Voilà qui va vous séduire : Un nouveau texte que nous venons de relever sur le web et que nous vous reproduisons ci-dessous. Le sujet est « voitures de collection ».

Le titre saisissant (Les sièges de sa voiture s’effritent, on lui demande une somme FOLLE !) parle de lui-même.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est connu et fiable pour d’autres posts qu’il a publiés sur internet.

Cet éditorial peut ainsi être pris au sérieux.

Sachez que la date de parution est 2022-08-01 08:30:00.

Voilà lle texte :

Au volant de sa Zoe, cet automobiliste est surpris que les sièges s’effritent. Mais ce qu’il ne comprend pas, c’est que Renault refuse de rembourser.

Essayer la voiture électrique, c’est, dit-on, l’adopter. Voilà, en tout cas, qui s’applique parfaitement à cet automobiliste de Montélimar (26). Déjà possesseur d’une Zoe de 2018, notre lecteur décide, fin 2019, d’en commander une seconde, dans sa version R135. Après deux ans et demi d’utilisation, celle-ci affiche seulement 30 700 km. Pourtant, il ressent une étrange sensation, depuis quelques semaines, lorsqu’il s’installe au volant de son auto. Sensation qui se répète lorsqu’il s’assoit sur le siège passager. Intrigué, notre lecteur décide de consulter son concessionnaire.

La mousse des sièges en lambeaux

Celui-ci identifie alors un problème de mousse sur les assises des sièges avant. En effet, celle-ci semble s’effriter, ce qui ne permet plus d’assurer le confort et le maintien que notre homme connaissait jusque-là.

Ce dernier se dit alors qu’un problème, cela peut arriver, et que Renault ne manquera pas d’y remédier.

Renault refuse de participer aux réparations

Il déchante toutefois lorsque le concessionnaire lui présente un devis de 1 335 €, sans aucune participation de la part du constructeur. Il refuse alors de lancer les travaux et exige qu’une demande de prise en charge soit faite auprès de la marque. Cette requête s’avérera toutefois assez peu concluante, puisque Renault ne lui accorde alors que 40 % de participation. Notre lecteur ne décolère pas : pour lui, pas question de payer ces 801 € pour une auto si récente.

Notre stratégie de défense

La colère de cet automobiliste est aisément compréhensible. Certes, des sièges peuvent s’affaisser avec le temps et les kilomètres. Mais cette Zoe a tout juste 2 ans et demi et n’a parcouru que 30 700 km ! Autant dire qu’elle est quasiment en état neuf. D’ailleurs, pour un tel problème, le barème de nos experts prévoit une prise en charge intégrale de la part du constructeur, dans la limite de 5 ans ou 80000 km, au premier des deux termes atteints. Renault doit donc ici assumer 100 % des frais.

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