Voilà un papier que notre équipe est heureuse de présenter ici sur notre site. La thématique est « voitures de collection ».
Le titre (Sagan avec un moteur électrique !) est évocateur.

Le chroniqueur (présenté sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable.

La fiabilité est donc sérieuse en ce qui concerne cet encart.

Alors qu’il disputera ce dimanche la Bretagne Classic, Peter Sagan s’aligne ce vendredi dans l’épreuve réservée aux VTT à assistance électrique aux Mondiaux de Gets.

Peter Sagan explore ce vendredi un terrain de jeu inhabituel, celui du VTT. Et pas n’importe lequel puisque le Slovaque disputera aux Mondiaux de Gets l’épreuve réservée aux VTT à assistance électrique. Une présence commandée par son sponsor historique, Specialized. « Je suis déjà content d’être là et je remercie mes sponsors pour ça. C’était à 100% une bonne idée de m’avoir invité, parce que ça me rend heureux de remonter sur un VTT. Et cette fois pas un vrai Mountain Bike, mais sur un vélo électrique. C’est quelque chose de très spécifique, comme discipline », a-t-il d’ailleurs confié à la veille d’affronter les spécialistes de la discipline.

Peter Sagan ne se montre guère ambitieux. « Je suis plus ici pour les fans, vous savez. Et aussi pour promouvoir le e-bike et tous ces trucs. Je suis là tout à fait sérieusement, mais j’ai aussi envie de m’amuser. Pour la course, je ne m’attends pas à un gros résultat de ma part, a-t-il poursuivi. Je vais essayer de faire de mon mieux et on verra ce que ça va donner à l’arrivée.»  

C’est comme comparer une Formule 1 et une voiture de rallye

Car le Slovaque l’assure: les deux disciplines sont totalement différentes. « En gros, c’est comme comparer une Formule 1 et une voiture de rallye. C’est tellement différent, a-t-il assuré. L’effort sur un vélo de route, c’est partir pour 5 ou 6 heures et il n’y a pas grand-chose de technique lors d’une étape, finalement. C’est bien plus une question de puissance et de savoir jusqu’à quelle limite vous pouvez aller, combien de temps vous pouvez maintenir votre effort et votre manière de récupérer physiquement. Là, l’effort dure une cinquantaine de minutes ou une heure et tu es à fond du début à la fin. L’aspect technique aussi, quand tu es à quelque 180 battements du cœur par minute et que tu dois passer entre des cailloux en descente, c’est quelque chose de compliqué.»

Et à l’en croire, le coureur de Total-Energies part avec un sérieux handicap. « Votre poids est aussi un facteur clé et moi, je suis un coureur un peu lourd… Donc un athlète qui pèse 55 kilos, comparé à moi qui en pèse 80, il va voler dans les montées avec ses 25 kilos de moins, a-t-il soutenu. Franchement, ce sport est dur, parce que tout va plus vite et il faut être prêt à tout. Un VTT normal demande moins de technique en fait, parce qu’il faut maîtriser les 25 ou 30 kilos de la machine électrique, là où un vélo normal n’en pèse que 8. Si quelqu’un pense que le moteur t’aide… En fait, il te pousse plus proche de la limite. Pire, j’ai atteint avec un e-bike le seuil le plus élevé de mes battements de mon cœur depuis 10 ans. J’étais à 190 par minute, là où je ne vais pas au-dessus de 180 lors des courses sur route.» 

Bibliographie :

24 Heures du Mans, livre….,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Construire ses voitures en Lego.,Ouvrage .

ALPINE Berlinette A108 et A110.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Peugeot 404, la lionne de Sochaux.,Le livre . Ouvrage de référence.