Je vais tout vous révéler sur cet encart qui vient de paraître, dont la thématique est «voitures de collection».
Le titre troublant (La dette privée, le financement alternatif au secours de la French Tech) est parlant.
Sachez que le rédacteur (annoncé sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.
Il n’y a aucune raison de ne pas croire du sérieux de ces infos.
Le post a été divulgué à une date notée 2022-09-01 00:30:00.
L’article en question :
Publié le 1 sept. 2022 à 7:30Mis à jour le 1 sept. 2022 à 7:41
En cette rentrée marquée par un tarissement des levées de fonds, toutes les options pour se refinancer sont sur la table : extension de tour de table, « bridge » (crédit relais), prêt… Mais pas n’importe quel prêt. Une start-up qui n’est toujours pas rentable ne peut pas aller toquer à la porte de sa banque qui va lui demander ses trois derniers bilans comptables et ne va donc pas lui octroyer de financement.
D’autres acteurs peuvent fournir des prêts aux jeunes pousses, qu’elles soient en phase de démarrage (série A ou B) ou plus matures (pré-IPO) : les fonds de private equity et de capital-risque. Dans le jargon, on appelle ça de la « venture debt » ou du « venture loan ». Le français Isai vient tout juste de lancer un véhicule de dette dont le premier closing s’élève à 40 millions d’euros, pour une cible de 80 millions.
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