Nous venons de repérer ce texte sur la thématique « voitures de collection ». Avec plaisir nous vous en diffusons le principal plus bas.
Son titre saisissant (Il met du poisson pourri dans la voiture de son ex : prison avec sursis) est sans détour.
Annoncé sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu.
Les informations communiquées sont donc jugées véridiques.
Le post a été publié à une date indiquée 2023-02-26 23:05:00.
Texte mentionné :
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La voiture de son ex-compagne était stationnée à Équemauville (Calvados), près de Honfleur, pendant qu’elle était partie en vacances avec son nouveau compagnon. L’homme de 31 ans, qui a déposé du poisson pourri dans l’habitacle mi-juillet 2022, a été jugé jeudi 23 février 2023 pour dégradation ou détérioration du bien d’autrui. Il avait également à répondre de violence et de violation de domicile.
Le juge a rappelé en préambule qu’une femme n’appartient pas à son compagnon « même quand ils sont en couple ». « La fidélité n’est qu’une obligation morale. Tromper quelqu’un n’est pas un délit » a martelé Fabien Attia.
Odeur pestilentielle dans le véhicule
Le trentenaire, qui supporte mal la séparation imposée par sa conjointe, a profité de son absence pour pénétrer chez elle et faire des photos de son logement qu’il lui a envoyées afin de gâcher les vacances qu’elle passait avec son nouvel ami.
Il lui a également adressé des messages dans lesquels il lui conseillait de « bien profiter » car, selon lui, elle « rigolera moins » à son retour de vacances. Effectivement, l’odeur pestilentielle de poisson pourri qu’il a déposé dans sa voiture pendant son absence ne prêtait pas vraisemblablement pas à la « rigolade » quand elle a ouvert la porte.
« Certificats de complaisance »
Dans sa plainte, la femme a également dénoncé des faits de violence de la part de son ex-compagnon (avec lequel elle renouera peu après, Ndlr). Ella produit 2 certificats médicaux remontant respectivement au 25 juin et au 9 juillet dont un justifiant une ITT de 3 jours. « Des certificats de complaisance » selon le mis en cause.
Rhétorique habituelle devant un tribunal
Il admet avoir pu saisir sa compagne par les poignets pour la maîtriser quand elle le frappait. « Pas forcément pour lui faire du mal » insiste-t-il. « Une rhétorique que l’on entend habituellement au tribunal », note le juge. Le trentenaire se montrera moins disert sur la présence du poisson pourri dans la voiture.
Il est condamné à 4 mois de prison avec sursis probatoire pendant 18 mois avec obligation de soins, de travail ou de formation, et de suivre un stage de prévention des violences au sein du couple. Il devra s’acquitter d’une amende contraventionnelle de 200 €.
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