Cet article ayant pour sujet « voitures de collection » a été intercepté sur internet, nous avons voulu vous le révéler dès à présent.
Le titre suggestif (À Vannes, sept mois ferme pour une sortie de route sans permis avec 2,38 g/l d’alcool dans le sang – Vannes) parle de lui-même.
Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’auteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
La fiabilité est de ce fait marquante en ce qui concerne cet encart.
La date de parution est 2022-09-21 08:09:00.
Voici lle texte dont il s’agit :
« J’avais une BMW que je voulais vendre. Je ne pouvais plus l’assurer car je n’avais plus le permis depuis plusieurs mois. Ce jour-là, j’avais constaté que les roues bloquaient, j’avais alors voulu la dégripper en la faisant rouler. Mais sur la quatre voies, elle s’est mise à zigzaguer et j’en ai perdu le contrôle. À cette époque, je buvais, tout en prenant des médicaments ». Ce mercredi 21 septembre, à la barre du tribunal, ce Vannetais, âgé de 42 ans, reconnaît les délits qui lui sont reprochés, alors qu’il est en état de récidive.
Le 8 mai 2021, en milieu d’après-midi, sa voiture était allée seule au fossé sur cette voie express à la hauteur de Surzur. Le conducteur en était sorti indemne mais le véhicule était hors d’usage. Le contrôle d’alcoolémie avait révélé un taux de 2,38 g/l, que cet automobiliste n’avait pas procédé au contrôle technique, n’avait plus de permis après une condamnation quelques mois plus tôt et il roulait sans assurance.
Du vin dès le matin
Pour son avocate Me Morgane Fellic-Onno, « il était dépendant à l’alcool en lien avec une problématique familiale en raison à la fois d’une rupture sentimentale et du décès de sa mère très protectrice dont il était très proche. Il a alors connu une descente aux enfers, au point de se retrouver à la rue, avant d’être placé sous tutelle et de connaître l’univers de l’hôpital psychiatrique. Il ne conduit plus depuis cet accident ». L’expertise psychiatrique du prévenu n’avait décelé aucune abolition du discernement au moment des faits.
Pour le procureur Francis Bihin, « le prévenu avait expliqué aux gendarmes avoir bu du vin dès le matin. Or, à son casier chargé de cinq condamnations, deux peines sont déjà relatives à des conduites en état d’ivresse. Il a besoin de soins encadrés pour maîtriser sa consommation d’alcool, mais s’il affirme qu’il est aujourd’hui abstinent ».
Le tribunal a suivi la voie du ministère public, en condamnant le coupable à quinze mois de prison dont huit avec un sursis probatoire de deux ans, avec l’obligation de soins, de payer 750 € d’amende et l’interdiction de conduire tout véhicule à moteur durant huit mois.
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