En visitant le web nous avons repéré un article qui va vous séduire. Sa thématique est « voitures de collection ».

Son titre (Bolides d’époque, bijoux anciens, vue sur le Tage : nos bons plans pour votre argent) est parlant.

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Le texte a été diffusé à une date notée 2023-06-29 23:03:00.

Texte :

S’offrir un bolide d’époque qui a couru les 24 Heures du Mans, un appartement avec vue sur le Tage ou de rares bijoux des années 1930 à 1970 ; louer sa surface de bureau vacante à un groupe hôtelier pour la rentabiliser ; investir dans un fonds à impact social ; et ne pas oublier de remplir la nouvelle déclaration fiscale pour ses biens immobiliers, car c’est le dernier jour : voilà nos six conseils de la semaine pour votre argent.

« Le Mans Classic 2023 » sur la grille de départ

Mise de départ :

Profil de risque :

Le centenaire des 24 Heures du Mans n’en finit pas de se célébrer . Après la course qui s’est tenue il y a trois semaines avec festivités et feux d’artifice, place ce vendredi après-midi, et sur ce même circuit, à la vente « Le Mans Classic ». Organisé tous les deux ans par Artcurial Motorcars, cet événement se tient exceptionnellement deux années de suite afin de marquer un siècle d’existence. Sur la grille de départ de cette dispersion, 123 voitures dont « cinq bolides qui ont disputé cette compétition à différentes périodes », précise Matthieu Lamoure, directeur du département Artcurial Motorcars.

C’est le cas de la Singer 1,5 litre Le Mans Sports de 1934 (200.000 à 300.000 euros) qui, à l’époque, a décroché la deuxième place de sa catégorie, d’une HRG Le Mans Aerodynamic Lightweight (170.000 à 230.000 euros) qui a couru en 1949, d’une Lotus Elite S2 modifiée par Franck Costin (160.000 à 180.000 euros), d’une Porsche 962C (1,5 à 1,8 million d’euros), arrivée deuxième en 1990, et d’une De Tomaso Pantera SI « ADA » de 1994 (350.000 à 450.000 euros). Cette vente comprend d’autres pépites comme 12 Porsche, 16 Ferrari (constructeur vainqueur de l’édition 2023) et 27 Alfa Romeo.

Nouveau fonds à impact

Mise de départ :

Profil de risque :

Crédit Mutuel Asset Management lance sa gamme Impact First dont le premier fonds a été baptisé « CM-AM Impact First inclusion ». Ce véhicule qui affiche une « gestion engagée » a choisi de mettre en avant l’impact social, placé désormais au même niveau que la quête de la performance financière. « Nous sélectionnons dans notre portefeuille au moins 70 % d’obligations sociales d’émetteurs évoluant dans le secteur de l’accès au logement, la santé, l’éducation, les mobilités et la finance inclusive », explique Sophie Rahm, gérante de ce fonds. Ces émetteurs sont souvent des Etats, des agences locales, nationales voire supranationales. Mise de fonds minimale : 100 euros. Ce placement offre un risque modéré car noté 3 sur une échelle maximale de 7.

Faire du Versailles à Paris !

Mise de départ :

Profil de risque :

Le marché locatif de bureaux fait grise mine . L’essor du télétravail plus le boom du coworking ont donné un sacré coup de vieux aux lieux de travail traditionnels. Résultat, les petites surfaces disséminées ici et là dans des immeubles d’habitation de Paris affichent un taux de vacance en hausse qui plombe le rendement. Pour sortir les propriétaires de ce scénario peu engageant, le groupe hôtelier Archides propose le concept suivant : convertir leur bureau obsolète en suite hôtelière flamboyante avec des services à la clef. C’est le genre de biens dont sont friands de riches clients internationaux de passage dans la capitale. « L’idée consiste à signer avec le propriétaire du bureau un bail commercial classique sur trois, six ou neuf ans, puis d’engager à nos frais d’importants travaux de rénovation et de décoration compris entre 3.500 et 4.500 euros le mètre carré. En amont du chantier, nous demandons un changement d’affectation à la mairie de Paris », indique Raphaël-Elie Lorin, cofondateur d’Archides qui gère 117 adresses de ce genre dans la capitale.

Pour un propriétaire, cette solution « clefs en main » garantit un loyer récurrent pendant toute la durée du bail, sans souci de gestion locative, ni de travaux à payer. Le bailleur serait en mesure « d’augmenter sa rentabilité de 22 % par rapport à une location de bureau classique, de voir son bien revalorisé et à nouveau attractif à quelques mois des JO de 2024 », affirme Archides. Cette société cible des surfaces de 50 à 250 m2 dans des arrondissements centraux et historiques de la capitale (du Ier au XVIIIe). Et si ces lieux ont en plus une histoire à raconter aux futurs occupants, 93 % d’étrangers, c’est encore mieux. Témoin, un appartement où l’écrivain américain Francis Scott Fitzgerald a vécu dans les années 1930 et écrit son célèbre roman Gatsby le Magnifique ou une habitation qui servait autrefois de local à l’éditeur de Victor Hugo. La décoration de ces adresses mixe volontairement les codes de l’ancien avec une touche de contemporain et une vraie volonté d’en « jeter » et de « faire du Versailles à Paris ».

Sursis pour la déclaration immobilière

Mise de départ :

Profil de risque :

Sur le fil, les propriétaires de biens immobiliers ont obtenu un susis. Ils auront finalement jusqu’au 31 juillet pour déclarer en ligne leur patrimoine . Pour la première fois cette année, tous les contribuables propriétaires doivent en effet se livrer à cet exercice imposé. Cela consiste à informer le fisc sur son patrimoine immobilier, le type d’occupation de chaque bien (résidence principale, résidence secondaire, bien locatif, vacant ou occupé à titre gratuit), quel que soit le mode de détention (pleine propriété, indivision, SCI, usufruit, nue-propriété). Pour déclarer, il suffit de se rendre sur le site impots.gouv.fr, d’accéder à son « espace particulier » puis de cliquer sur l’onglet « gérer mes biens immobiliers ». Cette déclaration est préremplie, avec la possibilité de la rectifier, il faudra ensuite la valider. Pour mémoire : tout oubli ou erreur sera facturé 150 euros par logement.

Pièces de haute joaillerie

Mise de départ :

Profil de risque :

Le 6 juillet, Aguttes organisera une vente de près de 200 bijoux. Et dans ce catalogue figure un ensemble singulier de 21 créations de haute joaillerie provenant d’une collectionneuse italienne. Cette dernière a constitué son écrin entre les années 1930 et 1970, au gré de ses voyages et de ses rencontres. « Cet ensemble comporte des pièces aux formes originales et audacieuses qui attirent l’oeil », commente Philippine Dupré la Tour, directrice du département bijoux d’Aguttes. Parmi ces lots, on retient un bracelet manchette serti de cabochons de rubis et diamants (50.000 à 70.000 euros) datant de 1938 et réalisé par les maisons Mauboussin et Trabert & Hoeffer.

De gauche à droite : bracelet manchette de Mauboussin-Trabert & Hoeffer (50.000 à 70.000 euros), bracelet « Hippopotame » de David Webb (15.000 à 20.000 euros).

De gauche à droite : bracelet manchette de Mauboussin-Trabert & Hoeffer (50.000 à 70.000 euros), bracelet « Hippopotame » de David Webb (15.000 à 20.000 euros).DR

« Pour la petite histoire, il s’agit d’un modèle similaire à celui offert par Charlie Chaplin à Paulette Godard pour la consoler de ne pas avoir été choisie pour le rôle de Scarlett O’Hara dans le film ‘Autant en emporte le vent ‘. Sauf que celui de l’actrice était en émeraudes », relate Philippine Dupré la Tour. Autres pièces phares de cette même collection : un collier ruban de Bulgari datant de 1970 serti de cabochons de rubis, d’onyx et diamants (30.000 à 40.000 euros) , et un bracelet manchette « Hippopotame » de David Webb de 1965, en saphir, émail noir et cabochons d’émeraudes (15.000 à 20.000 euros).

Une vue sur le Tage

Mise de départ :

Profil de risque :

Dans le quartier d’Alfama à Lisbonne, et plus précisément au numéro 65-71 rua São João da Praça, trône un immeuble de cinq étages du XIXe siècle en cours de réhabilitation. Fin 2023, y seront livrés neuf appartements de standing avec vue sur le Tage, dont quatre sont encore disponibles. Commercialisés par Athena Advisers, ces biens vont du deux-pièces de 60 m2 à 500.000 euros, au quatre-pièces de 105 m2 à 810.000 euros. Cet immeuble affiche un style pombalin, très fréquent aux XVIIIe et XIXe siècles au Portugal. Très pris és, ces édifices offrent une architecture sobre et rationnelle.

Cet immeuble réhabilité affiche une façade caractéristique de Lisbonne.

Cet immeuble réhabilité affiche une façade caractéristique de Lisbonne.DR

Acheter de l’immobilier au Portugal nécessite de régler des frais de transaction d’environ 6 % du montant de la vente, plus des frais notariés de 0,4 % et des droits de timbre de l’ordre 0,8 %. « Le marché immobilier de Lisbonne, qui avait jusqu’alors l’habitude d’être occupé uniquement pendant la période estivale, se transforme. Depuis l’été 2019, il ressemble à un marché de grande ville, comme Londres ou Paris et devient actif tout au long de l’année », souligne David Moura-George, directeur d’Athena Advisers Portugal.

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