Ca circule sur le web : Photos Metz : Porsche, Mercedes, Renault… les voitures anciennes défilent place d’Armes

Nous venons de découvrir ce texte sur la thématique « voitures de collection ». Avec régal nous vous en transmettons le principal plus bas.

Le titre séduisant (Photos Metz : Porsche, Mercedes, Renault… les voitures anciennes défilent place d’Armes) en dit long.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’auteur est connu et fiable pour d’autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.

Les infos concernées sont de ce fait présumées valides.

L’éditorial a été diffusé à une date mentionnée 2022-07-15 10:16:00.

Voilà ll’article :

Ce vendredi 15 juillet, une vingtaine de voitures de collection étaient stationnées devant l’hôtel de ville de Metz, place d’Armes. Élégantes, elles ont suscité l’intérêt des touristes et curieux.

Ce propos vous a fasciné vous aimerez tout autant ces parutions:

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Ca circule sur internet : La toute nouvelle Toyota Crown 2023 dévoilée, en route pour le Canada

Ci-dessous un nouvel encart qui va grossir notre revue de presse sur « voitures de collection ».

Le titre troublant (La toute nouvelle Toyota Crown 2023 dévoilée, en route pour le Canada) en dit long.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», le pigiste est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.

Les informations publiées sont en conséquence jugées crédibles.

L’article a été édité à une date indiquée 2022-07-15 00:00:00.

Toyota Crown 2023


  • La Toyota Crown 2023 est une berline à hayon haute sur pattes, légèrement plus grosse que la Toyota Camry.

  • Deux motorisations seront proposées, dont une axée sur les performances.

  • La version Crown Platinum obtient des roues de 21 pouces et une peinture bicolore.


Une toute nouvelle berline est sur le point d’arriver au Canada, à une époque où les consommateurs n’en achètent plus. Néanmoins, la Toyota Crown 2023 cherchera à attirer une clientèle avec un design pratique, une caisse surélevée et les habituelles motorisations hybrides de Toyota.

Le nom Crown est apparu sur la première voiture de Toyota en 1955 au Japon, s’appelant la Toyopet Crown. La petite berline a été importée aux États-Unis sans toutefois connaître le succès souhaité, alors que la deuxième génération de la Crown, plus grosse, a été par la suite introduite au Canada. La Crown s’est retirée des deux marchés en 1972, deux ans après l’arrivée de la quatrième génération. C’était il y a 51 ans.

La Toyota Crown 2023 introduit la seizième génération du modèle, et si les itérations précédentes s’avéraient de grandes berlines de luxe, certaines partageant même des motorisations avec des voitures Lexus telles que la LS et la GS, la nouvelle Crown une berline intermédiaire haute sur pattes. Il repose sur un empattement de 2 850 millimètres et affiche une longueur hors tout de 4 930 mm, une largeur de 1 840 mm et une ligne de toit s’élevant à 1 540 mm. Côté dimensions, elle se range entre les Toyota Camry et Toyota Avalon.

La Crown sera offerte en déclinaisons XLE, Limited et Platinum, et les deux premières sont équipées d’un système hybride composé d’un quatre cylindres de 2,5 litres et de deux moteurs électriques. Bien que la puissance n’ait pas encore été annoncée, une motorisation similaire se trouve dans le Lexus RX 2023, produisant 246 chevaux et un couple de 233 livres-pied. Les XLE et Limited disposent aussi d’un rouage intégral électronique intitulé E-Four AWD, grâce à un troisième moteur électrique connecté aux roues arrière, et la répartition du couple disponible peut varier de 100/0 à 20/80 avant/arrière, selon le constructeur. Ce dernier avance également une consommation mixte ville/route de 6,2 L/100 km.

Entre-temps, la version Platinum de la Toyota Crown 2023 profite de la motorisation HYBRID MAX axée sur les performances, regroupant un quatre cylindres turbo de 2,4 litres, deux moteurs électriques et une boîte automatique à six rapports. La puissance est estimée à 340 chevaux, alors qu’une configuration similaire dans le Lexus RX 500h F SPORT Performance affiche 367 chevaux et 406 livres-pied – juste pour nous donner une idée du couple. La variante Platinum avec son système HYBRID MAX livrerait une consommation mixte de 8,4 L/100 km.

La sportive Platinum obtient aussi une suspension variable adaptative, six modes de conduite au lieu de trois dans les XLE et Limited, des roues de 21 pouces au lieu de 19 sur les XLE et Limited, une peinture bicolore ainsi qu’un rouage intégral E-Four Advanced AWD, ajoutant aussi un moteur électrique sur le train arrière et permettant une répartition du couple disponible variant de 70/30 à 20/80 avant/arrière.

Toyota Crown 2023

La Toyota Crown 2023 est équipée de série de sièges avant chauffants, de sièges avant à huit réglages électriques, d’une sellerie en Softex et en tissu, un climatiseur automatique bizone, une instrumentation numérique de 12,3 pouces pour le conducteur, une recharge de téléphones par induction et une chaîne audio à six haut-parleurs, entre autres. La version Limited ajoute des sièges ventilés avant et chauffants arrière, une sellerie de cuir, un toit panoramique, une clé intelligente, un éclairage d’ambiance à DEL et une chaîne JBL à 11 haut-parleurs, alors que la Platinum dispose aussi d’un système de caméras à vue périphérique, une assistance active du stationnement ainsi qu’une clé numérique, permettant aux usagers d’accéder et de démarrer le véhicule à l’aide de leurs téléphones au lieu de la télécommande conventionnelle.

Le nouveau système multimédia récemment introduit par Toyota fera également son chemin dans chaque version de la Crown, comprenant l’écran tactile de 12,3 pouces, la possibilité d’effectuer des mises à jour par Internet, la reconnaissance vocale, la double connectivité de téléphones Bluetooth ainsi que l’intégration Apple CarPlay et Android Auto sans fil. On retrouve également un forfait de services connectés pour trois ans, incluant le démarrage à distance, le déverrouillage et verrouillage des portes à distance, l’affichage de l’état du véhicule, l’assistance en cas d’urgence, l’assistance routière, la géolocalisation du véhicule en cas de vol, et bien plus.

Toyota Crown 2023

Les berlines à hayon hautes sur pattes ne sont pas très communes en Amérique du Nord, mais elles le sont davantage dans d’autres marchés comme en Chine et en Europe. La Toyota Crown 2023 tentera de réussir là où la dernière génération de l’Avalon a échoué, attirant les consommateurs intéressés par une voiture, mais qui apprécieront plutôt la caisse surélevée de la Crown, permettant des entrées et sorties plus aisées, en plus du côté pratique de son hayon.

Les prix n’ont pas encore été annoncés, mais la toute nouvelle Toyota Crown sera en vente d’ici la fin de l’année. La concurrence très indirecte inclut la Nissan Maxima, la Dodge Charger et la Chrysler 300.

Publications:

La Honda Civic de mon père.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Renault, un siècle de….,Clicker Ici .

Porsche 911, le plaisir à….,Ouvrage Recommnandé par la presse.

FERRARI, mythiques berlinettes.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Infos pour les passionnés : Cannes se prépare à accueillir un musée pour mettre en valeur l’art contemporain africain

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En visitant le web notre équipe a remarqué un article qui risque de vous ravir. Son thème est « voitures de collection ».

Le titre suggestif (Cannes se prépare à accueillir un musée pour mettre en valeur l’art contemporain africain) parle de lui-même.

L’auteur (présenté sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.

La crédibilité est donc majeure concernant ce post.

L’éditorial a été diffusé à une date notée 2022-07-14 05:00:00.

Pour ne rien manquer de l’actualité africaine, inscrivez-vous à la newsletter du Monde Afrique depuis ce lien. Chaque samedi à 6 heures, retrouvez une semaine d’actualité et de débats traitée par la rédaction du Monde Afrique.

La chapelle Saint-Roch à Cannes, qui va abriter le musée dédié à la collection de Jean Pigozzi.

L’exposition « Bande-annonce », qui présente une centaine d’œuvres de la collection de Jean Pigozzi dans l’ancienne la gare maritime de Cannes, porte bien son nom. Car cet accrochage orchestré par Elizabeth Whitelaw et Jérôme Neutres est un avant-goût d’un futur « musée Pigozzi » annoncé lors du vernissage, le 11 juillet, par David Lisnard, maire (Les Républicains) de la ville azuréenne. Depuis longtemps déjà, Jean Pigozzi, « Johnny » pour les intimes, aspirait à ouvrir un lieu pour abriter si ce n’est l’ensemble, du moins une grosse partie de ses œuvres d’art contemporain d’Afrique.

L’excentrique en chemises hawaïennes, qui tutoie les magnats de la finance et de la tech comme les célébrités, pense à sa postérité. « Ce serait triste que trente ans de travail disparaissent si un jour je suis écrasé par un bus et que deux méchantes dames de salles de ventes viennent tout emballer et disperser les 10 000 œuvres », confie-t-il, impassible comme toujours.

« J’aime la couleur », de Chéri Samba (acrylique et paillettes sur toile, 206 x 297 cm, 2003).

L’héritier de la firme automobile Simca a grandi avec des Renoir et des Sisley aux murs de l’appartement familial de Neuilly. Adulte, il achète les attributs de sa classe d’âge et de son milieu, Andy Warhol et le pop art, sans grande conviction. Jusqu’à ce qu’il découvre en 1989 l’exposition « Les Magiciens de la Terre », à La Villette, qui participe à faire connaître des artistes non occidentaux, d’Asie, d’Amérique latine, mais aussi du continent africain.

Trouver un ancrage pérenne

C’est le déclic ! « Pour moi, l’Afrique c’était des masques en bois et des chiens hérissés de clous », précise-t-il. Il missionne alors André Magnin, l’un des cocommissaires de l’exposition pour lui monter une collection. Le budget est illimité mais, à l’époque, les œuvres s’achètent pour une bouchée de pain.

En tout, Jean Pigozzi a déboursé 25 000 à 100 000 euros par an, sur vingt ans, une somme qu’il aurait pu « dépenser en boîtes de nuit, dans des équipes de polo ou des maîtresses suédoises », souligne-t-il, volontiers provocateur. Sans jamais mettre les pieds en Afrique, il se constitue un ensemble de référence, marqué par un penchant pour l’école populaire de Kinshasa (République démocratique du Congo) et l’artiste ivoirien Frédéric Bruly Bouabré, dont il possède pas moins de 150 dessins. Saluée par certains, la collection sera décriée par d’autres qui lui reprochent une vision exotique, voire néocolonialiste du continent.

« Mandela dignité pour l’Afrique », de JP Mika (huile et acrylique sur toile, 170 x 139 cm, 2014).

A partir de 1991, cet ensemble fait le tour du monde. Mais Jean Pigozzi rêve de lui trouver un ancrage pérenne. En 2019, il donne 45 œuvres au prestigieux MoMA de New York, qui organise une exposition des cités futuristes du sculpteur congolais Bodys Isek Kingelez. D’autres villes sont sur les rangs.

« On a été en discussion pendant des années à Paris, sans que jamais cela n’aboutisse », se souvient André Magnin. Jean Pigozzi se rabat sur Monaco, où l’ensemble avait été exposé en 2005 au Grimaldi Forum. Les pourparlers sont avancés, le collectionneur à l’oreille du prince Albert.

Le choix de la chapelle Saint-Roch

« Mais le Rocher est tellement petit que chaque mètre carré est convoité comme sur les Champs-Elysées, souffle Jean Pigozzi. Entre un musée d’art africain et une clinique spécialisée dans le botox, le choix est vite fait ! » D’autres projets, en Norvège notamment, tombent aussi à l’eau.

Jusqu’à cette rencontre, voilà un an, avec David Lisnard. L’édile, qui a engagé la rénovation du centre d’art de la Malmaison, sur la Croisette, veut placer sa ville sur la carte de l’art contemporain. Et il a des projets de musée en pagaille, autour du cinéma, de la mer, de l’exploration. Pour celui qui organise cette année les rencontres culturelles Cannes Dakar, pas de doute, « l’Afrique est l’un des pans majeurs d’avenir des arts plastiques ».

« Sans titre », de Seydou Keïta (tirage argentique moderne, 60 x 50 cm).

Jean Pigozzi est séduit. Cannes est à 20 minutes en voiture du Cap d’Antibes, où cet intime de la jet-set passe depuis toujours ses étés dans sa splendide résidence familiale. La métropole de 160 000 habitants s’anime au gré des festivals et des rencontres professionnelles. « Elle est fréquentée par des millions de visiteurs de tous les pays, de tous les milieux, un vivier autrement plus diversifié que le Marais à Paris », vante Jérôme Neutres.

Plusieurs espaces sont visités : la gare maritime, où se tient aujourd’hui l’exposition « Bande-annonce », un ancien comptoir provençal du verre dans le quartier Saint-Louis, un espace à la Bocca. Mais c’est finalement la chapelle Saint-Roch qui rallie les suffrages. Cet ancien lieu de culte désacralisé se trouve en plein cœur du Suquet, le quartier historique de Cannes. Et pour ne rien gâcher, il voisine un autre centre d’art, le Suquet des artistes, installé depuis 2015 dans une ancienne morgue.

« Un musée du XXIsiècle »

David Lisnard a déjà fait le calcul : il faut environ 7 millions d’euros pour réhabiliter l’église. La ville apportera son écot, mais il espère pouvoir compter sur un partenariat public-privé. « On travaille d’arrache-pied pour essayer d’ouvrir le musée le plus rapidement possible, on espère en 2026 », ajoute Maud Boissac, directrice des affaires culturelles de la ville.

L’inventaire des œuvres données n’a pas encore été finalisé. « Il s’agira de plusieurs milliers d’œuvres, données en deux temps, du vivant de Jean Pigozzi et après sa mort », précise Maud Boissac. Le collectionneur septuagénaire, qui entend en assurer la direction artistique les premières années, le promet, « ce ne sera pas un musée figé », encore moins circonscrit à une géographie, même si l’Afrique sera la dominante.

« J’aimerais que ce soit un musée du XXIsiècle, confie-t-il, qu’on organise des performances en duplex avec des pays africains, qu’on fasse rayonner l’art contemporain africain dans le monde à partir de notre base cannoise. »

« Bande-annonce, la collection Pigozzi à Cannes », jusqu’au 21 août, gare maritime, boulevard de la Croisette, Cannes, www.cannes.com

A lire:

24 Heures du Mans 2015, le livre….,Ouvrage .

Le guide de la 2CV.,Ouvrage Recommnandé par la presse.

Renault 5 De mon père.,(la couverture) .

Identification et cote ; les miniatures de véhicules et engins utilitaires.,Ouvrage .

Infos pour les passionnés : Une voiture prend feu dans le garage d’un immeuble à Châteaudun : neuf habitants évacués

Cet éditorial, dont le sujet est « voitures de collection », vient d’être repéré sur internet, nous sommes heureux de vous en proposer le contenu le plus fameux plus bas.

Le titre (Une voiture prend feu dans le garage d’un immeuble à Châteaudun : neuf habitants évacués) synthétise tout le texte.

Le chroniqueur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur internet.

Cet éditorial peut en conséquence être pris au sérieux.

L’éditorial a été édité à une date notée 2022-07-14 14:12:00.

La gendarmerie de Châteaudun cherchait, ce jeudi 14-Juillet, à comprendre comment un feu de véhicule s’est déclaré dans un garage d’un immeuble situé entre les rues Antoine-de-Saint-Exupéry et Armanda-Polouet à Châteaudun.

L’interrogation était d’autant plus grande que cette Peugeot 206 avait, selon des témoins, la particularité d’être abandonnée depuis deux ans par un ancien locataire et était délestée de ses roues.

Un mort et un blessé dans un accident à Mainvilliers ce jeudi matin

L’incendie s’est déclaré vers 18 heures. D’épaisses fumées se sont propagées à la fois dans le garage désormais en partie noirçi et dans le bâtiment regroupant quatorze logements, huit d’un côté et six de l’autre. 

Une habitante du second étage a raconté avoir entendu une explosion.Les pompiers ont dû faire face à d’importantes fumées noires

.À l’aide d’une lance, les pompiers ont réussi à éviter la propagation aux appartements situés au premier étage, toutefois un couple avec un chat était en cours de relogement dans la soirée en raison des dégâts causés par les fumées. Des contacts devaient être établis auprès de l’office public de l’habitat pour leur trouver provisoirement un pied à terre.

Cinq familles, soit neuf personnes, ont été évacuées durant les opérations, selon les renseignements fournis. Certains appartements de cet immeuble, construit en 2015, dans le cadre de la rénovation urbaine, étaient vides, d’autres inoccupés en raison des vacances.Tout le premier étage du bâtiment a été noirci par les fumées.

Les pompiers devaient procéder à des mesures de détection de CO2 avant d’autoriser les autres locataires à regagner leur logement. 

Philippe Provôt

Livres sur le même objet:

Delahaye, la belle carrosserie….,Ouvrage .

Sur les routes de l’Est ; voitures, camions, bus et trains : les véhicules mythiques du bloc de l’Est.,Clicker Ici .

Stars & voitures, années 1950-1970.,A voir et à lire. .

24 Heures du Mans, livre….,Ouvrage .

A découvrir cette parution : Le Mans Classic 2022 : le retour du géant

Cet article ayant pour thématique « voitures de collection » se propage sur le web, nous avons décidé de vous le publier ci-après.

Son titre (Le Mans Classic 2022 : le retour du géant) est sans équivoque.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», le rédacteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Vous pouvez lire ces infos en toute tranquillité.

Le papier a été édité à une date indiquée 2022-07-14 06:54:00.

4 ans, c’est long, très long. Ce ne fut donc pas sans une certaine dose d’excitation que nous avons enfin pu fouler à nouveau les allées du grand et mythique circuit sarthois pour Le Mans Classic. En 2022, la manifestation de classe mondiale a pu déployer tout son gigantisme après la douloureuse annulation de 2021. Son remplacement par un format modeste Historing Racing by Peter Auto était pas mal, je vous laisse relire l’article. Toutefois, rien ne pourra égaler Le Mans Classic : résumé général de la manifestation en photos avant que nous vous proposions quelques points de vue particuliers. Restez attentifs !

Je ne vais pas vous refaire la litanie sur le Covid mais il nous aura coûté une annulation et un report de la 10e édition de la classique mancelle vintage. On avait donc un peu oublié le caractère gigantesque du Mans Classic. Outre l’utilisation du grand circuit de plus de 13 kilomètres, Peter Auto et l’ACO accueillent pendant ces 4 jours de fête des milliers de voitures clubs, des dizaines d’exposants et autant d’animations. Les spectateurs revenus en nombre n’avaient aucun moyen de s’ennuyer.

Côté participants, nous avions les 6 classiques plateaux regroupés par époque ainsi que 4 courses support : Jaguar, Porsche, Endurance Racing Legends et Groupe C. N’allez pas croire que ces gentlemen et ladies drivers ne viennent que pour passer un weekend sympa entre amis : le meilleur tour du weekend était de 3 minutes 42 secondes. La pôle de Toyota, 2 semaines auparavant, était de 3 minutes et 24 secondes. Un écart de 9% environ avec une équipe d’usine qui empile les victoires sarthoises sur une Porsche 962C dont la conception originale remonte aux années 80 : pas si mal non ?

Pour rappel, si les courses du Mans Classic durent environ 45 minutes, elles sont au nombre de 3 par catégorie (pour les plateaux officiels) et s’enchaînent tout au long de la nuit, histoire de ne pas oublier à quelle course on rend hommage. Les pilotes subissent une petite idée de la rude épreuve des 24h du Mans pour atteindre la victoire finale. Quelle que soit la valeur de leur monture, les mécaniques sont mises à rude épreuve, les sorties de piste ne sont pas rares et la fatigue finit toujours par se faire sentir. Pour tous ceux avides de résultats, vous pouvez les consulter de manière très détaillée sur le site de l’évènement.

Côté clubs et exposants, les traditions étaient respectées : les Porsche étaient innombrables, les Lamborghini rutilantes et les Aston Martin élégantes. On a également pu admirer une remarquable collection de Ford GT (2006 et 2016) et compter des dizaines de répliques de GT40. Porsche a profité de l’évènement pour présenter l’histoire de ses 911 RS et apporter la toute nouvelle 911 Sport Classic. Quant à Ferrari, il aura joué au chat et à la souris avec les visiteurs. Les italiens cachaient 3 prototypes de la Daytona SP3 pour ne les montrer que lors de la parade ou de furtives sorties dans les paddocks. Tout le contraire de la renaissante De Tomaso qui exposait fièrement trois P72, assurément l’une des vedette de cette édition tant la voiture est charismatique.

Comment enfin ne pas mentionner Mazda qui aura séduit les 200.000 spectateurs venus ce weekend ? Non seulement la 787B était visible au sein du paddock du groupe C mais elle aura tourné avant chaque session sur le circuit. De quoi régaler chacun de la musique dantesque de son moteur rotatif. Une expérience sonore inoubliable.

Nous retrouverons Le Mans Classic dès 2023. En effet, les 24h fêteront leur 100 ans et l’occasion est trop belle pour préparer une édition qui s’annonce déjà comme des plus remarquables. Juste après le grand retour des constructeurs dans la Sarthe, ce sera un mois de juin exceptionnel.

Crédit photos : Regis Krol, Thomas D, Ugo Missana, Pierre Clémence

Bibliographie :

Motos de la gendarmerie nationale.,(la couverture) .

Mini toute l’histoire.,A voir et à lire. Top 10 dans sa cathégorie.

Corvette.,Ouvrage Recommnandé par la presse.

Peugeot 505 De mon père.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Sur le web : Le Mans Classic 2022 : le retour du géant

Cet éditorial ayant pour thématique « voitures de collection » a été observé sur le web, nous avons décidé de vous le dévoiler ci-après.

Son titre (Le Mans Classic 2022 : le retour du géant) condense tout le texte.

Sachez que l’auteur (identifié sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette parution.

L’encart a été publié à une date notée 2022-07-14 06:54:00.

L’article :

4 ans, c’est long, très long. Ce ne fut donc pas sans une certaine dose d’excitation que nous avons enfin pu fouler à nouveau les allées du grand et mythique circuit sarthois pour Le Mans Classic. En 2022, la manifestation de classe mondiale a pu déployer tout son gigantisme après la douloureuse annulation de 2021. Son remplacement par un format modeste Historing Racing by Peter Auto était pas mal, je vous laisse relire l’article. Toutefois, rien ne pourra égaler Le Mans Classic : résumé général de la manifestation en photos avant que nous vous proposions quelques points de vue particuliers. Restez attentifs !

Je ne vais pas vous refaire la litanie sur le Covid mais il nous aura coûté une annulation et un report de la 10e édition de la classique mancelle vintage. On avait donc un peu oublié le caractère gigantesque du Mans Classic. Outre l’utilisation du grand circuit de plus de 13 kilomètres, Peter Auto et l’ACO accueillent pendant ces 4 jours de fête des milliers de voitures clubs, des dizaines d’exposants et autant d’animations. Les spectateurs revenus en nombre n’avaient aucun moyen de s’ennuyer.

Côté participants, nous avions les 6 classiques plateaux regroupés par époque ainsi que 4 courses support : Jaguar, Porsche, Endurance Racing Legends et Groupe C. N’allez pas croire que ces gentlemen et ladies drivers ne viennent que pour passer un weekend sympa entre amis : le meilleur tour du weekend était de 3 minutes 42 secondes. La pôle de Toyota, 2 semaines auparavant, était de 3 minutes et 24 secondes. Un écart de 9% environ avec une équipe d’usine qui empile les victoires sarthoises sur une Porsche 962C dont la conception originale remonte aux années 80 : pas si mal non ?

Pour rappel, si les courses du Mans Classic durent environ 45 minutes, elles sont au nombre de 3 par catégorie (pour les plateaux officiels) et s’enchaînent tout au long de la nuit, histoire de ne pas oublier à quelle course on rend hommage. Les pilotes subissent une petite idée de la rude épreuve des 24h du Mans pour atteindre la victoire finale. Quelle que soit la valeur de leur monture, les mécaniques sont mises à rude épreuve, les sorties de piste ne sont pas rares et la fatigue finit toujours par se faire sentir. Pour tous ceux avides de résultats, vous pouvez les consulter de manière très détaillée sur le site de l’évènement.

Côté clubs et exposants, les traditions étaient respectées : les Porsche étaient innombrables, les Lamborghini rutilantes et les Aston Martin élégantes. On a également pu admirer une remarquable collection de Ford GT (2006 et 2016) et compter des dizaines de répliques de GT40. Porsche a profité de l’évènement pour présenter l’histoire de ses 911 RS et apporter la toute nouvelle 911 Sport Classic. Quant à Ferrari, il aura joué au chat et à la souris avec les visiteurs. Les italiens cachaient 3 prototypes de la Daytona SP3 pour ne les montrer que lors de la parade ou de furtives sorties dans les paddocks. Tout le contraire de la renaissante De Tomaso qui exposait fièrement trois P72, assurément l’une des vedette de cette édition tant la voiture est charismatique.

Comment enfin ne pas mentionner Mazda qui aura séduit les 200.000 spectateurs venus ce weekend ? Non seulement la 787B était visible au sein du paddock du groupe C mais elle aura tourné avant chaque session sur le circuit. De quoi régaler chacun de la musique dantesque de son moteur rotatif. Une expérience sonore inoubliable.

Nous retrouverons Le Mans Classic dès 2023. En effet, les 24h fêteront leur 100 ans et l’occasion est trop belle pour préparer une édition qui s’annonce déjà comme des plus remarquables. Juste après le grand retour des constructeurs dans la Sarthe, ce sera un mois de juin exceptionnel.

Crédit photos : Regis Krol, Thomas D, Ugo Missana, Pierre Clémence

Publications sur un propos similaire:

La Renault 16 de mon père.,Ouvrage .

La Citroën Méhari de mon père.,Ouvrage .

Enzo ferrari, une vie pour la….,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

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A retenir cette parution : Cannes se prépare à accueillir un musée pour mettre en valeur l’art contemporain africain

A mentionner, ce papier sur internet dont la thématique est « voitures de collection » et qui va vous plaire.

Son titre saisissant (Cannes se prépare à accueillir un musée pour mettre en valeur l’art contemporain africain) est évocateur.

Présenté sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu.

Pour ne rien manquer de l’actualité africaine, inscrivez-vous à la newsletter du Monde Afrique depuis ce lien. Chaque samedi à 6 heures, retrouvez une semaine d’actualité et de débats traitée par la rédaction du Monde Afrique.

La chapelle Saint-Roch à Cannes, qui va abriter le musée dédié à la collection de Jean Pigozzi. La chapelle Saint-Roch à Cannes, qui va abriter le musée dédié à la collection de Jean Pigozzi.

L’exposition « Bande-annonce », qui présente une centaine d’œuvres de la collection de Jean Pigozzi dans l’ancienne la gare maritime de Cannes, porte bien son nom. Car cet accrochage orchestré par Elizabeth Whitelaw et Jérôme Neutres est un avant-goût d’un futur « musée Pigozzi » annoncé lors du vernissage, le 11 juillet, par David Lisnard, maire (Les Républicains) de la ville azuréenne. Depuis longtemps déjà, Jean Pigozzi, « Johnny » pour les intimes, aspirait à ouvrir un lieu pour abriter si ce n’est l’ensemble, du moins une grosse partie de ses œuvres d’art contemporain d’Afrique.

L’excentrique en chemises hawaïennes, qui tutoie les magnats de la finance et de la tech comme les célébrités, pense à sa postérité. « Ce serait triste que trente ans de travail disparaissent si un jour je suis écrasé par un bus et que deux méchantes dames de salles de ventes viennent tout emballer et disperser les 10 000 œuvres », confie-t-il, impassible comme toujours.

« J’aime la couleur », de Chéri Samba (acrylique et paillettes sur toile, 206 x 297 cm, 2003). « J’aime la couleur », de Chéri Samba (acrylique et paillettes sur toile, 206 x 297 cm, 2003).

L’héritier de la firme automobile Simca a grandi avec des Renoir et des Sisley aux murs de l’appartement familial de Neuilly. Adulte, il achète les attributs de sa classe d’âge et de son milieu, Andy Warhol et le pop art, sans grande conviction. Jusqu’à ce qu’il découvre en 1989 l’exposition « Les Magiciens de la Terre », à La Villette, qui participe à faire connaître des artistes non occidentaux, d’Asie, d’Amérique latine, mais aussi du continent africain.

Trouver un ancrage pérenne

C’est le déclic ! « Pour moi, l’Afrique c’était des masques en bois et des chiens hérissés de clous », précise-t-il. Il missionne alors André Magnin, l’un des cocommissaires de l’exposition pour lui monter une collection. Le budget est illimité mais, à l’époque, les œuvres s’achètent pour une bouchée de pain.

En tout, Jean Pigozzi a déboursé 25 000 à 100 000 euros par an, sur vingt ans, une somme qu’il aurait pu « dépenser en boîtes de nuit, dans des équipes de polo ou des maîtresses suédoises », souligne-t-il, volontiers provocateur. Sans jamais mettre les pieds en Afrique, il se constitue un ensemble de référence, marqué par un penchant pour l’école populaire de Kinshasa (République démocratique du Congo) et l’artiste ivoirien Frédéric Bruly Bouabré, dont il possède pas moins de 150 dessins. Saluée par certains, la collection sera décriée par d’autres qui lui reprochent une vision exotique, voire néocolonialiste du continent.

« Mandela dignité pour l’Afrique », de JP Mika (huile et acrylique sur toile, 170 x 139 cm, 2014). « Mandela dignité pour l’Afrique », de JP Mika (huile et acrylique sur toile, 170 x 139 cm, 2014).

A partir de 1991, cet ensemble fait le tour du monde. Mais Jean Pigozzi rêve de lui trouver un ancrage pérenne. En 2019, il donne 45 œuvres au prestigieux MoMA de New York, qui organise une exposition des cités futuristes du sculpteur congolais Bodys Isek Kingelez. D’autres villes sont sur les rangs.

« On a été en discussion pendant des années à Paris, sans que jamais cela n’aboutisse », se souvient André Magnin. Jean Pigozzi se rabat sur Monaco, où l’ensemble avait été exposé en 2005 au Grimaldi Forum. Les pourparlers sont avancés, le collectionneur à l’oreille du prince Albert.

Le choix de la chapelle Saint-Roch

« Mais le Rocher est tellement petit que chaque mètre carré est convoité comme sur les Champs-Elysées, souffle Jean Pigozzi. Entre un musée d’art africain et une clinique spécialisée dans le botox, le choix est vite fait ! » D’autres projets, en Norvège notamment, tombent aussi à l’eau.

Jusqu’à cette rencontre, voilà un an, avec David Lisnard. L’édile, qui a engagé la rénovation du centre d’art de la Malmaison, sur la Croisette, veut placer sa ville sur la carte de l’art contemporain. Et il a des projets de musée en pagaille, autour du cinéma, de la mer, de l’exploration. Pour celui qui organise cette année les rencontres culturelles Cannes Dakar, pas de doute, « l’Afrique est l’un des pans majeurs d’avenir des arts plastiques ».

« Sans titre », de Seydou Keïta (tirage argentique moderne, 60 x 50 cm). « Sans titre », de Seydou Keïta (tirage argentique moderne, 60 x 50 cm).

Jean Pigozzi est séduit. Cannes est à 20 minutes en voiture du Cap d’Antibes, où cet intime de la jet-set passe depuis toujours ses étés dans sa splendide résidence familiale. La métropole de 160 000 habitants s’anime au gré des festivals et des rencontres professionnelles. « Elle est fréquentée par des millions de visiteurs de tous les pays, de tous les milieux, un vivier autrement plus diversifié que le Marais à Paris », vante Jérôme Neutres.

Plusieurs espaces sont visités : la gare maritime, où se tient aujourd’hui l’exposition « Bande-annonce », un ancien comptoir provençal du verre dans le quartier Saint-Louis, un espace à la Bocca. Mais c’est finalement la chapelle Saint-Roch qui rallie les suffrages. Cet ancien lieu de culte désacralisé se trouve en plein cœur du Suquet, le quartier historique de Cannes. Et pour ne rien gâcher, il voisine un autre centre d’art, le Suquet des artistes, installé depuis 2015 dans une ancienne morgue.

« Un musée du XXIsiècle »

David Lisnard a déjà fait le calcul : il faut environ 7 millions d’euros pour réhabiliter l’église. La ville apportera son écot, mais il espère pouvoir compter sur un partenariat public-privé. « On travaille d’arrache-pied pour essayer d’ouvrir le musée le plus rapidement possible, on espère en 2026 », ajoute Maud Boissac, directrice des affaires culturelles de la ville.

L’inventaire des œuvres données n’a pas encore été finalisé. « Il s’agira de plusieurs milliers d’œuvres, données en deux temps, du vivant de Jean Pigozzi et après sa mort », précise Maud Boissac. Le collectionneur septuagénaire, qui entend en assurer la direction artistique les premières années, le promet, « ce ne sera pas un musée figé », encore moins circonscrit à une géographie, même si l’Afrique sera la dominante.

« J’aimerais que ce soit un musée du XXIsiècle, confie-t-il, qu’on organise des performances en duplex avec des pays africains, qu’on fasse rayonner l’art contemporain africain dans le monde à partir de notre base cannoise. »

« Bande-annonce, la collection Pigozzi à Cannes », jusqu’au 21 août, gare maritime, boulevard de la Croisette, Cannes, www.cannes.com

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Relecture de l’édito : Volkswagen Beetle occasion | Annonces-Automobile

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