Ce texte, dont la thématique est « voitures de collection », vient d’être repéré sur le web, nous sommes heureux de vous en proposer l’essentiel plus bas.
Le titre (dans cette famille, la passion pour les vieilles voitures se transmet de génération en génération) condense tout le post.
Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’éditorialiste est positivement connu.
Il n’y a pas de raison de douter de la fiabilité de ces infos.
Parmi les bénévoles de l’association Les Vieilles Automobiles du Périgord qui vont œuvrer à la 48e bourse d’échange automobile de Bergerac (Dordogne), samedi 24 et dimanche 25 février, la famille Lavaud figurera en bonne place.
Installée à Gageac-et-Rouillac, cette famille de viticulteurs est en effet…
Parmi les bénévoles de l’association Les Vieilles Automobiles du Périgord qui vont œuvrer à la 48e bourse d’échange automobile de Bergerac (Dordogne), samedi 24 et dimanche 25 février, la famille Lavaud figurera en bonne place.
Installée à Gageac-et-Rouillac, cette famille de viticulteurs est en effet atteinte du virus de la collection automobile depuis… quarante-quatre ans, dans le sillage de son père, Pierre, comme l’explique Sébastien Lavaud. « Il a acheté sa première Traction en 1980. J’avais 10 ans ».
Et avec ce véhicule d’un autre âge, la famille a parcouru les routes de France et d’Europe au fil des années 1980 et 1990. « Nous sommes allés en Corse, au Portugal ou encore au Danemark », se souvient Sébastien Lavaud.
Dans ce même temps, la collection de véhicules Citroën de Pierre s’est agrandie, avec une deuxième Traction, une DS, une SM… Ce qui a donné envie au fils de s’y mettre aussi. Lui a commencé par une Peugeot 404 cabriolet. Aujourd’hui, cette même collection compte une dizaine de véhicules d’une belle variété, dont une Hotchkiss, une Ford Comète ou encore une 2 CV, la dernière acquisition.
Virus communicatif
Quant à Isabelle, l’épouse de Sébastien, elle a elle aussi bien vite attrapé le virus. « Quand on s’est connu, cela faisait partie du pack », s’amuse-t-il. Pour leur mariage, il a fait l’acquisition d’une DS cabriolet. « J’en ai terminé la remise en état juste deux jours avant. »
La vie de collectionneur est parfois aussi faite de frustrations, comme en 1995, alors que Sébastien se rendait à un rassemblement de Citroën sur le circuit d’essai de Michelin, à Clermont-Ferrand. Au volant d’une ID qu’il venait de retaper, le viticulteur a vu une fuite hydraulique stopper son voyage à Terrasson. « Du coup, je me suis retrouvé passager d’une autre voiture et je n’ai pas vu mon ID se joindre aux quelque 5 000 Citroën présentes. »
« Il a acheté sa première Traction en 1980. J’avais 10 ans »
Isabelle et Sébastien ont deux garçons, Arthur et Téophile, qui n’ont pas échappé non plus au virus familial. Tant et si bien que si Téophile est viticulteur, Arthur est mécanicien. Les deux frères se passionnent autant pour les véhicules d’avant-guerre que pour les « youngtimers », des automobiles de précollection datant de vingt à trente ans. Dans ce domaine, Arthur a remis en état une Peugeot 306 XSi. Quant à son frère, il vient de faire l’acquisition d’une voiture située entre les deux périodes. « Une Ford Fiesta de 1984, jamais repeinte. Elle est orange », relève Arthur.
La passion de la famille se retrouve aussi sur les étiquettes de ses vins. « Elles portent toutes une Traction », précise Sébastien Lavaud. Et la collection d’automobiles présente sur la propriété est également un moyen d’attirer touristes et clubs automobiles.
Bourse d’échange
Elle se tiendra samedi 24 février, de 6 h 30 à 18 heures, et dimanche 25, de 7 à 18 heures, sur le site de Picquecailloux. Entrée gratuite pour le public. Renseignements sur le site Internet vieillesautosduperigord.fr.
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