Regardez cela : Meurtre de Tupac Shakur : un homme arrêté et inculpé

Voilà qui va vous intéresser : Un nouveau post que je viens de relever sur internet et que nous vous produisons ci-dessous. Le sujet est « voitures de collection ».

Le titre (Meurtre de Tupac Shakur : un homme arrêté et inculpé) est parlant.

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», le rédacteur est positivement connu.

Vous pouvez ainsi vous fier aux informations qu’il diffuse.

L’article a été divulgué à une date mentionnée 2023-10-02 06:29:00.

Le 2 octobre 2017, le grand Tom Petty nous quittait. Rolling Stone revient sur dix de ses plus beaux morceaux. Une liste, bien sûr, non exhaustive !

10 – « I Won’t Back Down »

« Cette chanson m’a effrayé quand je l’ai écrite, » a dit Tom Petty. « Il n’y a aucune métaphore. Elle est extrêmement directe. » « I Won’t Back Down » a été écrite en studio pendant le mixage de « Free Fallin ». George Harrison, qui joue la ligne harmonique, avait précisé à Tom Petty que la phrase « standing on the edge of the world » (être au bord du précipice en VF) était idiote – Petty l’a promptement remplacée par « there ain’t no easy way out ». « J’ai beaucoup hésité avec cette chanson. Mais tout mon entourage l’a appréciée et il semblerait qu’ils avaient raison. »

09 – « Room at the Top »

Tom Petty était en prises avec les affres de la dépression causée par son divorce avec sa première épouse, Jane, quand il s’assied au piano et déverse son chagrin dans cette chanson. « I wish I could feel you, little one » chante-t-il. « You’re so far away. I want to reach out and touch your heart. » L’émotion sincère qui se dégage de ce titre propulse Echo, sélection de titres inspiré par la rupture du couple. « ‘Room at the Top’ est la chanson la plus déprimante que j’aie pu écrire, » affirme Petty, qui ne l’a plus jamais jouée depuis la fin de la tournée d’Echo. « Je n’ai même jamais voulu l’entendre. La dernière fois que j’ai écouté Echo, je me suis dit que j’avais mis bien plus dans cet album que je ne me souvenais. »

08 – « Breakdown »

« Nous étions des enfants passionnés, » a dit Tom Petty, invité à parler de l’ambiance dans le groupe lors de l’enregistrement de « Breakdown ». Tom Petty a eu cette idée d’une chanson influencée par le R&B, séduisante et étrangement simple, en prenant une pause tardive dans les Hollywood’s Shelter Studios lors de l’enregistrement de son premier album. « Il devait être une ou deux heures du matin, et j’ai appelé les Heartbreakers pour qu’ils reviennent tous, » se souvient-il. « Ils étaient tous rentrés chez eux. Il sont revenus à deux ou trois heures, et on a enregistré la chanson. » Le titre dure initialement plus de sept minutes, mais a finalement été raccourci de moitié à sa sortie en tant que single principal de l’album. Conduite par une ligne de batterie inspirée du « All I’ve Got to Do » des Beatles et comprenant l’une des parties de guitare les plus emblématiques signées Mike Campbell, la chanson est entrée au Top 40. Comme Tom Petty le dira fièrement plus tard, « C’est vraiment un disque parfait. »

07 – « The Waiting »

« The Waiting » est peut-être le meilleur exemple de la capacité des Heartbreakers à assembler harmonieusement les pièces de leurs références musicales. La dynamique questions-réponses rappelle « It’s My Life » des Animals, et le refrain évoque tellement les Byrds que leur leader a longtemps été persuadé de l’avoir inspiré. « [Roger] McGuinn jure qu’il me l’a dit » affirme Petty en référence à la phrase « the waiting is the hardest part », ajoutant « Peut-être que c’est vrai. » Tom Petty se souvient quant à lui s’être inspiré de la célèbre citation de Janis Joplin « J’aime être sur scène, et tout est en attente » (I love being onstage and everything else is waiting). Le single de Hard Promises marquera le point culminant de ce que le journaliste David Fricke appellera « l’ère vibrante » des Heartbreakers, arrivant en tête du classement Billboard pendant six semaines. « Cela évoque le fait d’attendre vos rêves et de ne jamais savoir s’ils vont un jour se réaliser. J’ai toujours eu la sensation qu’il s’agissait d’une chanson plutôt optimiste. »

06 – « Runnin’ Down a Dream »

Full Moon Fever fait partie des albums solos de Tom Petty, mais chaque Heartbreaker (hormis le batteur Stan Lynch) a joué dessus. « Runnin’ Down a Dream », morceau le plus entraînant de l’album, s’est construit autour d’un riff de Mike Campbell, initialement écrit à un autre rythme. Petty l’a arrangé avant de le donner au producteur Jeff Lynne. Campbell réalise aussi les solos de guitare de la chanson. Tom Petty a écrit les paroles revendicatrices du morceau où il parle de la liberté d’aller à contre-courant, façon d’évoquer ses sentiments les plus profonds sur ce que signifie pour lui le rock ’n’roll.

05 – « Listen to Her Heart »

Tom Petty s’est inspiré d’un histoire racontée par sa femme pour écrire « Listen to Her Heart ». Peu après le déménagement du couple à Los Angeles, Jane s’est retrouvé en plein coeur d’une fête organisée par la légende du R&B Ike Turner. Alors que les festivités battaient leur plein, Turner a verrouillé les portes de son domicile pour que personne ne puisse partir. Tom Petty a transformé cet incident un peu étrange en un morceau adressé à un homme qui ne respecte pas les sentiments d’une femme. La chanson constitue le second single de You’re Gonna Get It !. La chanson n’atteindra que la 59ème position des charts, sans doute à cause de la mention explicite de la cocaïne par Petty. Mention que le label lui avait pourtant demandé de changer le mot en ‘Champagne’. « Quelle femme voudrait quitter son mec pour de l’argent et du champagne ? » avait-il demandé à l’époque. « Enfin, le champagne ne coûte que 4$ la bouteille. »

04 – « Free Fallin’ »

Excepté « Stop Draggin’ My Heart Around », en duo avec Stevie Nicks, « Free Fallin’ » reste l’un des plus grands succès de la carrière de Tom Petty. Cependant, quand il montra Full Moon Fever à MCA Records pour la première fois, non seulement le label n’a pas détecté de single, mais il a même rechigné à sortir l’album. « J’étais abasourdi, » affirme Petty. « C’est la seule fois de ma vie qu’un de mes albums a été refusé. » Comme pour la majorité des titres de Full Moon Fever, « Free Fallin’ » a vu le jour rapidement. Tom Petty a écrit le riff dansant sur un petit clavier électrique et l’idée des paroles lui est venue en improvisant en studio avec son producteur Jeff Lynne. Par chance, la direction du label changea, les plus réticents furent virés, et « Free Fallin’ » devint un tube du Top 10, restant au classement Billboard pendant sept mois. « Il n’y a pas un jour qui passe sans que quelqu’un ne me fredonne « Free Fallin’ », ou que je l’entende quelque part. Mais en réalité, cette chanson ne m’a pris vraiment que 30 minutes. »

03 – « Don’t Come Around Here No More »

« Je voulais faire un single qui ne ressemblerait à rien de ce qui a déjà été fait, » a expliqué Petty de « Don’t Come Around Here No More ». Psychédélique et synthé, classique mais aussi moderne, la chanson est une réinvention radicale concoctée par le producteur britannique Dave Stewart de Eurythmics. Les Heartbreakers étaient sceptiques sur l’intrusion d’un tiers dans leur chanson, surtout quand cet étranger a proposé d’ajouter une sitar. « Je pense que beaucoup dans le groupe – et je ne leur en veux pas – ce demandaient ce que c’était que ce bordel » se souvient Stewart. « Le disque s’appelait Southern Accents et donnait l’impression d’être en Inde. » Les paroles de Tom Petty se basent sur une phrase dite par Stevie Nicks à Joe Walsh lors d’un after de Eurythmics, et Stewart proposa la thématique Alice au Pays des Merveilles de la vidéo. « Dave et moi avons travaillé sur ce single pendant des mois, » se remémore Petty. « Elle aurait pu éclore de 10 façons différentes. »

02 – « Refugee »

« On nous souffle que nous sommes le futur du rock & roll » avait déclaré Tom Petty à la sortie du troisième disque des Heartbreakers. « Je ne veux pas être le futur – je veux en être le présent. » Le lead single de Damn the Torpedoes affirme cette intention. Produit par Jimmy Iovine, « Refugee » est l’un des morceaux les plus combatifs du groupe, l’affirmation qu’ils ne suivaient aucune tendance New Wave ou punk-rock, mais qu’ils étaient bel et bien une nouvelle génération de traditionalistes amateur de rock old-school. Comme souvent dans le processus de création du groupe, Mike Campbell a composé la musique, l’a enregistrée sur une cassette et l’a passée à ses partenaires. « Les paroles sont venues rapidement, » dit Petty. L’enregistrement, pas tellement. Campbell se souvient de 100 prises ; Petty dit 200. « Je me souviens avoir été si frustré que j’ai simplement quitté le studio et j’ai quitté la ville pendant deux jours. » Quand il est revenu, le groupe réussit l’enregistrement et tourna un clip sans fioritures. Et soudain, le rock américain renaquit.

01 – « American Girl »

« Ce titre est juste un énième exemple de ce personnage sur lequel j’écris souvent. L’enfant de cette petite ville qui sait qu’il existe quelque chose d’autre ailleurs, mais qui se fait avoir en essayant d’aller à sa recherche. J’ai toujours ressenti de la sympathie à son égard. » Sur cette chanson, Tom Petty a traduit son empathie en un classique de la musique américaine. La chanson combine des décennies de rock & roll en un hymne intense : le rythme à-la-Bo Diddley de Stan Lynch fait écho aux années cinquante ; le son clair de la guitare évoque les Byrds (tellement que Roger McGuinn reprit la chanson plus tard) ; les  transitions de Mike Campbell rappellent les guitars-hero des années 70 ; et l’énergie New Wave poussera la musique jusqu’aux années 80 et au-delà. Ironiquement, quand la chanson est sortie comme le second single de l’album éponyme du groupe, elle n’est pas entrée dans les charts américains, mais réussit à atteindre une jolie place en Grande Bretagne. L’allusion à la Route 441 dans les paroles a inspiré des rumeurs selon lesquelles « American Girl » évoque une étudiante de l’Université de Floride qui s’est suicidée en se défenestrant de sa chambre étudiante. En réalité, la chanson a été écrite dans l’appartement californien de Petty alors qu’il écoutait le bruit de la ville. « Les mots me sont venus naturellement. »

Écouter Tom Petty en streaming.

Traduit par Alma Rota

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