Je viens de trouver cet encart sur la thématique « voitures de collection ». Avec plaisir nous vous en transmettons l’essentiel ci-dessous.

Son titre (Meurtre de la petite Lola : un an après, où en est l’enquête ?) en dit long.

Annoncé sous la signature «d’anonymat
», le journaliste est positivement connu.

Vous pouvez en conséquence faire confiance aux révélations qu’il communique.

Lola, une jeune fille de 12 ans, était retrouvée sans vie, le 14 octobre dernier, dans une caisse, dans la cour intérieure de l’immeuble où elle habitait. Ce drame avait, à l’époque, ému tout le pays. Un an après les faits, où en est l’enquête ?

Il y a un an, jour pour jour, la découverte dans une malle du corps sans vie de Lola, 12 ans, avait suscité un vif émoi dans le XIXe arrondissement de Paris, où elle habitait, et dans le reste du pays. Une jeune femme, Dahbia B. avouait l’avoir tuée, confiant sa «honte», mais niant toute préméditation.

«Ça fait un an que tu nous as quittés et la vie est très longue sans toi», a écrit son grand-frère Thibault, dans une lettre consultée par l’AFP.

DES FAITS limpides

Le vendredi 14 octobre 2022, Lola, qui n’était pas rentrée du collège dans l’après-midi, était retrouvée sans vie dans une caisse en plastique, dans la cour intérieure de l’immeuble où elle habitait. En cherchant sa fille, son père, gardien de la résidence, voyait sur les images de vidéosurveillance Lola entrer dans le hall vers 15h15 avec une femme qu’il ne connait pas. Cette dernière était ressortie de l’immeuble vers 17h00, tirant de lourds bagages dont une malle en plastique. 

La brigade criminelle de la police judiciaire parisienne interpellait, dès le samedi matin, à Bois-Colombes (Hauts-de-Seine), la suspecte, Dahbia B., une jeune algérienne née en 1998, entrée légalement en France en 2016 avec un titre de séjour d’étudiant.

Elle était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis deux mois, et sa présence en France avait suscité de virulentes critiques à droite et à l’extrême droite. Le gouvernement avait en retour fustigé «l’indécence» de cette «récupération politique».

Lors de sa garde à vue, Dahbia B. a raconté avoir «entraîné la victime jusqu’à l’appartement de sa sœur, vivant dans le même immeuble que l’enfant, elle lui aurait imposé de se doucher avant de commettre sur elle des atteintes à caractère sexuel et d’autres violences ayant entraîné la mort et elle aurait dissimulé le corps dans la caisse», avait relaté à l’époque dans un communiqué la procureure de Paris Laure Beccuau.

LA SUSPECTE AVAIT RECONNU LES FAITS

L’autopsie a révélé que Lola est morte asphyxiée. Son corps présentait de «multiples autres lésions», notamment au niveau du cou, mais pas «de lésion traumatique de la sphère sexuelle». À l’issue de sa garde à vue, Dahbia B. a été mise en examen pour viol sur mineur avec torture et actes de barbarie et meurtre, et placée en détention provisoire. Un homme, qui a véhiculé Dahbia B. avec la caisse et l’a un temps accueillie chez lui, est mis en examen pour recel de cadavre. Lors d’un interrogatoire devant le juge d’instruction en juin dernier, Dahbia B. avait reconnu les faits, tout en écartant toute préméditation, selon la source proche. La jeune femme aurait également tenu des propos confus et reconnu avoir «honte» de son geste.

DAHBIA B. INCARCÉRÉE DANS UNE UNITÉ POUR MALADES DIFFICILES

Selon une source proche de l’enquête, la suspecte est actuellement incarcérée dans une unité pour malades difficiles (UMD). «Son séjour en unité pour malades difficiles est une modalité de la détention provisoire, à l’appréciation des médecins en fonction de son état actuel», a précisé une source judiciaire.

Sa soeur, qui l’hébergeait de temps en temps, a témoigné devant les enquêteurs de la vie chaotique de sa cadette et de ses «réveils nocturnes» le mois précédent les faits «au cours desquels (elle) tenait des propos incohérents».

Une première expertise psychiatrique réalisée fin 2022 a conclu que la mise en cause ne souffrait «d’aucun trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli ou altéré son discernement». «Le retour d’une nouvelle expertise psychiatrique est attendu, qui se prononcera sur l’état de la mise en examen au moment de la commission des faits», a commenté la source judiciaire.

En cas d’abolition du discernement, l’irresponsabilité pénale peut être déclarée, empêchant la tenue d’un procès. En cas d’altération, le suspect est jugé mais sa peine peut être réduite. «Il y a une volonté partagée d’avancer rapidement même si certains points restent à éclaircir», a indiqué le conseil de Dahbia B., Me Alexandre Silva, refusant de s’exprimer sur le fond du dossier.

Selon l’avocate de la mère de Lola, Me Clotilde Lepetit, cette dernière «souhaite conserver son deuil en privé. Comme pour se réapproprier sa fille qui lui a été arrachée. Elle a besoin d’intimité et tient au respect de la procédure criminelle» en cours. «Elle attend que la justice mène, (…) les plus grandes investigations (…) pour que plus jamais ne se reproduisent de tels agissements», a-t-elle ajouté.

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