Dans le cadre de notre mission d’information, nous publions ci-dessous un texte vu sur le web ce jour. Le sujet est «voitures de collection».
Son titre (Baden. Le feu de voiture se propage à la maison) synthétise tout le texte.
Sachez que le journaliste (annoncé sous le nom d’anonymat ) est connu et fiable pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur internet.
Il n’y a aucune raison de ne pas croire de la fiabilité de ces infos.
Un incendie s’est déclaré, dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 juillet, dans une des anciennes dépendances, habitée, du château de Kergonano, à Baden (Morbihan). C’est un automobiliste qui a donn …
A relever, cet encart sur le web dont la thématique est « voitures de collection » et qui est susceptible de vous plaire.
Son titre (Monaco. Un nouveau musée pour la collection de voitures du prince) en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat », l’écrivain est positivement connu.
Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette édition.
La collection automobile de la famille princière de Monaco comprenant Renault Floride, Citroën 2CV, Alpine A110 mais aussi Lamborghini Miura ou F1, s’expose à présent dans un nouveau lieu au décor modernisé. Celui-ci se trouve sur l’itinéraire du circuit automobile et vient d’ouvrir au public.
Par MaxK
Publié le 17/07/2022 – 10:00
L’automobile à Monaco, ce n’est pas qu’un Grand Prix et un rallye. La famille princière a en effet accumulé, depuis les premières acquisitions du prince Rainier III dans les années 1950, une collection comptant aujourd’hui une centaine de véhicules. Exposée durant trois décennies sur les terrasses de Fontvieille, celle-ci vient de déménager pour s’établir dans de nouveaux locaux situés au 54, route de la Piscine, sur le port Hercule. Une adresse qui figure sur le tracé du célèbre circuit de F1. Ce nouveau musée de plus de 3 500 m² vient d’ouvrir ses portes au public.
Des pépites de route comme de course
La collection automobile princière de Monaco comprend des véhicules variés mais évidemment tous remarquables, que ce soit par leur rareté, leur sportivité, leur exclusivité ou leur histoire. Des marques prestigieuses aujourd’hui disparues (et pour certaines en phase de renaissance) sont représentées comme Facel Vega, Delage, Delahaye ou Hispano-Suiza. Les classiques ne manquent pas, qu’ils soient badgés Porsche, Ferrari, Maserati mais aussi Alpine ou Mercedes. C’est d’ailleurs une 300 SL « rouge fraise » de 1956, l’une des dix-huit produites dans cette couleur, que l’établissement présente comme sa vedette.
Une large part de l’exposition est consacrée à des voitures de course des années 1990 et 2000. On y dénombre plusieurs F1 (dont la première Ferrari de Charles Leclerc*), une Audi d’endurance, un Mitsubishi Pajero de rallye-raid… Il y en a donc pour tous les goûts, ou presque, avec une scénographie modernisée qui s’appuie notamment sur des images extraites de films.
Une collection à découvrir
Inaugurée le 7 juillet dernier par le prince Albert II et la princesse Stéphanie, la nouvelle exposition permanente de la collection automobile monégasque est accessible au public tous les jours de 10 h 00 à 19 h 00 (pas d’entrée après 18 h 00). Comptez 10 € pour une entrée adulte plein tarif ; 5 € pour un étudiant ou un jeune de 7 à 17 ans. L’accès est gratuit pour les plus petits. Il est possible de réserver sa place via une billetterie en ligne.
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A lire:
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Dans le cadre de notre mission de vous alerter, nous publions ci-dessous un encart de plusieurs lignes vu sur internet il y a à peine quelques minutes. La thématique est «voitures de collection».
Son titre (Monaco. Un nouveau musée pour la collection de voitures du prince) en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat », le pigiste est connu et fiable pour d’autres textes qu’il a publiés sur le web.
La fiabilité est ainsi substantielle en ce qui concerne cet éditorial.
Sachez que la date de publication est 2022-07-17 03:00:00.
Voici lle texte :
La collection automobile de la famille princière de Monaco comprenant Renault Floride, Citroën 2CV, Alpine A110 mais aussi Lamborghini Miura ou F1, s’expose à présent dans un nouveau lieu au décor modernisé. Celui-ci se trouve sur l’itinéraire du circuit automobile et vient d’ouvrir au public.
Par MaxK
Publié le 17/07/2022 – 10:00
L’automobile à Monaco, ce n’est pas qu’un Grand Prix et un rallye. La famille princière a en effet accumulé, depuis les premières acquisitions du prince Rainier III dans les années 1950, une collection comptant aujourd’hui une centaine de véhicules. Exposée durant trois décennies sur les terrasses de Fontvieille, celle-ci vient de déménager pour s’établir dans de nouveaux locaux situés au 54, route de la Piscine, sur le port Hercule. Une adresse qui figure sur le tracé du célèbre circuit de F1. Ce nouveau musée de plus de 3 500 m² vient d’ouvrir ses portes au public.
Des pépites de route comme de course
La collection automobile princière de Monaco comprend des véhicules variés mais évidemment tous remarquables, que ce soit par leur rareté, leur sportivité, leur exclusivité ou leur histoire. Des marques prestigieuses aujourd’hui disparues (et pour certaines en phase de renaissance) sont représentées comme Facel Vega, Delage, Delahaye ou Hispano-Suiza. Les classiques ne manquent pas, qu’ils soient badgés Porsche, Ferrari, Maserati mais aussi Alpine ou Mercedes. C’est d’ailleurs une 300 SL « rouge fraise » de 1956, l’une des dix-huit produites dans cette couleur, que l’établissement présente comme sa vedette.
Une large part de l’exposition est consacrée à des voitures de course des années 1990 et 2000. On y dénombre plusieurs F1 (dont la première Ferrari de Charles Leclerc*), une Audi d’endurance, un Mitsubishi Pajero de rallye-raid… Il y en a donc pour tous les goûts, ou presque, avec une scénographie modernisée qui s’appuie notamment sur des images extraites de films.
Une collection à découvrir
Inaugurée le 7 juillet dernier par le prince Albert II et la princesse Stéphanie, la nouvelle exposition permanente de la collection automobile monégasque est accessible au public tous les jours de 10 h 00 à 19 h 00 (pas d’entrée après 18 h 00). Comptez 10 € pour une entrée adulte plein tarif ; 5 € pour un étudiant ou un jeune de 7 à 17 ans. L’accès est gratuit pour les plus petits. Il est possible de réserver sa place via une billetterie en ligne.
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300 voitures au destin inattendu.,Ouvrage Recommnandé par la presse.
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Voilà un post que nous sommes heureux de communiquer ici sur notre site. Le propos est « voitures de collection ». Son titre saisissant (Automobile. Comment Porsche a été sauvée grâce à un SUV) en dit long.
Identifié sous la signature «d’anonymat », le journaliste est positivement connu.
La date d’édition est 2022-07-16 23:05:00.
Texte original :
L’histoire du Cayenne commence par une étude commandée par Hans Riedel, responsable des ventes Porsche à l’époque. La question est la suivante : « Porsche peut-il survivre avec les seules 911 et Boxster au catalogue ? »
Après quelques semaines, la réponse de l’étude de marché tombe et elle est sans appel. Pour continuer d’exister au XXIe siècle, Porsche va devoir se diversifier. Le « seul moyen pour Porsche de retrouver une pente ascendante sans dépendre du seul marché de la voiture de sport classique ».
À quoi doit ressembler la troisième Porsche ?
La décision est prise, le projet “troisième Porsche” est lancé. Mais quel véhicule proposer ?
Cinq concepts de véhicules alternatifs sont examinés par la direction. Les trois premiers sont rapidement écartés et “la finale” oppose deux projets. D’un côté un monospace de luxe et de l’autre un SUV sportif. A l’époque, les monospaces se vendent bien un peu partout dans le monde.
Mais Porsche ne peut prendre de décision avant de consulter son équipe américaine. Les États-Unis sont un énorme marché pour la marque allemande.
D’entrée, les dirigeants de Porsche USA se montrent catégoriques et disposent d’arguments de choc. Certes, les vans étaient particulièrement populaires sur le marché américain. Mais surtout parmi les familles avec de nombreux enfants et un faible niveau de revenus.
Pendant ce temps-là, les gros SUV se vendaient bien, y compris aux CSP+.
Porsche USA met son véto au monospace, en Allemagne la décision est prise : la troisième Porsche sera un SUV.
Un partenariat avec Mercedes
Assez rapidement, Porsche prend conscience de la nécessité de s’allier à un partenaire pour concevoir son premier SUV. En utilisant une base déjà existante, la marque économisera des centaines de millions d’euros de développement, tout en gagnant beaucoup de temps.
Le premier partenaire envisagé est Mercedes-Benz. Le constructeur à l’étoile doit en effet lancer son Classe M en 1997 et Porsche le sait. Les premiers contacts sont encourageants et Mercedes-Benz n’est pas du tout opposé à s’associer à Porsche sur ce projet.
L’accord est rapidement scellé et les équipes des deux constructeurs commencent à travailler ensemble. « À ce stade, nous envisageons le SUV Porsche comme une déclinaison haute performance du futur Classe M de chez Mercedes », explique Klaus-Gerhard Wolpert, chef de produit Cayenne pendant douze ans.
De Mercedes-Benz à Volkswagen
« La voiture aurait eu son propre design extérieur, beaucoup de la technologie de la Classe M, mais des moteurs et des composants de châssis de notre part », précise le responsable du projet.
La coopération Porsche-Mercedes convenue à l’été 1996 progressait bien, mais vers la fin de l’année, des questions d’argent entre les deux sociétés ont forcé Porsche à se retirer du projet. Il fallait tout recommencer à zéro et trouver un nouveau partenaire.
Bien que Volkswagen et Porsche ne soient pas encore membres du même groupe, le président du conseil d’administration de Volkswagen, Ferdinand Piëch, petit-fils du fondateur de la société Porsche, Ferdinand Porsche, va accueillir ce projet favorablement.
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Gérer mes choix
Interdiction de rouler en Porsche !
Pour donner à ses ingénieurs une idée des exigences liées au développement d’un SUV, la direction de Porsche va prendre une décision inhabituelle via son directeur Wolpert : « J’ai demandé à tous mes chefs de division de rendre leurs voitures de société Porsche. Nous avons acheté un certains nombre de SUV tels que le BMW X5, le Ford Explorer, le Jeep Grand Cherokee et le Mercedes Classe M. Les ingénieurs et responsables devaient conduire ces modèles au quotidien, et tous les mois nous les permutions. »
Une façon pour Porsche d’insuffler à ses troupes la culture SUV. Les ingénieurs s’intéressent soudainement à l’espace de stockage, la hauteur du seuil de chargement, aux sièges arrière rabattables ou aux capacités de franchissement.
Différencier le Cayenne du Touareg
L’autre enjeu sera de faire une vraie Porsche en partant d’un Volkswagen Touareg. Le châssis, le pare-brise et les quatre portes des deux SUV sont en effet identiques.
« De profil, les portes définissent la personnalité d’une voiture. Derrière la porte arrière, il nous reste peut-être un mètre, ça ne laisse pas beaucoup de place pour faire quelque chose », explique Mauer, un des ingénieurs. Pour se différencier, les designers vont bosser d’arrache-pied, passant une année entière sur les seuls phares.
Le point le plus haut des ailes et des phares est au-dessus de celui du capot, une caractéristiques essentielle pour une Porsche et un vrai défi quand vous devez faire entrer un gros moteur V8 sous le capot.
Une présentation remarquée
En septembre 2002, quatre bonnes années après que la décision de construire le Cayenne ait été rendue publique, la première Porsche cinq places célébrait sa première mondiale au Mondial de l’automobile de Paris.
Pour Wendelin Wiedeking, patron de Porsche, l’entreprise joue très gros ce jour-là : « Cette journée, il n’y a aucun doute dans mon esprit, aura une signification historique pour l’entreprise. »
Au sein de Porsche, le Cayenne est rapidement accepté, au contraire des puristes de la marque qui crient au scandale. Pour les fans et clubs de la marque, une Porsche à cinq portes et cinq places est déjà une hérésie, alors un vulgaire 4×4…
Le Cayenne a sauvé la marque
Les chiffres donneront raison à Porsche. Alors que le constructeur tablait sur 25 000 ventes par an, Porsche vendra 276 652 exemplaires de la première génération, soit 35 000 par an.
Depuis son lancement, plus d’un million de Cayenne ont été vendus.
« Avec le Cayenne, nous avons réussi pour la première fois à transférer avec succès la légende Porsche à un tout nouveau segment de marché », déclare Oliver Blume, président du directoire de Porsche AG. Et à sauver une marque mythique.
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Cet encart de quelques lignes ayant pour thème « voitures de collection » circule sur internet, nous avons voulu vous le révéler plus bas.
Son titre (Dans la Manche, un autocar exceptionnel récupéré dans un garage et restauré à Granville) est sans détour.
Sachez que l’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez ainsi faire confiance aux informations qu’il publie.
L’encart a été édité à une date mentionnée 2022-07-16 02:00:00.
Texte mentionné :
Le garage automobile Normandy Classics, de Granville (Manche) accueille dans ses locaux un autocar Citroën Cityrama de 1959. L’objectif : le restaurer pour la fondation du patrimoine.
Je vous indique un tout nouvel éditorial qui va parachever notre revue de presse sur « voitures de collection ».
Son titre (Dans la Manche, un autocar exceptionnel récupéré dans un garage et restauré à Granville) est parlant.
Présenté sous la signature «d’anonymat », l’éditorialiste est positivement connu pour d’autres textes qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez par conséquent faire confiance à cette publication.
L’encart a été divulgué à une date indiquée 2022-07-16 02:00:00.
Voici lle texte en question :
Le garage automobile Normandy Classics, de Granville (Manche) accueille dans ses locaux un autocar Citroën Cityrama de 1959. L’objectif : le restaurer pour la fondation du patrimoine.
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Die schwere Holztür öffnet sich mit einem langen, unangenehmen Knarzen. Erste Lichtstrahlen dringen durch die staubige, seit Jahren dahinter gefangene Luft. Die Konturen eines Sportwagens zeichnen sich ab. Dann die von zwei weiteren, einem Vorkriegsklassiker und einem sehr kugeligen Gefährt, das nur aus Wolfsburg stammen kann und nicht so recht in die Reihe der flachen Flitzer passt. Als sich die Augen endlich an das Dämmerlicht gewöhnt haben, mag man ihnen kaum glauben: der bereits identifizierte VW-Käfer wird flankiert von Bugatti EB 110, Ferrari Testarossa, Ferrari 250 LM et Mercedes-Benz 500 K Spezial-Roadster.
Der Finder kann sein Glück kaum fassen, auch wenn die Autos sicher keine Millionen wert sind. Denn aufgetaucht sind sie nicht in einer verlassenen Scheune auf dem Land, sondern in einem Schrank auf dem Dachboden des Elternhauses. Es sind Modelle im Massstab 1/18, die einst von Kinderhand zerspielt und dann hier vergessen wurden. Der Zustand ist traurig; mit Macken im Lack, verbogenen Scheibenwischern und abgebrochenen Kleinteilen. Doch sie haben überlebt. Von jedem Auto ist noch die Geschichte bekannt, wie es einst in den Besitz kam : das Souvenir aus Italien, das Werbegeschenk des Fliesengrosshändlers und das vom Enkel frech angeeignete Ausstellungsstück des Grossvaters.
Natürlich werden alle fünf demnächst ihre finstere Lagerstätte verlassen und ans Tageslicht zurückkehren. Und es stellt sich dieselbe Frage wie bei den grossen Scheunenfunden : Restaurieren oder so lassen ?
Nous venons de découvrir ce texte sur la thématique « voitures de collection ». Avec régal nous vous en transmettons le principal plus bas.
Le titre séduisant (Photos Metz : Porsche, Mercedes, Renault… les voitures anciennes défilent place d’Armes) en dit long.
Identifié sous la signature «d’anonymat », l’auteur est connu et fiable pour d’autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.
Les infos concernées sont de ce fait présumées valides.
L’éditorial a été diffusé à une date mentionnée 2022-07-15 10:16:00.
Voilà ll’article :
Ce vendredi 15 juillet, une vingtaine de voitures de collection étaient stationnées devant l’hôtel de ville de Metz, place d’Armes. Élégantes, elles ont suscité l’intérêt des touristes et curieux.
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Ci-dessous un nouvel encart qui va grossir notre revue de presse sur « voitures de collection ».
Le titre troublant (La toute nouvelle Toyota Crown 2023 dévoilée, en route pour le Canada) en dit long.
Présenté sous le nom «d’anonymat », le pigiste est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.
Les informations publiées sont en conséquence jugées crédibles.
L’article a été édité à une date indiquée 2022-07-15 00:00:00.
La Toyota Crown 2023 est une berline à hayon haute sur pattes, légèrement plus grosse que la Toyota Camry.
Deux motorisations seront proposées, dont une axée sur les performances.
La version Crown Platinum obtient des roues de 21 pouces et une peinture bicolore.
Une toute nouvelle berline est sur le point d’arriver au Canada, à une époque où les consommateurs n’en achètent plus. Néanmoins, la Toyota Crown 2023 cherchera à attirer une clientèle avec un design pratique, une caisse surélevée et les habituelles motorisations hybrides de Toyota.
Le nom Crown est apparu sur la première voiture de Toyota en 1955 au Japon, s’appelant la Toyopet Crown. La petite berline a été importée aux États-Unis sans toutefois connaître le succès souhaité, alors que la deuxième génération de la Crown, plus grosse, a été par la suite introduite au Canada. La Crown s’est retirée des deux marchés en 1972, deux ans après l’arrivée de la quatrième génération. C’était il y a 51 ans.
La Toyota Crown 2023 introduit la seizième génération du modèle, et si les itérations précédentes s’avéraient de grandes berlines de luxe, certaines partageant même des motorisations avec des voitures Lexus telles que la LS et la GS, la nouvelle Crown une berline intermédiaire haute sur pattes. Il repose sur un empattement de 2 850 millimètres et affiche une longueur hors tout de 4 930 mm, une largeur de 1 840 mm et une ligne de toit s’élevant à 1 540 mm. Côté dimensions, elle se range entre les Toyota Camry et Toyota Avalon.
La Crown sera offerte en déclinaisons XLE, Limited et Platinum, et les deux premières sont équipées d’un système hybride composé d’un quatre cylindres de 2,5 litres et de deux moteurs électriques. Bien que la puissance n’ait pas encore été annoncée, une motorisation similaire se trouve dans le Lexus RX 2023, produisant 246 chevaux et un couple de 233 livres-pied. Les XLE et Limited disposent aussi d’un rouage intégral électronique intitulé E-Four AWD, grâce à un troisième moteur électrique connecté aux roues arrière, et la répartition du couple disponible peut varier de 100/0 à 20/80 avant/arrière, selon le constructeur. Ce dernier avance également une consommation mixte ville/route de 6,2 L/100 km.
Entre-temps, la version Platinum de la Toyota Crown 2023 profite de la motorisation HYBRID MAX axée sur les performances, regroupant un quatre cylindres turbo de 2,4 litres, deux moteurs électriques et une boîte automatique à six rapports. La puissance est estimée à 340 chevaux, alors qu’une configuration similaire dans le Lexus RX 500h F SPORT Performance affiche 367 chevaux et 406 livres-pied – juste pour nous donner une idée du couple. La variante Platinum avec son système HYBRID MAX livrerait une consommation mixte de 8,4 L/100 km.
La sportive Platinum obtient aussi une suspension variable adaptative, six modes de conduite au lieu de trois dans les XLE et Limited, des roues de 21 pouces au lieu de 19 sur les XLE et Limited, une peinture bicolore ainsi qu’un rouage intégral E-Four Advanced AWD, ajoutant aussi un moteur électrique sur le train arrière et permettant une répartition du couple disponible variant de 70/30 à 20/80 avant/arrière.
La Toyota Crown 2023 est équipée de série de sièges avant chauffants, de sièges avant à huit réglages électriques, d’une sellerie en Softex et en tissu, un climatiseur automatique bizone, une instrumentation numérique de 12,3 pouces pour le conducteur, une recharge de téléphones par induction et une chaîne audio à six haut-parleurs, entre autres. La version Limited ajoute des sièges ventilés avant et chauffants arrière, une sellerie de cuir, un toit panoramique, une clé intelligente, un éclairage d’ambiance à DEL et une chaîne JBL à 11 haut-parleurs, alors que la Platinum dispose aussi d’un système de caméras à vue périphérique, une assistance active du stationnement ainsi qu’une clé numérique, permettant aux usagers d’accéder et de démarrer le véhicule à l’aide de leurs téléphones au lieu de la télécommande conventionnelle.
Le nouveau système multimédia récemment introduit par Toyota fera également son chemin dans chaque version de la Crown, comprenant l’écran tactile de 12,3 pouces, la possibilité d’effectuer des mises à jour par Internet, la reconnaissance vocale, la double connectivité de téléphones Bluetooth ainsi que l’intégration Apple CarPlay et Android Auto sans fil. On retrouve également un forfait de services connectés pour trois ans, incluant le démarrage à distance, le déverrouillage et verrouillage des portes à distance, l’affichage de l’état du véhicule, l’assistance en cas d’urgence, l’assistance routière, la géolocalisation du véhicule en cas de vol, et bien plus.
Les berlines à hayon hautes sur pattes ne sont pas très communes en Amérique du Nord, mais elles le sont davantage dans d’autres marchés comme en Chine et en Europe. La Toyota Crown 2023 tentera de réussir là où la dernière génération de l’Avalon a échoué, attirant les consommateurs intéressés par une voiture, mais qui apprécieront plutôt la caisse surélevée de la Crown, permettant des entrées et sorties plus aisées, en plus du côté pratique de son hayon.
Les prix n’ont pas encore été annoncés, mais la toute nouvelle Toyota Crown sera en vente d’ici la fin de l’année. La concurrence très indirecte inclut la Nissan Maxima, la Dodge Charger et la Chrysler 300.
Publications:
La Honda Civic de mon père.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
En visitant le web notre équipe a remarqué un article qui risque de vous ravir. Son thème est « voitures de collection ».
Le titre suggestif (Cannes se prépare à accueillir un musée pour mettre en valeur l’art contemporain africain) parle de lui-même.
L’auteur (présenté sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.
La crédibilité est donc majeure concernant ce post.
L’éditorial a été diffusé à une date notée 2022-07-14 05:00:00.
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L’exposition « Bande-annonce », qui présente une centaine d’œuvres de la collection de Jean Pigozzi dans l’ancienne la gare maritime de Cannes, porte bien son nom. Car cet accrochage orchestré par Elizabeth Whitelaw et Jérôme Neutres est un avant-goût d’un futur « musée Pigozzi » annoncé lors du vernissage, le 11 juillet, par David Lisnard, maire (Les Républicains) de la ville azuréenne. Depuis longtemps déjà, Jean Pigozzi, « Johnny » pour les intimes, aspirait à ouvrir un lieu pour abriter si ce n’est l’ensemble, du moins une grosse partie de ses œuvres d’art contemporain d’Afrique.
L’excentrique en chemises hawaïennes, qui tutoie les magnats de la finance et de la tech comme les célébrités, pense à sa postérité. « Ce serait triste que trente ans de travail disparaissent si un jour je suis écrasé par un bus et que deux méchantes dames de salles de ventes viennent tout emballer et disperser les 10 000 œuvres », confie-t-il, impassible comme toujours.
L’héritier de la firme automobile Simca a grandi avec des Renoir et des Sisley aux murs de l’appartement familial de Neuilly. Adulte, il achète les attributs de sa classe d’âge et de son milieu, Andy Warhol et le pop art, sans grande conviction. Jusqu’à ce qu’il découvre en 1989 l’exposition « Les Magiciens de la Terre », à La Villette, qui participe à faire connaître des artistes non occidentaux, d’Asie, d’Amérique latine, mais aussi du continent africain.
Trouver un ancrage pérenne
C’est le déclic ! « Pour moi, l’Afrique c’était des masques en bois et des chiens hérissés de clous », précise-t-il. Il missionne alors André Magnin, l’un des cocommissaires de l’exposition pour lui monter une collection. Le budget est illimité mais, à l’époque, les œuvres s’achètent pour une bouchée de pain.
En tout, Jean Pigozzi a déboursé 25 000 à 100 000 euros par an, sur vingt ans, une somme qu’il aurait pu « dépenser en boîtes de nuit, dans des équipes de polo ou des maîtresses suédoises », souligne-t-il, volontiers provocateur. Sans jamais mettre les pieds en Afrique, il se constitue un ensemble de référence, marqué par un penchant pour l’école populaire de Kinshasa (République démocratique du Congo) et l’artiste ivoirien Frédéric Bruly Bouabré, dont il possède pas moins de 150 dessins. Saluée par certains, la collection sera décriée par d’autres qui lui reprochent une vision exotique, voire néocolonialiste du continent.
A partir de 1991, cet ensemble fait le tour du monde. Mais Jean Pigozzi rêve de lui trouver un ancrage pérenne. En 2019, il donne 45 œuvres au prestigieux MoMA de New York, qui organise une exposition des cités futuristes du sculpteur congolais Bodys Isek Kingelez. D’autres villes sont sur les rangs.
« On a été en discussion pendant des années à Paris, sans que jamais cela n’aboutisse », se souvient André Magnin. Jean Pigozzi se rabat sur Monaco, où l’ensemble avait été exposé en 2005 au Grimaldi Forum. Les pourparlers sont avancés, le collectionneur à l’oreille du prince Albert.
Le choix de la chapelle Saint-Roch
« Mais le Rocher est tellement petit que chaque mètre carré est convoité comme sur les Champs-Elysées, souffle Jean Pigozzi. Entre un musée d’art africain et une clinique spécialisée dans le botox, le choix est vite fait ! » D’autres projets, en Norvège notamment, tombent aussi à l’eau.
Jusqu’à cette rencontre, voilà un an, avec David Lisnard. L’édile, qui a engagé la rénovation du centre d’art de la Malmaison, sur la Croisette, veut placer sa ville sur la carte de l’art contemporain. Et il a des projets de musée en pagaille, autour du cinéma, de la mer, de l’exploration. Pour celui qui organise cette année les rencontres culturelles Cannes Dakar, pas de doute, « l’Afrique est l’un des pans majeurs d’avenir des arts plastiques ».
Jean Pigozzi est séduit. Cannes est à 20 minutes en voiture du Cap d’Antibes, où cet intime de la jet-set passe depuis toujours ses étés dans sa splendide résidence familiale. La métropole de 160 000 habitants s’anime au gré des festivals et des rencontres professionnelles. « Elle est fréquentée par des millions de visiteurs de tous les pays, de tous les milieux, un vivier autrement plus diversifié que le Marais à Paris », vante Jérôme Neutres.
Plusieurs espaces sont visités : la gare maritime, où se tient aujourd’hui l’exposition « Bande-annonce », un ancien comptoir provençal du verre dans le quartier Saint-Louis, un espace à la Bocca. Mais c’est finalement la chapelle Saint-Roch qui rallie les suffrages. Cet ancien lieu de culte désacralisé se trouve en plein cœur du Suquet, le quartier historique de Cannes. Et pour ne rien gâcher, il voisine un autre centre d’art, le Suquet des artistes, installé depuis 2015 dans une ancienne morgue.
« Un musée du XXIe siècle »
David Lisnard a déjà fait le calcul : il faut environ 7 millions d’euros pour réhabiliter l’église. La ville apportera son écot, mais il espère pouvoir compter sur un partenariat public-privé. « On travaille d’arrache-pied pour essayer d’ouvrir le musée le plus rapidement possible, on espère en 2026 », ajoute Maud Boissac, directrice des affaires culturelles de la ville.
L’inventaire des œuvres données n’a pas encore été finalisé. « Il s’agira de plusieurs milliers d’œuvres, données en deux temps, du vivant de Jean Pigozzi et après sa mort », précise Maud Boissac. Le collectionneur septuagénaire, qui entend en assurer la direction artistique les premières années, le promet, « ce ne sera pas un musée figé », encore moins circonscrit à une géographie, même si l’Afrique sera la dominante.
« J’aimerais que ce soit un musée du XXIe siècle, confie-t-il, qu’on organise des performances en duplex avec des pays africains, qu’on fasse rayonner l’art contemporain africain dans le monde à partir de notre base cannoise. »
« Bande-annonce, la collection Pigozzi à Cannes », jusqu’au 21 août, gare maritime, boulevard de la Croisette, Cannes, www.cannes.com
Identification et cote ; les miniatures de véhicules et engins utilitaires.,Ouvrage .
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