Sur internet : GP de Fourmies : quand la Classique de l’Avesnois roule des (belles) mécaniques

Voilà un post que je suis heureux de présenter ici sur notre site. La thématique est « voitures de collection ».
Le titre saisissant (GP de Fourmies : quand la Classique de l’Avesnois roule des (belles) mécaniques) synthétise tout le papier.

Sachez que le journaliste (annoncé sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Il n’y a aucune raison de ne pas croire du sérieux de ces informations.

L’article mentionné :

Ce 10 juin 1928, au petit matin, c’est un curieux équipage, neuf coureurs et une voiture suiveuse – celle de Lucien Noiret, industriel fourmisien qui a mis son véhicule personnel à la disposition des organisateurs – qui s’élance sur les routes de l’Avesnois, selon un itinéraire passant par Glageon, Sains-du-Nord, Avesnes-sur-Helpe, Étrœungt, Rocquigny, Wignehies et Fourmies. Un circuit de 40 kilomètres à parcourir quatre fois. Bref, une image plutôt cocasse pour ce qui constitue la première édition du Grand Prix de Fourmies. Tout à la fois, un repère, un pari, une conviction et une prouesse !

Comme on peut le constater, les voitures suiveuses étaient très peu nombreuses pour accompagner les premiers assauts de cette course cycliste devenue légendaire au fil du temps. Dès le début, des véhicules furent destinés à la presse afin de pouvoir rendre compte en détail des soubresauts de l’épreuve. Puis ce fut ceux affectés au service médical.

Des marques célèbres ont jalonné l’épopée automobile du GPF : la Citroën Traction avant, la Renault Juvaquatre, les Peugeot 201 et 301, à ses débuts, puis les Peugeot 203 et 403, en passant par les légendaires Peugeot 404 et 504, sans oublier la 604.

Cortège bigarré

L’assistance automobile au sein de l’épreuve reine de l’Avesnois a subi nombre d’évolutions au cours de son histoire. La période la plus marquante reste celle des années 1958 à 1965, époque durant laquelle les amitiés nouées entre les dirigeants du GPF et les responsables du Tour de France attirent, sur les routes de l’Avesnois, un cortège bigarré de véhicules en tout genre.

Aujourd’hui, on dénombre presque autant de voitures que de coureurs ! Que de transformations subies depuis les premières années ! L’assistance automobile est devenue de nos jours incontournable pour l’encadrement et la sécurité de l’épreuve. S’il fallait fouiller dans nos souvenirs, il semble que d’innombrables clichés attachés à l’aventure automobile au sein de la course flottent, éternels, dans nos mémoires.

Oui, assurément, la présence des automobiles dans l’accompagnement et le déroulement de la course a participé à nourrir grandement le passé fabuleux du Grand Prix de Fourmies.

Bibliographie :

La Peugeot 405 de mon père.,Ouvrage .

Simca 1100 De mon père.,A voir et à lire. .

Voiture Autonome, la Révolution est en Route.,Clicker Ici .

Alfa Romeo Berlines,….,Ouvrage Recommnandé par la presse.