiter et d’exprimer le meilleur d’elles-mêmes. Palais, forteresses, jardins, bains, mosquées… Leurs chefs-d’œuvre impressionnèrent tellement les seigneurs chrétiens que ces derniers utilisèrent à leur tour des artistes musulmans, les mudéjars, pour en prolonger l’influence. Cet effet de mélange est déjà très net à Grenade, où les minarets du vieux quartier de l’Albaicín ont tous été transformés en clochers.

Première étape : l’Alhambra

L’avantage du van sur un plus grand véhicule de type camping-car est qu’il permet de circuler aisément en ville pour stationner au plus près des sites remarquables. À Grenade, des parkings très bien intégrés donnent aux conducteurs un accès immédiat à la plus majestueuse acropole médiévale du monde méditerranéen. La « colline rouge » de l’Alhambra est un prodige architectural. Défendue par de hauts remparts, elle fut d’abord conçue pour être une forteresse, une Alcazaba. Mais en 1238, Muhammad Ier, le fondateur de la dynastie des Nasrides, décida d’y implanter sa cour. Quel contraste, depuis, entre l’austérité extérieure de la cité palatine et l’exquise délicatesse de ses espaces intérieurs ! Au fil des ajouts par les califes successifs, l’Alhambra est devenue un temple de volupté et de sophistication.

Dominant le palais des califes Nasrides, les jardins du Generalife constituaient leur palais d’été. – Jean-Claude Urbain

Conçus pour le repos et le plaisir des sens, les vergers en terrasses, les balcons, bassins et fontaines du Generalife complètent la perfection de l’Alhambra. L’empereur Charles Quint en fut tellement épris qu’il y imprima lui aussi sa marque. Et c’est l’addition singulière de son palais Renaissance qui favorisa, à travers les siècles, le respect pour le reste du site originel.

Le van est la maison roulante des voyageurs en Andalousie. Literie, kitchenette, douchette… Tout est parfaitement intégré. – Gauthier Graffeuille/VanBreak

L’apport d’al-Andalus à la culture occidentale est cependant loin de se limiter à cet aspect patrimonial. Il est toujours capital dans notre quotidien. Les voyageurs qui apprécient aujourd’hui de dormir, de prendre leur petit-déjeuner et de se changer dans l’intimité de leur van peuvent remercier l’Andalousie d’avoir introduit le coton et le sucre en Europe. C’est d’Andalousie encore que se répandit l’usage de la soie, du papier, de la poudre à canon et des moulins. Le royaume a également participé à l’invention d’instruments de navigation et aux progrès des mathématiques, en particulier de l’algèbre, dont le mot même est arabe.

Une culture aux multiples visages

Les double-voies gratuites Autovias d’Andalousie poursuivent leurs ondulations à travers les alignements impeccables d’oliviers. Çà et là, dans le flamboiement de leurs murs blancs, des villages perchés se dorent au soleil. Antequera, Olvera, Zahara de la Sierra, Arcos de la Frontera, Carmona… Et voilà enfin Séville, la capitale régionale, qui résume à elle seule toute la complexité de l’âme andalouse : la nonchalance ensoleillée, la ferveur religieuse, la convivialité des bodegas, la férocité des corridas et l’orgueil fiévreux du flamenco, sans oublier la sensualité des bains arabes.

Les gitans ont accompagné le repeuplement chrétien de l’Andalousie. Leur flamenco passionné est indissociable de la région. – Jean-Claude Urbain

Au cœur de la cité, quelques centaines de mètres suffisent pour passer de la verticalité gothique à la géométrie mudéjare, là où l’immense cathédrale Notre-Dame-du-Siège côtoie le palais de l’Alcazar. Tous les deux sont classés au Patrimoine mondial de l’Unesco. La première célèbre l’union des styles qui caractérise toute la région. Couronnée d’une « girouette » chrétienne, sa tour Giralda fut d’abord un minaret de 93 mètres de haut, similaire à celui de la Koutoubia de Marrakech. C’est ici, entre les ors et les volutes, que reposerait l’explorateur Christophe Colomb, qui découvrit le Nouveau Monde en 1492, l’année de la chute de Grenade.

Inspirée du minaret de la mosquée de Marrakech, la tour Giralda est devenue le clocher de la cathédrale de Séville après la reconquête. – Jean-Claude Urbain

Quant à l’Alcazar, on l’appelle aussi le « palais mudéjar ». Ses hautes murailles cachent des patios décorés de céramiques et de dentelles de stucs, travaillées à la mode arabe sur demande des souverains catholiques. C’est à Pedro Ier que l’on doit son aspect actuel. Le roi de Castille-León fit collaborer les artisans de l’Alhambra avec les artisans sévillans pour transformer l’Alcazar en parfait exemple d’architecture hispano-mauresque. Symbole de ce métissage, les inscriptions de la façade chantent à la fois les louanges de Don Pedro et d’Allah.

Prochaine étape, Cordoue : 140 kilomètres.

Au faîte de la civilisation

Dans l’ancienne ville du calife Abd al-Rahman III, c’est dans la chair de la Mezquita-Catedral que se consomme le mariage des cultures. Entreprise au VIIIe siècle et achevée à la fin du Xe, la grande mosquée de Cordoue fut transformée en cathédrale catholique au XIIIe. Deux organisations architecturales, deux religions, deux époques s’entrelacent ainsi dans le même espace sacré.

Où trouver dans le monde une plus belle forêt de colonnes que dans la Mezquita de Cordoue ? – Jean-Claude Urbain

Alentour, dans les ruelles tortueuses de la Juderia, le charme des courettes et des balcons fleuris font rêver à cette ancienne métropole qui rivalisait de splendeurs avec Constantinople et Bagdad. Ses rues étaient déjà assainies et éclairées au crépuscule quand celles de Paris n’étaient encore que de boueux coupe-gorge. Mais cette Cordoue des poètes et des musiciens, des théologiens et des médecins fut surtout la capitale du savoir. Ses bibliothèques réunirent jusqu’à 500.000 volumes !

Idéal équilibre entre la puissance et la grâce, le cheval andalou est la fierté des écuries royales de Cordoue. – Jean-Claude Urbain

À une dizaine de kilomètres, Madinat al-Zahra, la « Cité brillante » achève le périple à travers la légende d’al-Andalus. Ici, Abd al-Rahman III voulut doter son royaume d’une capitale digne de ses ambitions. Une ville-palais dont la splendeur et l’agencement rigoureux illustreraient une double fonction politique et idéologique. Sa construction commença en 936. Elle était presque achevée à sa mort, en 961. Moins d’un siècle plus tard, il n’en restait plus que des ruines…

Symbole éphémère de la puissance du califat, Madinat al-Zahra est aussi celui de sa ruine. – Jean-Claude Urbain

Cet ultime site est un des plus précieux témoignages de ce moment unique de l’Histoire. Au passage de l’an mille, les villes cosmopolites et avant-gardistes d’Andalousie ont permis aux cultures de dialoguer jusqu’à atteindre un degré inégalé de civilisation. Mille ans plus tard, où en sommes-nous ? Les démonstrations de puissance ne résident plus dans les fastes architecturaux, mais dans la maîtrise de l’énergie. Et ce sont des parcs d’éoliennes gigantesques qui escortent le van sur le chemin du retour.

Ce propos répond à vos questions vous adorerez également ces livres:

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On revient sur l’éditorial : Le top 5 des voitures de collection les plus chère…

Voici les « bonnes pages » d’un texte que notre équipe vient de remarquer sur internet. Le propos va sans aucun doute vous ravir. Car la thématique est « voitures anciennes ».

Le titre saisissant (Le top 5 des voitures de collection les plus chère…) est sans confusion.

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L’éditorial a été diffusé à une date indiquée 2023-10-03 07:00:00.

Le marché de la voiture de collection continue de très bien se porter. Et c’est normal : avec l’avènement de la voiture électrique, nombreux sont ceux qui souhaitent renouer avec les sensations du passé. Et ils ne sont pas les seuls : la répression grandissante sur nos routes entraîne aussi un glissement des acheteurs de voitures sportives vers des modèles de collection voués certes aux balades, mais qui offrent toujours un plaisir mécanique. Pourquoi pas ?

Naturellement, le marché du oldtimer est vaste et varié. Aussi dans ses tarifs. Il n’est pas rare en effet que certains modèles mis aux enchères trouvent preneur à plusieurs millions d’euros lorsqu’il ne reste que deux ou trois exemplaires sur terre. Nous serons toutefois moins sélectifs : voici donc un petit tour des modèles qui resteront certes l’apanage de quelques privilégiés, mais qu’il est bon de se remémorer.

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Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut Coupé

135 millions d’euros : voilà ce qu’a coûté récemment cette Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut Coupé de 1955 à un amateur de voitures anciennes. Et pour cause : ce modèle n’existe qu’à deux exemplaires. C’est dire son caractère unique. Cette 300 SLR a été vendue par la maison d’enchères RM Sotheby’s à Stuttgart et son prix de vente constitue un record absolu, le précédent record étant détenu par une Ferrari 250 GTO vendue 70 millions d’euros en 2019. Le propriétaire a d’ores et déjà accepté de mettre cet exemplaire à disposition de certaines manifestations haut de gamme. L’autre exemplaire restera par contre la propriété de Mercedes-Benz.

Porsche 911 « 993 » GT2

Oui, cette Porsche est exceptionnelle. Apparue en 1993, la 911 GT2 est une version allégée et plus puissante de la 911 Turbo et elle était destinée avant tout à la compétition. Initialement son moteur développait 430 ch, mais elle en a affiché 450 ch en 1998. La production a été limitée à seulement 57 exemplaires, ce qui justifie un prix estimé entre 1 million et 1,3 million d’euros. Intéressé ? Un exemplaire sera mis en vente au prochain Zoute Grand Prix.

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McLaren F1

On ne présente plus la McLaren F1 qui, lancée en 1993, et qui avait était développée et construite par McLaren Cars, une filiale britannique McLaren Technology Group qui, entre autres, possède l’écurie de Formule 1 McLaren Racing. Entre 1993 et 1998, 107 exemplaires furent construits, tous équipés du V12 atmosphérique de BMW (V12 à 60° de 6,1 litres de cylindrée développant une puissance de 627 ch). Monté dans cette (presque) monoplace de seulement 1.140 kg, les sensations étaient évidemment au rendez-vous et les sorties de route aussi comme doit sans doute d’en souvenir Rowan Atkinson, alias Mister Bean. Pas donné au départ, le modèle voit ses prix flamber actuellement avec des enchères qui peuvent atteindre les 30 millions d’euros.

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BMW M3 Coupé « E30 »

La M3 « E30 », c’est en réalité la toute première M3 et elle avait été construite pour obtenir une homologation pour le championnat allemand des voitures de tourisme.  Le modèle a été construit entre 1987 et 1991. Elle a connu diverses évolutions avec un 4 cylindres de 2,3 litres de 200 ch qui est passé à 2,5 litres et 238 ch en fin de carrière. Près de 18.000 exemplaires ont été produits (en comptabilisant la carrosserie cabriolet, moins de 1.000 exemplaires), mais elle vaut encore entre 120.000 et 160.000 euros à la revente. Votre grand-père n’aurait pas conservé la sienne par hasard ?

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Ferrari Dino

En fait, il ne faut pas dire Ferrari Dino, mais Dino tout court, car cette marque était en réalité une filiale de Ferrari qui a construit les 246 GT/GTS (24 pour 2,4 Litres, et 6 pour 6 cylindres, 195 ch) pour rendre hommage à Dino Ferrari, le fils aîné d’Enzo Ferrari disparu prématurément, mais aussi pour répondre à Porsche qui connaissait un vrai succès avec la 911. À noter que Ferrari lança préalablement à la 246 la 206 GT (165 ch). Le modèle fut construit entre 1969 et 1974 à un peu plus de 3.700 exemplaires. Il n’y aura pas de suite pour la marque Dino et c’est probablement pour cette raison que les prix de vente atteignent des sommets : 450.000 euros l’unité.

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Infos pour vous : Et si l’écologie, c’était plutôt de rouler avec nos vieilles voitures

Nous allons tout vous révéler sur ce post qui vient d’être publié, dont la thématique est «voitures de collection».

Le titre (Et si l’écologie, c’était plutôt de rouler avec nos vieilles voitures) en dit long.

Sachez que le journaliste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez donc faire confiance aux infos qu’il donne.

L’article source :

L’urgence écologique nous impose désormais de repenser nos mobilités, seul secteur pour lequel les émissions n’ont jamais cessé de croître.

Bibliographie :

Delage, la belle voiture….,Ouvrage .

Maserati, luxe, sport et prestige.,(la couverture) Nouvelle édition.

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Chevrolet Camaro, tous les….,Ouvrage .

Regardez cela : Meurtre de Tupac Shakur : un homme arrêté et inculpé

Voilà qui va vous intéresser : Un nouveau post que je viens de relever sur internet et que nous vous produisons ci-dessous. Le sujet est « voitures de collection ».

Le titre (Meurtre de Tupac Shakur : un homme arrêté et inculpé) est parlant.

Annoncé sous la signature «d’anonymat
», le rédacteur est positivement connu.

Vous pouvez ainsi vous fier aux informations qu’il diffuse.

L’article a été divulgué à une date mentionnée 2023-10-02 06:29:00.

Le 2 octobre 2017, le grand Tom Petty nous quittait. Rolling Stone revient sur dix de ses plus beaux morceaux. Une liste, bien sûr, non exhaustive !

10 – « I Won’t Back Down »

« Cette chanson m’a effrayé quand je l’ai écrite, » a dit Tom Petty. « Il n’y a aucune métaphore. Elle est extrêmement directe. » « I Won’t Back Down » a été écrite en studio pendant le mixage de « Free Fallin ». George Harrison, qui joue la ligne harmonique, avait précisé à Tom Petty que la phrase « standing on the edge of the world » (être au bord du précipice en VF) était idiote – Petty l’a promptement remplacée par « there ain’t no easy way out ». « J’ai beaucoup hésité avec cette chanson. Mais tout mon entourage l’a appréciée et il semblerait qu’ils avaient raison. »

09 – « Room at the Top »

Tom Petty était en prises avec les affres de la dépression causée par son divorce avec sa première épouse, Jane, quand il s’assied au piano et déverse son chagrin dans cette chanson. « I wish I could feel you, little one » chante-t-il. « You’re so far away. I want to reach out and touch your heart. » L’émotion sincère qui se dégage de ce titre propulse Echo, sélection de titres inspiré par la rupture du couple. « ‘Room at the Top’ est la chanson la plus déprimante que j’aie pu écrire, » affirme Petty, qui ne l’a plus jamais jouée depuis la fin de la tournée d’Echo. « Je n’ai même jamais voulu l’entendre. La dernière fois que j’ai écouté Echo, je me suis dit que j’avais mis bien plus dans cet album que je ne me souvenais. »

08 – « Breakdown »

« Nous étions des enfants passionnés, » a dit Tom Petty, invité à parler de l’ambiance dans le groupe lors de l’enregistrement de « Breakdown ». Tom Petty a eu cette idée d’une chanson influencée par le R&B, séduisante et étrangement simple, en prenant une pause tardive dans les Hollywood’s Shelter Studios lors de l’enregistrement de son premier album. « Il devait être une ou deux heures du matin, et j’ai appelé les Heartbreakers pour qu’ils reviennent tous, » se souvient-il. « Ils étaient tous rentrés chez eux. Il sont revenus à deux ou trois heures, et on a enregistré la chanson. » Le titre dure initialement plus de sept minutes, mais a finalement été raccourci de moitié à sa sortie en tant que single principal de l’album. Conduite par une ligne de batterie inspirée du « All I’ve Got to Do » des Beatles et comprenant l’une des parties de guitare les plus emblématiques signées Mike Campbell, la chanson est entrée au Top 40. Comme Tom Petty le dira fièrement plus tard, « C’est vraiment un disque parfait. »

07 – « The Waiting »

« The Waiting » est peut-être le meilleur exemple de la capacité des Heartbreakers à assembler harmonieusement les pièces de leurs références musicales. La dynamique questions-réponses rappelle « It’s My Life » des Animals, et le refrain évoque tellement les Byrds que leur leader a longtemps été persuadé de l’avoir inspiré. « [Roger] McGuinn jure qu’il me l’a dit » affirme Petty en référence à la phrase « the waiting is the hardest part », ajoutant « Peut-être que c’est vrai. » Tom Petty se souvient quant à lui s’être inspiré de la célèbre citation de Janis Joplin « J’aime être sur scène, et tout est en attente » (I love being onstage and everything else is waiting). Le single de Hard Promises marquera le point culminant de ce que le journaliste David Fricke appellera « l’ère vibrante » des Heartbreakers, arrivant en tête du classement Billboard pendant six semaines. « Cela évoque le fait d’attendre vos rêves et de ne jamais savoir s’ils vont un jour se réaliser. J’ai toujours eu la sensation qu’il s’agissait d’une chanson plutôt optimiste. »

06 – « Runnin’ Down a Dream »

Full Moon Fever fait partie des albums solos de Tom Petty, mais chaque Heartbreaker (hormis le batteur Stan Lynch) a joué dessus. « Runnin’ Down a Dream », morceau le plus entraînant de l’album, s’est construit autour d’un riff de Mike Campbell, initialement écrit à un autre rythme. Petty l’a arrangé avant de le donner au producteur Jeff Lynne. Campbell réalise aussi les solos de guitare de la chanson. Tom Petty a écrit les paroles revendicatrices du morceau où il parle de la liberté d’aller à contre-courant, façon d’évoquer ses sentiments les plus profonds sur ce que signifie pour lui le rock ’n’roll.

05 – « Listen to Her Heart »

Tom Petty s’est inspiré d’un histoire racontée par sa femme pour écrire « Listen to Her Heart ». Peu après le déménagement du couple à Los Angeles, Jane s’est retrouvé en plein coeur d’une fête organisée par la légende du R&B Ike Turner. Alors que les festivités battaient leur plein, Turner a verrouillé les portes de son domicile pour que personne ne puisse partir. Tom Petty a transformé cet incident un peu étrange en un morceau adressé à un homme qui ne respecte pas les sentiments d’une femme. La chanson constitue le second single de You’re Gonna Get It !. La chanson n’atteindra que la 59ème position des charts, sans doute à cause de la mention explicite de la cocaïne par Petty. Mention que le label lui avait pourtant demandé de changer le mot en ‘Champagne’. « Quelle femme voudrait quitter son mec pour de l’argent et du champagne ? » avait-il demandé à l’époque. « Enfin, le champagne ne coûte que 4$ la bouteille. »

04 – « Free Fallin’ »

Excepté « Stop Draggin’ My Heart Around », en duo avec Stevie Nicks, « Free Fallin’ » reste l’un des plus grands succès de la carrière de Tom Petty. Cependant, quand il montra Full Moon Fever à MCA Records pour la première fois, non seulement le label n’a pas détecté de single, mais il a même rechigné à sortir l’album. « J’étais abasourdi, » affirme Petty. « C’est la seule fois de ma vie qu’un de mes albums a été refusé. » Comme pour la majorité des titres de Full Moon Fever, « Free Fallin’ » a vu le jour rapidement. Tom Petty a écrit le riff dansant sur un petit clavier électrique et l’idée des paroles lui est venue en improvisant en studio avec son producteur Jeff Lynne. Par chance, la direction du label changea, les plus réticents furent virés, et « Free Fallin’ » devint un tube du Top 10, restant au classement Billboard pendant sept mois. « Il n’y a pas un jour qui passe sans que quelqu’un ne me fredonne « Free Fallin’ », ou que je l’entende quelque part. Mais en réalité, cette chanson ne m’a pris vraiment que 30 minutes. »

03 – « Don’t Come Around Here No More »

« Je voulais faire un single qui ne ressemblerait à rien de ce qui a déjà été fait, » a expliqué Petty de « Don’t Come Around Here No More ». Psychédélique et synthé, classique mais aussi moderne, la chanson est une réinvention radicale concoctée par le producteur britannique Dave Stewart de Eurythmics. Les Heartbreakers étaient sceptiques sur l’intrusion d’un tiers dans leur chanson, surtout quand cet étranger a proposé d’ajouter une sitar. « Je pense que beaucoup dans le groupe – et je ne leur en veux pas – ce demandaient ce que c’était que ce bordel » se souvient Stewart. « Le disque s’appelait Southern Accents et donnait l’impression d’être en Inde. » Les paroles de Tom Petty se basent sur une phrase dite par Stevie Nicks à Joe Walsh lors d’un after de Eurythmics, et Stewart proposa la thématique Alice au Pays des Merveilles de la vidéo. « Dave et moi avons travaillé sur ce single pendant des mois, » se remémore Petty. « Elle aurait pu éclore de 10 façons différentes. »

02 – « Refugee »

« On nous souffle que nous sommes le futur du rock & roll » avait déclaré Tom Petty à la sortie du troisième disque des Heartbreakers. « Je ne veux pas être le futur – je veux en être le présent. » Le lead single de Damn the Torpedoes affirme cette intention. Produit par Jimmy Iovine, « Refugee » est l’un des morceaux les plus combatifs du groupe, l’affirmation qu’ils ne suivaient aucune tendance New Wave ou punk-rock, mais qu’ils étaient bel et bien une nouvelle génération de traditionalistes amateur de rock old-school. Comme souvent dans le processus de création du groupe, Mike Campbell a composé la musique, l’a enregistrée sur une cassette et l’a passée à ses partenaires. « Les paroles sont venues rapidement, » dit Petty. L’enregistrement, pas tellement. Campbell se souvient de 100 prises ; Petty dit 200. « Je me souviens avoir été si frustré que j’ai simplement quitté le studio et j’ai quitté la ville pendant deux jours. » Quand il est revenu, le groupe réussit l’enregistrement et tourna un clip sans fioritures. Et soudain, le rock américain renaquit.

01 – « American Girl »

« Ce titre est juste un énième exemple de ce personnage sur lequel j’écris souvent. L’enfant de cette petite ville qui sait qu’il existe quelque chose d’autre ailleurs, mais qui se fait avoir en essayant d’aller à sa recherche. J’ai toujours ressenti de la sympathie à son égard. » Sur cette chanson, Tom Petty a traduit son empathie en un classique de la musique américaine. La chanson combine des décennies de rock & roll en un hymne intense : le rythme à-la-Bo Diddley de Stan Lynch fait écho aux années cinquante ; le son clair de la guitare évoque les Byrds (tellement que Roger McGuinn reprit la chanson plus tard) ; les  transitions de Mike Campbell rappellent les guitars-hero des années 70 ; et l’énergie New Wave poussera la musique jusqu’aux années 80 et au-delà. Ironiquement, quand la chanson est sortie comme le second single de l’album éponyme du groupe, elle n’est pas entrée dans les charts américains, mais réussit à atteindre une jolie place en Grande Bretagne. L’allusion à la Route 441 dans les paroles a inspiré des rumeurs selon lesquelles « American Girl » évoque une étudiante de l’Université de Floride qui s’est suicidée en se défenestrant de sa chambre étudiante. En réalité, la chanson a été écrite dans l’appartement californien de Petty alors qu’il écoutait le bruit de la ville. « Les mots me sont venus naturellement. »

Écouter Tom Petty en streaming.

Traduit par Alma Rota

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Information pour les fans : et si l’écologie, c’était plutôt de rouler avec nos vieilles voitures ?

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Ce post ayant pour propos « voitures de collection » circule sur internet, nous avons voulu vous le révéler ici.

Son titre séduisant (et si l’écologie, c’était plutôt de rouler avec nos vieilles voitures ?) est sans détour.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’éditorialiste est connu et fiable.

Vous pouvez en conséquence faire confiance aux infos qu’il édite.

La date d’édition est 2023-10-02 00:48:00.

L’urgence écologique nous impose désormais de repenser nos mobilités, seul secteur pour lequel les émissions n’ont jamais cessé de croître. Depuis plusieurs années, les pouvoirs publics multiplient les directives qui enjoignent les citoyens à abandonner leurs voitures thermiques pour des véhicules électriques. En témoignent les récentes annonces du gouvernement qui entend généraliser leur possession par des subventions massives permettant à de nombreux ménages de s’équiper pour une centaine d’euros par mois.

Un certain nombre de zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m), qui consistent à restreindre l’accès aux véhicules qui dépassent un certain seuil d’émission de gaz polluants, ont ainsi été instaurées dans quelques métropoles : Paris, Lyon ou Grenoble par exemple. Avec la loi « climat et résilience » adoptée en 2021, l’ensemble des agglomérations de plus de 150 000 habitants seront concernées d’ici 2024.

De fait, dans ces zones, seules les voitures qui répondent à des normes écologiques très récentes (majoritairement électriques ou hybrides) seront autorisées à circuler. Nous assistons dès lors à une épuration de grande ampleur du parc automobile, qui traduit une conception pour le moins enchantée des mobilités électriques présentées comme salvatrices. Cette vision fait reposer le problème de la pollution de l’air sur les usagers de voitures qui, parce que trop anciennes, ne répondent plus aux exigences actuelles en termes d’émissions polluantes, soit celles disposant d’un moteur thermique et construites avant les années 2010.

Notre thèse de doctorat en sociologie menée entre 2017 et 2022, qui se donne pour ambition de comprendre la possession et l’usage d’une voiture de plus de 20 ans à l’époque contemporaine, révèle pourtant que les impératifs de durabilité ne sont pas étrangers à de telles mobilités. Dans la quarantaine d’entretiens réalisés, l’analyse de la presse spécialisée, mais aussi les moments plus informels de bricolage et de discussion dans des garages ou en rassemblements de passionnés d’automobiles qui ont constitué les terrains de cette thèse, il devient même possible d’entrevoir, chez certains usagers, qu’ils soient urbains ou ruraux, des engagements forts en faveur d’une certaine écologie.

Se servir de l’existant

Dans une large majorité, les propos des usagers de vieilles automobiles expriment une rhétorique du réemploi opposée à la production et la consommation de masse. Il s’agit de promouvoir une écologie priorisant l’usage d’outils fonctionnels (ou réparables) au recours à du neuf. Dans leurs discours, cette écologie du réemploi apparaît comme davantage réaliste parce qu’elle se veut plus accessible financièrement, et correspondrait à un mode de vie sobre déjà dont l’expertise existe déjà dans les catégories populaires qui la développent au quotidien.

La Clio de Chantal, 52 ans.


La Clio de Chantal, 52 ans.

G.Mangin

Peu coûteuse à l’achat comme à l’entretien, la voiture d’occasion désuète serait aussi écologique parce que le coût écologique de sa production a déjà été assumé.

« Il n’est pas évident d’expliquer à nos chers écolos que conserver et faire rouler une “vieille” auto à la place d’en fabriquer une neuve permet d’économiser des hectolitres d’eau, des kilos d’acier, de caoutchouc et de plastique, etc. C’est tout le problème de ne s’en tenir qu’à la des gaz qui sortent de l’échappement, plutôt que d’analyser le cycle de vie total, de la fabrication au recyclage en passant par l’usage… » (Richard, s’exprimant dans la revue « Youngtimers » n°79)

Prendre soin, pour redéfinir ce qui est durable

Comme tout objet technique, une voiture a besoin d’être entretenue pour durer, et une vieille automobile nécessite une attention soutenue, à l’état de ses organes de sécurité notamment (plusieurs fois par an).

Aujourd’hui, un grand nombre de concessions automobiles ne sont plus équipées pour intervenir sur des véhicules dénués de systèmes de diagnostic électronique, et les mécaniciens ne sont plus formés pour intervenir sur une mécanique commercialement dépassée. Dès lors, la maintenance incombe largement aux possesseurs qui développent, aux fil de leurs interventions, un attachement à la voiture dont ils prennent soin, ainsi qu’une connaissance fine qui leur permet de croire que leur objet perdurera encore longtemps à leurs côtés.

« Moi, ma voiture, je l’entretiens ! Pour qu’elle soit belle et pouvoir continuer de rouler avec. Je voudrais l’user jusqu’à la corde, celle-là. Attends, une Golf comme ça, je fais 300 000 kilomètres avec ! Elle peut encore vivre 30 ans, ma voiture ! » (Larry, 64 ans, décorateur retraité, roule en Volkswagen Golf 3 de 1993)

Refuser une transition écologique soupçonnée de « greenwashing »

Refuser de passer à une voiture plus récente relève également d’un scepticisme assumé envers les intentions écologiques des constructeurs. La voiture contemporaine, surtout lorsqu’elle est électrique, est soupçonnée d’être bien plus polluante qu’il n’y paraît, notamment par sa production qui nécessite l’extraction de métaux précieux tels que le lithium ou le cobalt.

La 205 de Mickaël, mécanicien, 22 ans.


La 205 de Mickaël, mécanicien, 22 ans.

G.Mangin

Ses équipements électroniques et numériques font eux aussi l’objet de méfiance quant à la planification de leur obsolescence. C’est, là aussi, la logique de remplacement précoce qui est critiquée, et avec elle la stratégie consistant à rendre chaque modèle rapidement obsolète en le remplaçant par un autre ou en en proposant une version restylisée.

« Par leur fiabilité, elles se retrouvent plus vite à la casse qu’une voiture ancienne. Elles ont pas vocation à durer, non… le but, c’est de consommer ! Avant, on faisait des voitures robustes ! La Saab 900, c’est de la voiture robuste. Pourquoi ? Parce qu’on n’était pas dans cette démarche-là, de consommation ! » (Yannis, 40 ans, Chef d’entreprise, roule en Saab 900 de 1985)

Rompre avec la frénésie pour rouler « moins mais mieux »

Si on les compare aux voitures récentes, les voitures de plus de 15 ans sont moins confortables et moins sécurisées, ce qui requière une attention plus soutenue de la part du conducteur qui devra davantage faire preuve d’observation et d’anticipation.

Elles sont aussi plus exigeantes à conduire, ce qui sollicite davantage ses cinq sens. Par exemple, elles ne bénéficient pas de régulateurs de vitesse, d’aide au freinage d’urgence, ni même parfois de direction assistée, ce qui complique particulièrement les manœuvres. Parce qu’elles se trouvent à l’opposé des impératifs d’efficacité, de telles voitures deviennent l’outil idéal pour tenir à distance un sentiment d’accélération qui caractérise notre époque, en s’immergeant dans des mobilités « douces » car convoquant un imaginaire du voyage, empreint de lenteur et de contemplation.

« Mes parents, ils sont là-dedans. Ils gagnent du temps, ils ont le petit boîtier pour passer au péage et puis tout est prélevé sur leur compte… Moi, je trouve ça effrayant ! C’est effrayant ! T’as l’impression que c’est simple, mais au final, ça va encore plus vite ! » (Lucas, 22 ans, étudiant en philosophie reconverti en charpentier traditionnel, roule en Renault 4 de 1982)

Tenir à distance… l’automobilisme !

Plus encore que des marchandises et un système économique, c’est aussi tout un système de mobilité qui se trouve tenu à distance. Pour bon nombre d’usagers en effet, faire persister la centralité de la voiture dans l’aménagement du territoire et dans les mobilités quotidiennes, ce serait manquer d’ambition face aux enjeux écologiques contemporains.

Ainsi, nombre d’usagers de vieilles voitures plaident pour une refonte ambitieuse du système de mobilité qui ferait la part belle aux mobilités alternatives, et qui prendrait notamment au sérieux la bicyclette en tant que moyen de transport efficace. Aussi, tous affirment qu’ils se passeraient de voiture au quotidien si cela leur était possible.

« Moi, je suis pas nostalgique. Je pense que cette société d’avant, celle de la conquête, on se trompait. Elle a oublié la finitude des choses, comme je pense qu’aujourd’hui on oublie qu’il y a des perspectives ! La perspective c’est le vélo par exemple […] Avec le vélo, on va dans des endroits où la voiture ne va plus, on s’affranchit des embouteillages, voilà. On peut se projeter de nouveau ! » (Fabrice, 47 ans, enseignant-chercheur, roule avec plusieurs Citroën des années 1970 à 2000)

La composante d’un mode de vie sobre

Rouler en vieille voiture, c’est donc pour certains une manière de vivre ses mobilités de façon plus sobre, en privilégiant la qualité (du trajet, de l’objet…) à une forme d’abondance.

« Je trouve qu’on a été trop loin sur certaines choses, qu’on va trop loin par rapport à la planète aussi, la pollution, tout ça. Je veux pas rentrer là-dedans, enfin je veux plus. Un de mes rêves, ce serait d’être autonome au niveau énergétique. Donc il y a, dans ma démarche, quelque chose d’écolo… Oui, écolo ! On peut dire écolo. » (Bruno, 56 ans, éducateur spécialisé, roule en Renault 4 de 1986).

Cette éthique de la sobriété se trouve bien souvent au fondement d’un mode de vie plus frugal, et suppose une posture réflexive quant à nos actions et leurs conséquences. Si convertir tout un chacun à la « vieille voiture » ne peut représenter un projet de transition écologique, le rapport de tels usagers à leurs mobilités nous invite toutefois à ne plus prendre la route à la légère. Il exhorte, au contraire, à questionner la banalité de notre recours à la voiture pour penser un automobilisme plus éclairé.

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Regardez cette information : Auto : la Porsche 911 S/T, une voiture sportive à l’état pur

Regardez-cette-information-Auto-la-Porsche-911-ST

Fidèle à sa vocation, ce blog va porter à votre connaissance un post qui se propage sur le web. Le propos est «voitures de collection».

Le titre (Auto : la Porsche 911 S/T, une voiture sportive à l’état pur) en dit long.

Sachez que l’éditorialiste (présenté sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez lire ces révélations en toute tranquillité.

La date de publication est 2023-10-01 11:00:00.

L’article mentionné :

Voir mon actu
Porsche 911 S/T, une sportive à l’état pur.
Avec la Porsche 911 S/T, le constructeur allemand lance une version anniversaire produite en 1963 exemplaires. (©Porsche)

Apparue en 1963, la 911 est devenue le modèle emblématique de Porsche et pour fêter ses 60 ans de succès, le constructeur allemand lance une version anniversaire produite en 1963 exemplaires et conçue pour un plaisir de conduire absolu. Pour la première fois, le puissant 6 cylindres à plat atmosphérique de 525 ch qui équipe la 911 GT3 RS est associé à une boîte manuelle à 6 rapports courts et un embrayage allégé.

Ce modèle réalise la symbiose entre la 911 GT3 avec pack Touring et la 911 GT3 RS destinée à la compétition. Il réunit les qualités exceptionnelles de ces deux illustres sportives, notamment en matière d’agilité et de dynamique de conduite. La 911 S/T affiche tout juste 1 380 kg sur la balance, ce qui en fait la 911 la plus légère de la génération 992. Le pack Heritage Design, proposé en option, reprend les codes stylistiques de la version de course de la 911 S de la fin des années 1960, début des années 1970.

Porsche 911 S/T, une sportive à l’état pur.
La Porsche 911 S/T accueille des jantes légères en magnésium de 20 pouces à l’avant et de 21 pouces à l’arrière. (©Porsche)

Un look rétro modernisé

L’aérodynamisme de la 911 S/T a été optimisé pour la conduite sur route. Le modèle anniversaire est équipé d’une lèvre de spoiler sur l’aileron arrière rétractable à déploiement automatique. La dotation comprend également des jantes légères en magnésium de 20 pouces (à l’avant) et de 21 pouces (à l’arrière) à écrou central. Elle est chaussée à l’avant de pneumatiques 255/35 ZR 20 et à l’arrière en 315/30 ZR 21.

Dans l’habitacle, il y a le choix entre des sièges baquets intégraux ou des sièges « sport plus » à quatre réglages. Le combiné d’instruments et le chronographe du pack Sport Chrono sont habillés d’un vert rappelant les Porsche classiques. Sur les portes, il est possible d’apposer un numéro de 0 à 99 ainsi qu’un sticker décoratif.

Porsche 911 S/T, une sportive à l’état pur.
La Porsche 911 S/T franchit le 0 à 100 km/h en seulement 3’’7. (©Porsche)

Devoir de mémoire

Le nom de la 911 S/T marque son lien de parenté avec la version haute performance de la première génération de 911. À partir de 1969, Porsche a proposé une version spéciale de la 911 S conçue pour la compétition. En interne, ces modèles étaient appelés 911 ST. Les modifications apportées au châssis, aux roues, au moteur et à la carrosserie ont considérablement amélioré l’accélération, le freinage, la motricité et l’adhérence dans les virages. Ces modèles n’étaient alors pas dotés de spoilers imposants ni des autres éléments aérodynamiques qui caractérisent les ultra-sportives d’aujourd’hui.

Porsche 911 S/T, une sportive à l’état pur.
L’habitacle de la Porsche 911 S/T rappelle l’intérieur des Porsche classiques. (©Porsche)

Performances et tarifs délirants

La 911 S/T franchit le 0 à 100 km/h en seulement 3’’7. Elle atteint une vitesse de pointe de 300 km/h. L’expérience de conduite est mise en valeur par la signature sonore du système d’échappement sport allégé. La 911 S/T est la seule 911 de la génération actuelle à combiner un train avant à double triangulation et un essieu arrière multibras sans roue arrière directrice.

La nouvelle Porsche 911 S/T est disponible au prix de 308 976 €. Le pack Heritage Design 60 ans 911 est proposé au prix de 17 652 €. Le Chronographe 1 – 911 S/T est facturé 11 950 €.

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Philippe Lacroix

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Infos toute fraiche : Près de Lisieux. Quatre blessés dans un accident de voiture, le cinquième à bord du véhicule prend la fuite

Sur cette parution, un nouvel éditorial qui va parachever notre revue de presse sur « voitures de collection ».

Son titre séduisant (Près de Lisieux. Quatre blessés dans un accident de voiture, le cinquième à bord du véhicule prend la fuite) est évocateur.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.

Les infos publiées sont par conséquent considérées valables.

Cinq personnes ont été impliquées dans un accident de voiture dimanche 1er octobre, en début de matinée, à Ouilly-le-Vicomte près de Lisieux. L’une d’entre elles est en fuite, les quatre autres sont b …

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Sur le web : Voitures de collection : un record du monde et quelques stars du marché

Nous avons remarqué un post sur le web dont la thématique est «voitures de collection».

Son titre (Voitures de collection : un record du monde et quelques stars du marché) condense tout l’éditorial.

Annoncé sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable.

Vous pouvez lire ces révélations en toute confiance.

L’éditorial a été diffusé à une date mentionnée 2023-10-01 02:15:00.

En mai 2022, cette Mercedes de 1955, qui n’existe qu’en deux exemplaires, a été vendue par la maison RM Sotheby’s à Stuttgart, à 135 millions d’euros. Un record mondial absolu pour une voiture de collection vendue aux enchères. Icône de l’histoire de l’automobile, ce joli bolide peut atteindre une vitesse de pointe de 300 km/h.

Porsche 911 Type 993 GT2

La Porsche 911 Type 993 GT2
La Porsche 911 Type 993 GT2 ©DR

Fabriquée entre 1995 et 1998, la Porsche 911 Type 993 GT2 est une voiture rare et recherchée, qui n’a été produite qu’à 57 exemplaires pour la route. Un de ces exemplaires, construit en 1995, sera en vente au Zoute Grand Prix. Son prix est estimé entre 1 et 1,3 million d’euros.

McLaren F1

La McLaren F1
La McLaren F1 ©DR

Voiture de sport très performante, la McLaren F1 fait partie des modèles aujourd’hui les plus iconiques et prestigieux du marché. Elle a été fabriquée dans les années nonante et produite à une centaine d’exemplaires. Son prix a véritablement flambé depuis quelque temps, partant d’un million d’euros et pouvant atteindre maximum 30 millions.

BMW M3 E30 Coupé

La BMW M3 E30 Coupé
La BMW M3 E30 Coupé ©DR

Beaucoup plus abordable, la BMW M3 E30 Coupé rencontre pourtant un grand succès chez les collectionneurs car elle fait partie des modèles les plus emblématiques des années 80. Cette voiture de sport qui a remporté de nombreuses courses a en fait été produite par BMW de 1987 à 1991. Un exemplaire de cette voiture datant de 1987 sera en vente à Knokke. Son prix est estimé entre 120 000 et 160 000 euros.

Ferrari Dino 246

La Ferrari Dino 246
La Ferrari Dino 246 ©DR

Voiture de sport fabriquée entre 1969 et 1974, la Ferrari Dino 246 (standard ou targa) reste une voiture très appréciée aujourd’hui. En lui donnant son nom, le patron emblématique de la marque au cheval cabré a voulu rendre hommage à son fils, Dino, disparu prématurément. Son prix peut aller aujourd’hui jusque 450 000 euros.

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