Information pour les fans : Famille recomposée : elles sont belles-mères et heureuses de l’être

Notre équipe vient de remarquer cet éditorial sur la thématique « voitures de collection ». Avec régal nous vous en communiquons l’essentiel ci-dessous.

Le titre saisissant (Famille recomposée : elles sont belles-mères et heureuses de l’être) est parlant.

Sachez que le journaliste (présenté sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.

Vous pouvez donc vous fier aux révélations qu’il divulgue.

L’article a été divulgué à une date indiquée 2022-07-11 06:30:00.

Texte :

« Parfois, la petite main de Lucas venait se glisser entre nous deux dans la rue », se souvient avec tendresse Marine, belle-mère d’un adolescent de 16 ans aujourd’hui. La jeune femme, sans enfants, avait certes un peu d’appréhension au début mais découvre rapidement « un gamin adorable, au contact facile ». Malgré le manque d’intimité dans leur premier minuscule appartement, Marine apprend à connaître cet enfant d’une autre, notamment lors des trajets pour le raccompagner chez sa mère. « Mon compagnon ne conduisant pas, notre relation avec Lucas s’est beaucoup construite dans ces moments en voiture. »

Lire aussi >> Familles recomposées : faire un nouvel enfant ou pas ?

Depuis 8 ans, la belle-mère tisse lien fort, construit patiemment, avec l’aide du garçon. « Je lui ai rapidement expliqué qu’il fallait qu’on trouve nos marques tous les deux. Ça m’a vraiment fait du bien. » Même si parfois un sentiment d’illégitimité pointe encore son nez, lorsqu’il s’agit de recadrer des détails du quotidien comme ranger sa chambre, Marine s’amuse de se définir comme « la marâtre qui fait faire des gâteaux. Je lui propose souvent de me seconder en cuisine ». Quant aux trajets, ils sont devenus source de confidences à mesure que Lucas grandissait et qu’il fallait aller le chercher après une soirée entre amis. « Là il me dit des choses qu’il ne confie pas forcément à son père… Parfois aussi on complote ensemble, on parle de cadeaux pour son père. » Quand on lui demande si elle a un enfant, la trentenaire s’entend répondre amusée : « J’ai la moitié d’un gamin ! » La belle-mère complice, si elle n’est pas décisionnaire de certaines choses importantes, reste néanmoins régulièrement consultée par son compagnon et Lucas. « C’est un gamin que j’adore, je l’aime comme je peux aimer mes neveux et nièces. Il fait partie de ma famille. Le tout, c’est de voir comment ta personnalité s’accorde avec la sienne. »

Rôle à composer

Car la belle-parentalité est d’abord affaire de feeling, comme le rappelle la psychologue Catherine Audibert, autrice du « Complexe de la marâtre, être belle-mère dans une famille recomposée »[1]. « La rencontre avec les enfants est comme dans la vie en général, ils ont une personnalité, et il faut qu’il y ait un truc qui vous plaise à vous. Quand c’est le cas, c’est génial ! » Et la thérapeute de reconnaître que la question des entraves à l’amour sont cependant nombreuses dans les familles recomposées. D’abord par l’image négative des belles-mères véhiculée depuis des lustres dans la littérature et la pop culture, qui induit des réactions défensives, des ex-compagnes comme des enfants, qui pensent d’emblée que la belle-mère va être destructrice. Quant au père, souvent engoncé dans sa culpabilité post-séparation, il ne sait bien souvent quelle posture adopter et comment faire tiers. Quant aux situations délétères, notamment entre le conjoint-e et son ex, elles permettent plus difficilement de créer du lien, de laisser s’exprimer des affects bienvenus. « Car il faut bien avoir en tête que la plupart de ces femmes n’ont aucun a priori sur les enfants de leur compagnon, ni même sur le fait de devenir belle-mère, insiste la psychologue. Quand on se met avec une personne qui a des enfants, on accepte une mission ». Alors quand les entraves sont dérisoires, les adultes cohérents entre eux « et surtout, qu’on laisse à la belle-mère sa place d’adulte auprès des beaux-enfants », le chemin vers une forme de sérénité est plus aisé. Certes, il peut être long, mais valoir sacrément le coup, puisqu’il est entièrement à construire.

Comme le souligne la journaliste Fiona Schmidt dans son livre « Comment ne pas devenir une marâtre »[2] : « La bonne nouvelle, c’est que puisque le rôle d’une belle-mère n’est pas clairement défini, il est à composer en fonction des enfants, de votre conjoint-e, de la mère des enfants, mais surtout de vous ». Voilà une voie non tracée qui offre de belles perspectives ! Une fonction à la carte donc, dont s’est saisie avec légèreté Elsa, 36 ans, qui avoue n’avoir « jamais eu de ‘fascination’ pour les enfants ». Sauf qu’Elio, 10 ans à l’époque et 14 aujourd’hui, en avait décidé autrement. « Il était très content que je sois là, m’a mis hyper à l’aise tout de suite, il voulait qu’on fasse plein de trucs ensemble, se remémore Elsa. C’est lui qui m’a vraiment mise en confiance ». Passionné de cuisine, le jeune garçon la sollicite pour les courses et les repas, créant de vrais moments de complicité culinaire. Détendu, accueillant, Elio s’intéresse progressivement à la politique, un des centres d’intérêts de sa belle-mère, scrute les débats télévisés avec elle, échange longuement, l’accompagne même à des meetings. Parfois, beau-fils et belle-mère déjeunent ensemble, appréciant ces temps privilégiés. Sur le téléphone, le numéro d’Elsa est référencé à « Ma belle-mère chérie ». « Il m’a dit une fois : si vous vous séparez avec papa, je continuerais à te voir ! », sourit Elsa, qui reconnaît une implication spontanée, presque sans y prendre garde. « Je n’avais pas anticipé tout ça ! Aujourd’hui je me fais vite du souci pour lui, j’ai envie qu’il soit heureux, qu’il ait le choix de ce qu’il a envie de faire. »

« Je n’étais pas la belle-mère de Cendrillon, j’ai même fait l’inverse ! »

« Bien sûr que des liens d’attachement, voire d’amour, peuvent se créer, explique Catherine Audibert. Et comme dans l’amour en général, il y a une part de mystère. » Ainsi, dans une même fratrie, on peut avoir des affinités avec une personne, et pas avec une autre. Il en est de même pour les belles-mères. Il existe même parfois un sentiment d’amour très intense, qui vous saisit à la gorge. Ce fut le cas pour Nathalie, bercée par les ouvrages d’Irène Théry, sociologue de la famille et inventrice du terme « famille recomposée ». À 57 ans, et bien que séparée du père de son ex-belle-fille, Nathalie et elle continuent à se voir, liée par un attachement très puissant. « À l’époque de la rencontre, j’avais 25 ans, et Elvire en avait 4. La petite s’est accrochée à moi comme une coquille sur un rocher. Je l’ai tout de suite aimée. J’étais bien avec elle, elle était bien avec moi. » Nathalie est une belle-mère accueillante. Elvire a un frère, mais si Nathalie « fait le job » auprès de lui, le lien n’est pas le même. La mère d’Elvire et de son frère est, elle, peu présente. Par cette absence, elle contribue sans doute involontairement à ce rapprochement, cédant ainsi une place à prendre. « Je suis devenue le repère de la petite. » Par la suite, Nathalie tombe enceinte. Malgré son ventre qui prend de l’ampleur, elle continue à porter, au propre comme au figuré, la petite Elvire. Parfois au détriment de sa fille ainée, qui a pu pâtir de cette relation fusionnelle. Nathalie résume ainsi ce lien : « Je lui dis qu’elle est ma fille, mais que je ne suis pas sa mère. J’ai eu le sentiment de construire ma famille autour d’elle. Je n’étais pas la belle-mère de Cendrillon, j’ai même fait l’inverse ! » Elvire adulte, Nathalie séparé de son père dans le conflit, le lien s’est un peu distendu. Mais a fini par reprendre le dessus. « Récemment, Elvire a pu me dire : ‘Ma safe place, c’est avec toi’. Ça m’a vraiment touché, savoir que j’étais un refuge. » Avec le recul, Nathalie perçoit l’intensité d’une rencontre, une appréciation mutuelle, une considération de la personne pour ce qu’elle est. « C’est énormément de joie d’être avec Elvire. C’est de l’amour, on a une affection filiale, mais d’adultes qui se sont choisies. » Chaque rencontre va donc être distincte, et évolutive, ce qui est une bonne chose, et évite de baisser le bras quand la situation de la famille recomposée paraît ankylosée. « Chaque expérience est différente et n’a pas à être comparée aux autres, rappelle la psychologue Catherine Audibert. On parle d’une création de lien, et c’est donc à chaque fois singulier. Comme avec ses propres enfants au final ! »

[1]Editions Payot

[2]Editions Hachette

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ALPINE Berlinette A108 et A110.,Ouvrage .

24 Heures du Mans 2020, le livre….,Ouvrage .

Restaurez réparez votre Mini.,A voir et à lire. .

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Dernière actualité pour vous : Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée

J’ai trouvé un éditorial sur le web dont la thématique est «voitures de collection».

Son titre suggestif (Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée) est sans détour.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable.

La date de parution est 2022-07-11 13:05:00.

Voilà un trésor du passé qui a fait tourner les têtes à de nombreuses reprises et a même fait une apparition remarquée au cinéma à la fin des années 1950. L’unique exemplaire restant d’un autocar Citroën U55 Cityrama s’apprête à faire l’objet d’une restauration complète. Un véhicule exceptionnel qui témoigne du savoir-faire français de l’époque en matière de carrosserie et qui aujourd’hui suscité même l’intérêt de la Fondation du Patrimoine.

Un seul exemplaire restant

Citroën Cityrama 1956
En 1956, Currus est chargé de fabriquer un autocar de tourisme futuriste permettant de contempler le mieux possible Paris.

Dix ans après la Seconde Guerre mondiale, l’heure est à la reconstruction, et le tourisme se développe en France. Dans le but de rendre l’activité encore plus attractive, le directeur de la compagnie Cityrama, Jean-Pierre Dubreuil, fait appel au plus ancien carrossier de Paris, Currus, pour réaliser un bus hors normes. C’est ainsi qu’en 1956 un bus à double étage et à la surface vitrée gigantesque voit le jour. Il n’a plus rien à voir avec le Citroën U55 dont il reprend le châssis. Ses lignes futuristes, très en vogue à l’époque, s’inspireraient même des bateaux-mouches. Son toit panoramique était amovible pour profiter du grand air en été. Le bus – haut de presque 4,35 m – pouvait accueillir 50 passagers et proposait des audioguides en huit langues différentes. Trois exemplaires du Citroën U55 Cityrama ont été produits, mais seul celui de 1959 a survécu. Jusqu’à la fin des années 1970, les touristes ont pu découvrir la capitale à travers les grandes fenêtres de cette fusée à quatre roues.

Citroën U55 Cityrama
Le Citroën U55 Cityrama mesure 4,35 m de haut et peut accueillir 50 passagers.


Restauration du dernier exemplaire

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

Le propriétaire du Citroën Cityrama est le genre de collectionneur passionné qui aurait besoin de plusieurs vies pour restaurer dans les règles de l’art tous ses véhicules. Avec l’Association Normande d’Anciens Utilitaires (ANAU), dont il est proche, cela faisait des années qu’ils discutaient d’un projet de restauration pour ce bus touristique. Les travaux sont importants et nécessitent donc beaucoup d’argent, environ 400 000 €. La restauration de l’engin est soutenue par la Fondation du Patrimoine. Cette dernière a lancé un appel au don sur son site internet. Une aide essentielle pour l’ANAU, qui ne peut assumer seule l’intégralité des dépenses. Sur les 50 000 € du premier palier, déjà plus de 18 000 € ont été récoltés au moment d’écrire ces lignes. 

Quatre ans de travail

Citroën Cityrama restauration normandie
C’est l’atelier Normandy Classics qui s’occupera de la restauration.
bus Cityrama restauration
Environ 2 000 heures de travail seront nécessaires pour que le Cityrama retrouve son lustre d’antan.

Une telle pièce mérite du temps… La restauration du bus a été confiée à l’atelier Normandy Classics, situé à Granville, dans la Manche. Contacté par nos soins, Philippe Debasly, propriétaire du garage, explique qu’il faudra quatre ans, soit environ 2 000 heures de travail, à quatre personnes pour redonner à l’autocar Cityrama ses lettres de noblesse. « C’est un projet qui me tient à cœur […] car je suis un fou de Citroën et d’utilitaire », explique-t-il. Pour cet exemplaire unique, chaque étape sera cruciale. La première consiste à désosser entièrement le véhicule.

Citroën Cityrama restauration
La première étape est de mettre à nu l’autocar, puis d’identifier toutes les pièces.
Citroën Cityrama ANAU restauration
Le travail au niveau des fenêtres s’annonce également sportif.

Il faut se montrer patient et rigoureux car la moindre pièce devra être répertoriée. Philippe Debasly aimerait que cette première phase se réalise avec l’ensemble des restaurateurs afin que chacun puisse évaluer l’ampleur du travail à accomplir, notamment en ce qui concerne la carrosserie. Surtout que le bus Citroën a déjà subi une restauration, mais qui n’a jamais abouti. Il faudra ensuite sabler la carcasse et reconstruire à l’identique les pièces qui ont été rongées par la rouille. À l’issue de cette partie, le travail de carrosserie pourra commencer, puis la réfection de la mécanique (toujours impeccable à l’heure actuelle). Enfin, l’intérieur pourra être rénové.

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

 

Bibliographie :

Ferrari par Pininfarina….,Ouvrage Recommnandé par la presse.

Restaurez réparez votre Citroën 2CV.,Le livre .

SIMCA 1000 RALLYE.,Le livre Pour tous les pationnés.

Le guide de la Fiat 500.,Ouvrage Recommnandé par la presse.

Cela se propage sur le web : Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée

Voici l’essentiel d’un post que notre équipe vient de identifier sur internet. Le sujet va certainement vous plaire. Car le sujet est « voitures anciennes ».

Son titre suggestif (Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée) parle de lui-même.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’auteur est positivement connu.

Voilà un trésor du passé qui a fait tourner les têtes à de nombreuses reprises et qui fit même une apparition remarquée au cinéma à la fin des années 1950. L’unique exemplaire restant d’un autocar Citroën U55 Cityrama s’apprête à faire l’objet d’une restauration complète. Un véhicule exceptionnel qui témoigne du savoir-faire français de l’époque en matière de carrosserie et qui aujourd’hui suscite même l’intérêt de la Fondation du Patrimoine.

Un seul exemplaire restant

Citroën Cityrama 1956
En 1956, Currus est chargé de fabriquer un autocar de tourisme futuriste permettant de contempler le mieux possible Paris.

Dix ans après la Seconde Guerre mondiale, l’heure est à la reconstruction, et le tourisme se développe en France. Dans le but de rendre l’activité encore plus attractive, le directeur de la compagnie Cityrama, Jean-Pierre Dubreuil, fait appel au plus ancien carrossier de Paris, Currus, pour réaliser un bus hors normes. C’est ainsi qu’en 1956 un bus à double étage et à la surface vitrée gigantesque voit le jour. Il n’a plus rien à voir avec le Citroën U55 dont il reprend le châssis. Ses lignes futuristes, très en vogue à l’époque, s’inspireraient même des bateaux-mouches. Son toit panoramique était amovible pour profiter du grand air en été. Le bus – haut de presque 4,35 m – pouvait accueillir 50 passagers et proposait des audioguides en huit langues différentes. Trois exemplaires du Citroën U55 Cityrama ont été produits, mais seul celui de 1959 a survécu. Jusqu’à la fin des années 1970, les touristes ont pu découvrir la capitale à travers les grandes fenêtres de cette fusée à quatre roues.

Citroën U55 Cityrama
Le Citroën U55 Cityrama mesure 4,35 m de haut et peut accueillir 50 passagers.


Restauration du dernier exemplaire

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

Le propriétaire du Citroën Cityrama est le genre de collectionneur passionné qui aurait besoin de plusieurs vies pour restaurer dans les règles de l’art tous ses véhicules. Avec l’Association Normande d’Anciens Utilitaires (ANAU), dont il est proche, ils discutaient depuis des années d’un projet de restauration pour ce bus touristique. Les travaux sont importants et nécessitent donc beaucoup d’argent, environ 400 000 €. La restauration de l’engin est soutenue par la Fondation du Patrimoine. Cette dernière a lancé un appel au don sur son site internet. Une aide essentielle pour l’ANAU, qui ne peut assumer seule l’intégralité des dépenses. Sur les 50 000 € du premier palier, déjà plus de 18 000 € ont été récoltés au moment d’écrire ces lignes. 

Quatre ans de travail

Citroën Cityrama restauration normandie
C’est l’atelier Normandy Classics qui s’occupera de la restauration.
bus Cityrama restauration
Environ 2 000 heures de travail seront nécessaires pour que le Cityrama retrouve son lustre d’antan.

Une telle pièce mérite du temps… La restauration du bus a été confiée à l’atelier Normandy Classics, situé à Granville, dans la Manche. Contacté par nos soins, Philippe Debasly, propriétaire du garage, explique qu’il faudra quatre ans, soit environ 2 000 heures de travail, à quatre personnes pour redonner à l’autocar Cityrama ses lettres de noblesse. « C’est un projet qui me tient à cœur […] car je suis un fou de Citroën et d’utilitaire », explique-t-il. Pour cet exemplaire unique, chaque étape sera cruciale. La première consiste à désosser entièrement le véhicule.

Citroën Cityrama restauration
La première étape est de mettre à nu l’autocar, puis d’identifier toutes les pièces.
Citroën Cityrama ANAU restauration
Le travail au niveau des fenêtres s’annonce également sportif.

Il faut se montrer patient et rigoureux car la moindre pièce devra être répertoriée. Philippe Debasly aimerait que cette première phase se réalise avec l’ensemble des restaurateurs afin que chacun puisse évaluer l’ampleur du travail à accomplir, notamment en ce qui concerne la carrosserie. Surtout que le bus Citroën a déjà subi une restauration, mais qui n’a jamais abouti. Il faudra ensuite sabler la carcasse et reconstruire à l’identique les pièces qui ont été rongées par la rouille. À l’issue de cette partie, le travail de carrosserie pourra commencer, puis la réfection de la mécanique (toujours impeccable à l’heure actuelle). Enfin, l’intérieur pourra être rénové.

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

 

Publications sur un thème identique:

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Revue de presse internet : Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée

En consultant internet nos rédacteurs ont relevé un papier qui va vous plaire. Son propos est « voitures de collection ».

Son titre (Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée) parle de lui-même.

L’auteur (identifié sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez ainsi faire confiance à cette actualité.

Le texte a été édité à une date mentionnée 2022-07-11 13:05:00.

Voilà ll’article :

Voilà un trésor du passé qui a fait tourner les têtes à de nombreuses reprises et qui fit même une apparition remarquée au cinéma à la fin des années 1950. L’unique exemplaire restant d’un autocar Citroën U55 Cityrama s’apprête à faire l’objet d’une restauration complète. Un véhicule exceptionnel qui témoigne du savoir-faire français de l’époque en matière de carrosserie et qui aujourd’hui suscite même l’intérêt de la Fondation du Patrimoine.

Un seul exemplaire restant

Citroën Cityrama 1956
En 1956, Currus est chargé de fabriquer un autocar de tourisme futuriste permettant de contempler le mieux possible Paris.

Dix ans après la Seconde Guerre mondiale, l’heure est à la reconstruction, et le tourisme se développe en France. Dans le but de rendre l’activité encore plus attractive, le directeur de la compagnie Cityrama, Jean-Pierre Dubreuil, fait appel au plus ancien carrossier de Paris, Currus, pour réaliser un bus hors normes. C’est ainsi qu’en 1956 un bus à double étage et à la surface vitrée gigantesque voit le jour. Il n’a plus rien à voir avec le Citroën U55 dont il reprend le châssis. Ses lignes futuristes, très en vogue à l’époque, s’inspireraient même des bateaux-mouches. Son toit panoramique était amovible pour profiter du grand air en été. Le bus – haut de presque 4,35 m – pouvait accueillir 50 passagers et proposait des audioguides en huit langues différentes. Trois exemplaires du Citroën U55 Cityrama ont été produits, mais seul celui de 1959 a survécu. Jusqu’à la fin des années 1970, les touristes ont pu découvrir la capitale à travers les grandes fenêtres de cette fusée à quatre roues.

Citroën U55 Cityrama
Le Citroën U55 Cityrama mesure 4,35 m de haut et peut accueillir 50 passagers.


Restauration du dernier exemplaire

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

Le propriétaire du Citroën Cityrama est le genre de collectionneur passionné qui aurait besoin de plusieurs vies pour restaurer dans les règles de l’art tous ses véhicules. Avec l’Association Normande d’Anciens Utilitaires (ANAU), dont il est proche, ils discutaient depuis des années d’un projet de restauration pour ce bus touristique. Les travaux sont importants et nécessitent donc beaucoup d’argent, environ 400 000 €. La restauration de l’engin est soutenue par la Fondation du Patrimoine. Cette dernière a lancé un appel au don sur son site internet. Une aide essentielle pour l’ANAU, qui ne peut assumer seule l’intégralité des dépenses. Sur les 50 000 € du premier palier, déjà plus de 18 000 € ont été récoltés au moment d’écrire ces lignes. 

Quatre ans de travail

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C’est l’atelier Normandy Classics qui s’occupera de la restauration.
bus Cityrama restauration
Environ 2 000 heures de travail seront nécessaires pour que le Cityrama retrouve son lustre d’antan.

Une telle pièce mérite du temps… La restauration du bus a été confiée à l’atelier Normandy Classics, situé à Granville, dans la Manche. Contacté par nos soins, Philippe Debasly, propriétaire du garage, explique qu’il faudra quatre ans, soit environ 2 000 heures de travail, à quatre personnes pour redonner à l’autocar Cityrama ses lettres de noblesse. « C’est un projet qui me tient à cœur […] car je suis un fou de Citroën et d’utilitaire », explique-t-il. Pour cet exemplaire unique, chaque étape sera cruciale. La première consiste à désosser entièrement le véhicule.

Citroën Cityrama restauration
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Il faut se montrer patient et rigoureux car la moindre pièce devra être répertoriée. Philippe Debasly aimerait que cette première phase se réalise avec l’ensemble des restaurateurs afin que chacun puisse évaluer l’ampleur du travail à accomplir, notamment en ce qui concerne la carrosserie. Surtout que le bus Citroën a déjà subi une restauration, mais qui n’a jamais abouti. Il faudra ensuite sabler la carcasse et reconstruire à l’identique les pièces qui ont été rongées par la rouille. À l’issue de cette partie, le travail de carrosserie pourra commencer, puis la réfection de la mécanique (toujours impeccable à l’heure actuelle). Enfin, l’intérieur pourra être rénové.

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Son titre troublant (Mans Classic 2022. Le récit de L’argus en Renault 4CV [+ vidéo]) parle de lui-même.

Identifié sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur internet.

L’encart peut donc être pris au sérieux.

Sachez que la date de parution est 2022-07-11 10:38:00.

L’article d’origine :

Participer au Mans Classic n’est pas donné à tout le monde. Pour rouler sur le grand circuit sarthois, le même que lors des 24 Heures, de nombreux paramètres entrent en ligne de compte. Outre l’import …

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Voici un nouvel article qui va s’adjoindre à notre revue de presse sur « voitures de collection ».

Le titre troublant (Mans Classic 2022. Le récit de L’argus en Renault 4CV [+ vidéo]) parle de lui-même.

Sachez que l’auteur (annoncé sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur internet.

Les révélations divulguées sont par conséquent appréciées crédibles.

Voilà lle « papier » dont il s’agit :

Participer au Mans Classic n’est pas donné à tout le monde. Pour rouler sur le grand circuit sarthois, le même que lors des 24 Heures, de nombreux paramètres entrent en ligne de compte. Outre l’import …

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Sur internet : La Collection automobile du Prince de Monaco déménage

Ce post ayant pour thématique « voitures de collection » circule sur internet, nous avons projeté de vous le livrer dès à présent.

Le titre suggestif (La Collection automobile du Prince de Monaco déménage) parle de lui-même.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est positivement connu.

Vous pouvez en conséquence faire confiance aux infos qu’il publie.

La date de publication est 2022-07-11 09:25:00.

L’article d’origine dont il s’agit :

La Collection automobile de S.A.S le Prince de Monaco change de lieu. Elle a droit à un nouvel écrin de 3500 m2, placé au Port Hercule aux abords du circuit de F1.

L’été arrive, et, comme beaucoup de vacanciers, vous allez peut-être rejoindre votre lieu de villégiature dans le Sud-Est de la France. Bonne nouvelle pour les passionnés d’auto : le musée de Monaco fait peau neuve.

Une collection constituée dès les années 1950

La Collection de voitures de S.A.S le Prince de Monaco, jusqu’à présent située sur les Terrasses de Fontvieille, change de lieu. Après d’importants travaux, c’est un nouveau bâtiment situé au bord du circuit de F1 de la ville qui ouvre ses portes. Pour l’inaugurer, le Prince Albert II de Monaco et sa soeur, S.A.S la Princesse Stéphanie, ont fait le déplacement le 7 juillet 2022. Ils sont d’ailleurs arrivés à bord d’une magnifique Renault Floride verte ayant appartenu à la Princesse Grace.

Débutée à la fin des années 1950 par le Prince Rainier III, la collection de voitures anciennes de la principauté s’est enrichie au fil des ans. Elle compte rapidement une centaine de véhicules. Ainsi, le garage du Palais princier devient trop étroit et il est décidé de créer un véritable musée. En 1993, la Collection est ouverte au public dans un nouveau lieu du quartier Fontvieille. Le lieu d’exposition de 5000 m2 regroupe de nombreuses automobiles de toutes époques, mais sans véritable mise en scène. Le carrelage à l’ancienne et les véhicules enchevêtrés façon Tetris n’y sont pas étrangers.

Nouvel écrin

Pour mettre en valeur cette collection, le Prince Albert II a donc choisi de transférer la collection dans un nouveau bâtiment du Port Hercule, au 54 route de la Piscine. Un peu plus petit avec ses 3500 m2, mais sur deux niveaux, celui-ci rassemble logiquement moins de voitures qu’avant. Mais les 70 véhicules installés bénéficient d’une mise en scène plus réfléchie et moderne : images d’archives et films diffusés sur un écran, panneaux explicatifs et parfois interactifs, véhicules mieux éclairés, monoplaces installées au mur…

La collection, dirigée par Valérie Closier depuis 2019, sera plus dynamique qu’auparavant. Une grande partie de l’exposition sera permanente, tandis qu’une autre représentant une trentaine de véhicules pourra évoluer régulièrement. Des événements particuliers liés à l’automobile et des soirées privées pourraient aussi se dérouler dans l’enceinte du musée.

Informations pratiques :

  • La Collection de Voitures du Prince de Monaco
  • Adresse : 54 route de la Piscine – Port Hercule
  • Téléphone : +377 92 05 28 56
  • Email : [email protected]
  • Site Internet : www.mtcc.mc
  • Ouvert de 10h00 à 19h00
  • Tarifs : 10 € pour les adultes, 5€ pour les enfants de 6 à 17 ans et les étudiants

Photos : Axel Bastello / Palais princier.

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Nos rédacteurs ont trouvé un article sur internet dont le propos est «voitures de collection».

Son titre (Alfa Romeo Tonale, changement d’ère) condense tout le papier.

Sachez que l’éditorialiste (présenté sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.

L’article peut par conséquent être pris au sérieux.

Le texte a été publié à une date notée 2022-07-11 07:52:00.

ESSAI – Avec son dernier modèle, qui inaugure l’électrification, la marque italienne renonce à une partie de son identité, cédant à l’inéluctable SUV compact.

Aucun constructeur ne peut survivre à l’absence de nouveaux modèles pendant un quinquennat, hormis quelques animations dans ses gammes. Sauf Alfa Romeo, qui peut être considéré comme un modèle de résilience. Certes, on l’a connu plus vaillante mais, galvanisée par une nouvelle équipe dirigeante et l’injection d’argent frais provenant du groupe Stellantis, la marque au biscione peut désormais rêver à un avenir radieux. Validé jusqu’en 2030, le plan de la renaissance comporte un nouveau véhicule par an ou une animation de gamme importante. Le premier modèle électrique sera lancé en 2025, et, à partir de 2027, la marque italienne ne commercialisera plus que des véhicules zéro émission.

Ph.Alberto Giorgio Alquati

Si le retour d’un coupé et d’un cabriolet avant la fin de la décennie n’est pas exclu, Alfa Romeo ambitionne surtout de compter dans l’univers des marques premium en privilégiant les modèles de grande diffusion au premier rang desquels figurent les SUV, la silhouette plébiscitée par les automobilistes du monde entier. Si un modèle de taille compact capable de rivaliser avec la Mini Countryman est prévu dans deux ans, l’actualité du jour prend la forme d’un SUV familial. Constituant une bouffée d’oxygène pour Alfa, le Tonale (prononcez «Tonalé») paraît presque réchauffé. Le constructeur l’avait présenté sous la forme d’un concept au salon de Genève de 2019, c’est-à-dire quelques mois avant que les groupes Fiat et PSA ne songent à fusionner.

Des codes rétro

Mattia Baruffaldi

Un mariage et plusieurs confinements n’ont pas remis en cause le Tonale, mais ses parents ont néanmoins jugé nécessaire de pratiquer quelques ajustements esthétiques et techniques, ne serait-ce pour l’électrifier, ce qui n’était pas prévu initialement. À partir d’une plateforme éprouvée de Jeep Compass, dérivée elle-même d’une Fiat 500 X mais largement revue – voies élargies et structure rigidifiée -, le Tonale multiplie les clins d’œil à l’histoire de la marque milanaise. La face avant s’inspire de celle du fameux coupé SZ du début des années 1990 avec ses trois projecteurs carrés de chaque côté de la calandre triangulaire. De la 147 GTA, le SUV hérite des jantes «téléphone» à cinq trous. Quant à la découpe particulière de la lunette arrière, les stylistes assurent qu’elle renvoie à la légendaire 8C Competizione. Le résultat est un SUV qui ne manque pas de personnalité. Pour situer les choses, avec près de 4,53 m de long et 1,60 m de haut, le Tonale est l’un des plus longs et des plus bas de sa catégorie. Il dépasse le Peugeot 3008 de 80 mm en longueur mais rend 150 mm au Stelvio.

Mattia Baruffaldi

Le traitement de l’habitacle représente une minirévolution pour le constructeur et fait oublier l’ergonomie perfectible des intérieurs de Giulia et Stelvio. Si les alfistes de la première heure apprécieront la forme oblongue d’antan de la casquette d’instrumentation, les adeptes du high-tech salueront l’adoption d’un écran numérique de 12,3 pouces personnalisable. Le conducteur aura le choix entre trois ambiances. Avec le mode «Heritage», les compteurs retrouvent les aiguilles et la typo du passé. Concernant le système multimédia, Alfa fait l’impasse sur une tablette intégrée, au profit d’un élément de 10,25 pouces plaqué contre la planche de bord. La circulation dans les menus est bien pensée et, c’est tant mieux, le Tonale n’a pas cédé à la tentation de supprimer les boutons de réglage de la climatisation et du chauffage. En termes de qualité perçue mais également d’équipements, le SUV italien s’aligne sur les standards du segment, recevant notamment six airbags, le freinage automatique d’urgence avec reconnaissance des piétons et des cyclistes, la détection de la somnolence, de la présence d’un passager ou d’un objet aux places arrière. La dotation peut s’enrichir de radars de détection de véhicules dans les angles morts et lors de la sortie d’une place en marche arrière, d’une caméra 360 degrés qui surveille les abords du véhicule et des systèmes de conduite autonome de niveau 2 associant le régulateur de vitesse adaptatif à la lecture des panneaux routiers et au maintien dans la voie. La vocation familiale du Tonale est validée par un volume de coffre de 500 litres et un espace arrière généreux, passé une accessibilité exiguë.

Le Tonale honore son blason: comme sur les derniers modèles de la gamme et chez Ferrari, le bouton de mise à feu est placé sur le volant. La suite cède au réalisme de notre époque. Dans notre cas, il réveille non pas une mécanique à double arbre et double allumage mais un 4-cylindres 1,5 litre de 160 chevaux à hybridation légère 48 V. Une version dégonflée à 130 ch est proposée en entrée de gamme (à partir de 35 400 euros), sans le turbo à géométrie variable. À noter que le constructeur a conservé un diesel 1,6 l, 130 ch, pour les gros rouleurs. Pour sa part, l’électrification repose sur un alterno-démarreur et un moteur électrique de 15 kW (20 ch) et 55 Nm de couple alimenté par une batterie de 0,77 kWh. Celle-ci ne se décharge jamais complètement. À la décélération, en dessous de 15 km/h, c’est-à-dire à l’approche d’un feu, il n’est pas rare de basculer en électrique. Les performances sont satisfaisantes mais la sportivité vantée par Alfa Romeo mériterait une amplitude de réglages du siège plus élevée, une direction plus consistante (retour d’effort trop léger) et une boîte double embrayage à 7 rapports plus rapide.

Alfa Romeo

En basculant sur le mode Sport du système DNA, on retrouve un peu de cette réactivité qui sied à un véhicule orné du biscione, mais c’est au détriment du confort, dégradé sur une route bosselée. Quel que soit le mode, la suspension a gagné en fermeté par rapport à la Jeep. Avec la finition Veloce, l’amortissement devient adaptatif. On appréciera particulièrement de pouvoir désactiver en accès direct l’assistant de maintien dans la voie et disposer d’un freinage Brembo reposant sur des étriers fixes à quatre pistons. Par contre, le commodo des clignotants est situé trop près de la palette de gestion de la boîte de vitesses. De retour en ville, les manoeuvres doivent composer avec un faible rayon de braquage. Au final, l’agrément n’atteint pas les références du marché. Un constat que viendra peut être remettre en cause la version Q4 hybride rechargeable lancée début 2023. Développée sur la base du Compass électrifié, elle n’offrira pas moins de 275 ch et 62 km de rayon d’action électrique. Pour les entreprises, le Tonale devrait aussi disposer des versions 190 et 240 ch de l’américaine.

Notre avis

Alfa Romeo

Le Tonale ne révolutionne pas sa catégorie, mais en s’attaquant pour la première fois de son histoire au segment le plus en vogue du marché, Alfa Romeo se dote de sérieux atouts pour mettre fin à sa traversée du désert. Pour rassurer les consommateurs, le constructeur va même jusqu’à porter la garantie à 5 ans ou 200 000 km. Elle se combine avec un carnet d’entretien numérique infalsifiable reposant sur la technologie NFT et contribuant à soutenir la valeur résiduelle du véhicule. Une première dans le secteur automobile.

Fiche technique

Moteurs: 4-cyl. turbo essence 1 469 cm3 + 1 moteur électrique

Puissance: 160 ch à 5 750 tr/min

Couple: 240 Nm de 1 500 à 3 000 tr/min

Transmission: Traction, boîte Auto. double embrayage à 7 vit.

Dimensions (L/l/h): 4 528 × 1 841 × 1 601 mm

Coffre: 500 litres

Poids: 1 600 kg

Performances (0-100 km/h): 8,8 secondes

Vitesse: 210 km/h

Consommation (Mixte UE): 5,7 l/100 km

Emissions CO2: 130 g/km

Prix: 41 000 €

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Quoi penser de ce papier : Le Mans Classic, TURBO fait revivre la légende CD Peugeot SP66

Nous venons de repérer ce texte sur la thématique « voitures de collection ». Avec régal nous vous en transmettons le plus substantiel plus bas.

Le titre (Le Mans Classic, TURBO fait revivre la légende CD Peugeot SP66) récapitule tout le papier.

Le rédacteur (présenté sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette actualité.

Rouler sur l’arène des mythiques 24 heures du Mans, cela peut paraître anodins pour certains, mais une concrétisation pour d’autres… Alors, nous aussi, nous avions à cœur de vivre cette incroyable expérience, nous nous sommes engagés dans cette belle aventure, qui a débuté il y a plusieurs mois déjà avec cette fantasmatique CD SP66, l’un des rares prototypes français à avoir participé au Mans 66 et 67, l’époque des exceptionnelles Ford GT40…

Grâce à l’aventure Peugeot, l’association qui gère le patrimoine automobile du groupe, le projet a pu voir le jour, faire renaître cette voiture rarissime, pour que nous puissions se jeter dans la bataille du Mans Classic. Un exceptionnel défi que j’ai pu partagé avec un autre journaliste Thomas de Chessé. Nous allons vous raconter la découverte de l’auto, nos premières armes à bord, et enfin notre engagement, et notre émotion, à pouvoir partager ce moment si particulier.

Retour quelques semaines en arrière, dans la région de Sochaux, nous sommes en route Thomas et moi, à bord d’une 205 d’époque, histoire de se mettre dans l’ambiance… Direction le site du patrimoine de Terre Blanche, à l’Aventure Peugeot. C’est ici que nous allons découvrir pour la première fois cette CD SP66… nous rencontrons Christian Guillaume, le responsable… Il nous emmène dans un lieu plutôt secret… Les réserves ! Là où sont stockés plus de 400 voitures du patrimoine : concepts, série, courses. Un  trésor ! La CD est là, elle nous attend sagement sur une étagère.

La CD, initiale de Charles Deutsch, son concepteur… Un célèbre aérodynamicien, Avant-gardiste qui construisait ses propres voitures, au départ avec des moteurs Panhard, puis avec Peugeot. Ultra aérodynamique, ultra légère, la CD ne pèse que 665 kg en ordre de marche, grâce à un châssis tôle, plié collé riveté, et une coque en polyester. En 66, ce prototype faisait déjà forte impression même si les trois modèles engagés non jamais terminés les 24h : Pannes, accrochages, accidents… Il ne reste aujourd’hui que deux modèles existants, dont celui ci.

Vous avez bien entendu, un moteur de 204 avec une boite 5… Un proto jusqu’au bout des ailerons, avec ce petit quatre cylindres de 1130 cm3 de 58 ch de base, retravaillé et porté à 105 110 ch, situé non plus en position verticale, mais couché. Une merveille qui démarre au ¼ de tour. La préparation a nécessité de longues heures.

Alors forcément on est très impatients de l’essayer. Pour le coup, on vous emmène en Bourgogne sur le magnifique circuit de Dijon-Prenois où nous allons pouvoir prendre la mesure de ce bijou français.

Nous retrouvons bien sûr Christian Guillaume et Stéphane Caillet, un pilote pro qui a fait rouler l’auto dans des phases d’essais. Depuis 2018, la voiture n’a eu de cesse, dans les règles de l’art, d’être restaurée, améliorée, et le plus possible fiabilisée.

Allez c’est parti… premières impressions, sourire et excitations évidemment, sans oublier quand même un peu d’apréhension.

Après une petite dizaine de tours, enfin, la boite inversée avec la première, en bas la seconde en haut et ainsi de suite, n’a plus de secret pour nous. On s’échange le volant avec Thomas, et on se rend compte, très vite, que la voiture vous procure de bonnes sensations, le centre de gravité très bas permet un bon comportement avec des vitesses honorables à plus de 180 km/h… On se limite à 6000 tr en régime maxi pour ne pas risquer un pépin. On se rassure après un roulage de 45mm non stop.

Reste désormais l’émotion. Celle de pouvoir rouler dans le temple historique de l’endurance qui perdure depuis 1923, le fabuleux et mythique circuit des 24 heures qui, pour cette 10è édition du Mans Classic, réunit les plus belles autos de course traversées par les plus grand noms du sport automobile… Respect et humilité. Nous sommes inscrits par époques dans l’un des six plateaux, le 4ème, aux côtés de marques prestigieuses et de modèles légendaires… Ford Jaguar Ferrari Porsche, Alfa, Shelby…  et bien d’autres encore, avec des autos qui, n’ayons pas peur de le dire, développent deux à trois plus de puissance que notre magnifique CD. Cela procure une gentille pression.  Peut être un peu plus à Thomas qui participe à l’événement pour la première fois.

On en connaît un autre qui bouillonne, Christian Guillaume de l’Aventure Peugeot : la CD SP66, c’est son bébé, il est comme nous un peu dans le stresse, alors il nous donne ses recommandations. Et puis, il y a une visite inattendue, incroyable même : Jean Claude Ogier, en personne, le pilote de la CD 51 en 66, auto détruite lors de ce terrible accrochage… A 85 ans, il est venu jusqu’au Mans nous soutenir…

A deux pilotes, seulement, sans ceinture ni arceaux, chapeau Mr Ogier, une autre époque ! C’est le départ tant attendu, Thomas débute, je l’encourage, un départ à l’ancienne, un départ Le Mans, sans enjeu pour nous. On se jette dans le grand bain avec 80 voitures sur la pistes et nous affrontons les 13,626 km du circuit… Dunlop Mulsanne, Arnage, les Hunaudières, les premiers tours sont magiques, spectaculaires… la voiture marche bien.

Puis viens la nuit, une autre affaire… Les bruits, l’ambiance, ces lumières éblouissantes, ces feux omniprésents dans les rétros, ces bêtes de course qui vous doublent à droite, à gauche, sans que vous puissiez anticipez quoi que soit, on serre les fesses, on garde sa ligne, on évolue dans ce poumon emblématique du sport automobile.

On a de quoi s’émerveiller, mais l’histoire s’achèvera un peu brutalement pourtant, Quelques défections mécaniques nous ont soudainement rattrapés… La voiture, malgré notre objectif de terminer le week-end, ne repartira pas. Abandon. Dommage… On aurait voulu réécrire un peu l’histoire de cette  CD SP66 hors norme… Il en a manqué. Mais comment ne pas réaliser au bout du compte, ce qu’elle a nous offerte : une expérience unique, sans comparaison, à vivre au moins une fois dans sa vie de passionné.

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A retenir ce texte : Le Mans Classic, TURBO fait revivre la légende CD Peugeot SP66

Sur cette publication, un nouvel encart qui va s’additionner à notre revue de presse sur « voitures de collection ».

Son titre (Le Mans Classic, TURBO fait revivre la légende CD Peugeot SP66) est parlant.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’auteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez lire ces révélations en toute sécurité.

L’éditorial a été diffusé à une date indiquée 2022-07-11 04:48:00.

Rouler sur l’arène des mythiques 24 heures du Mans, cela peut paraître anodins pour certains, mais une concrétisation pour d’autres… Alors, nous aussi, nous avions à cœur de vivre cette incroyable expérience, nous nous sommes engagés dans cette belle aventure, qui a débuté il y a plusieurs mois déjà avec cette fantasmatique CD SP66, l’un des rares prototypes français à avoir participé au Mans 66 et 67, l’époque des exceptionnelles Ford GT40…

Grâce à l’aventure Peugeot, l’association qui gère le patrimoine automobile du groupe, le projet a pu voir le jour, faire renaître cette voiture rarissime, pour que nous puissions se jeter dans la bataille du Mans Classic. Un exceptionnel défi que j’ai pu partagé avec un autre journaliste Thomas de Chessé. Nous allons vous raconter la découverte de l’auto, nos premières armes à bord, et enfin notre engagement, et notre émotion, à pouvoir partager ce moment si particulier.

Retour quelques semaines en arrière, dans la région de Sochaux, nous sommes en route Thomas et moi, à bord d’une 205 d’époque, histoire de se mettre dans l’ambiance… Direction le site du patrimoine de Terre Blanche, à l’Aventure Peugeot. C’est ici que nous allons découvrir pour la première fois cette CD SP66… nous rencontrons Christian Guillaume, le responsable… Il nous emmène dans un lieu plutôt secret… Les réserves ! Là où sont stockés plus de 400 voitures du patrimoine : concepts, série, courses. Un  trésor ! La CD est là, elle nous attend sagement sur une étagère.

La CD, initiale de Charles Deutsch, son concepteur… Un célèbre aérodynamicien, Avant-gardiste qui construisait ses propres voitures, au départ avec des moteurs Panhard, puis avec Peugeot. Ultra aérodynamique, ultra légère, la CD ne pèse que 665 kg en ordre de marche, grâce à un châssis tôle, plié collé riveté, et une coque en polyester. En 66, ce prototype faisait déjà forte impression même si les trois modèles engagés non jamais terminés les 24h : Pannes, accrochages, accidents… Il ne reste aujourd’hui que deux modèles existants, dont celui ci.

Vous avez bien entendu, un moteur de 204 avec une boite 5… Un proto jusqu’au bout des ailerons, avec ce petit quatre cylindres de 1130 cm3 de 58 ch de base, retravaillé et porté à 105 110 ch, situé non plus en position verticale, mais couché. Une merveille qui démarre au ¼ de tour. La préparation a nécessité de longues heures.

Alors forcément on est très impatients de l’essayer. Pour le coup, on vous emmène en Bourgogne sur le magnifique circuit de Dijon-Prenois où nous allons pouvoir prendre la mesure de ce bijou français.

Nous retrouvons bien sûr Christian Guillaume et Stéphane Caillet, un pilote pro qui a fait rouler l’auto dans des phases d’essais. Depuis 2018, la voiture n’a eu de cesse, dans les règles de l’art, d’être restaurée, améliorée, et le plus possible fiabilisée.

Allez c’est parti… premières impressions, sourire et excitations évidemment, sans oublier quand même un peu d’apréhension.

Après une petite dizaine de tours, enfin, la boite inversée avec la première, en bas la seconde en haut et ainsi de suite, n’a plus de secret pour nous. On s’échange le volant avec Thomas, et on se rend compte, très vite, que la voiture vous procure de bonnes sensations, le centre de gravité très bas permet un bon comportement avec des vitesses honorables à plus de 180 km/h… On se limite à 6000 tr en régime maxi pour ne pas risquer un pépin. On se rassure après un roulage de 45mm non stop.

Reste désormais l’émotion. Celle de pouvoir rouler dans le temple historique de l’endurance qui perdure depuis 1923, le fabuleux et mythique circuit des 24 heures qui, pour cette 10è édition du Mans Classic, réunit les plus belles autos de course traversées par les plus grand noms du sport automobile… Respect et humilité. Nous sommes inscrits par époques dans l’un des six plateaux, le 4ème, aux côtés de marques prestigieuses et de modèles légendaires… Ford Jaguar Ferrari Porsche, Alfa, Shelby…  et bien d’autres encore, avec des autos qui, n’ayons pas peur de le dire, développent deux à trois plus de puissance que notre magnifique CD. Cela procure une gentille pression.  Peut être un peu plus à Thomas qui participe à l’événement pour la première fois.

On en connaît un autre qui bouillonne, Christian Guillaume de l’Aventure Peugeot : la CD SP66, c’est son bébé, il est comme nous un peu dans le stresse, alors il nous donne ses recommandations. Et puis, il y a une visite inattendue, incroyable même : Jean Claude Ogier, en personne, le pilote de la CD 51 en 66, auto détruite lors de ce terrible accrochage… A 85 ans, il est venu jusqu’au Mans nous soutenir…

A deux pilotes, seulement, sans ceinture ni arceaux, chapeau Mr Ogier, une autre époque ! C’est le départ tant attendu, Thomas débute, je l’encourage, un départ à l’ancienne, un départ Le Mans, sans enjeu pour nous. On se jette dans le grand bain avec 80 voitures sur la pistes et nous affrontons les 13,626 km du circuit… Dunlop Mulsanne, Arnage, les Hunaudières, les premiers tours sont magiques, spectaculaires… la voiture marche bien.

Puis viens la nuit, une autre affaire… Les bruits, l’ambiance, ces lumières éblouissantes, ces feux omniprésents dans les rétros, ces bêtes de course qui vous doublent à droite, à gauche, sans que vous puissiez anticipez quoi que soit, on serre les fesses, on garde sa ligne, on évolue dans ce poumon emblématique du sport automobile.

On a de quoi s’émerveiller, mais l’histoire s’achèvera un peu brutalement pourtant, Quelques défections mécaniques nous ont soudainement rattrapés… La voiture, malgré notre objectif de terminer le week-end, ne repartira pas. Abandon. Dommage… On aurait voulu réécrire un peu l’histoire de cette  CD SP66 hors norme… Il en a manqué. Mais comment ne pas réaliser au bout du compte, ce qu’elle a nous offerte : une expérience unique, sans comparaison, à vivre au moins une fois dans sa vie de passionné.

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