Information toute fraiche : Lueur d’espoir pour Stéphane Blanchys, en grève de la faim et qui vit dans sa voiture à Sérignan

Voici le principal d’un éditorial que nous venons de identifier sur le web. Le propos va indéniablement vous satisfaire. Car la thématique est « voitures anciennes ».

Le titre (Lueur d’espoir pour Stéphane Blanchys, en grève de la faim et qui vit dans sa voiture à Sérignan) en dit long.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’auteur est positivement connu.

Vous pouvez par conséquent vous fier aux informations qu’il édite.

Stéphane Blanchys se bat pour avoir le droit de voir son fils. En grève de la faim pour se faire entendre et sans logement, il vit dans sa voiture. Auditionné en début de semaine, par plusieurs organismes, il estime avoir été compris.

Stéphane Blanchys perçoit une lueur d’espoir sur un horizon aussi flou que nuageux. Certes, il va encore lui falloir attendre pour avoir le droit de voir son fils. L’Albigeois va aussi continuer à dormir, dans son véhicule, à Sérignan. Il poursuivra également sa grève de la faim, commencée le 20 janvier, véritable signal d’alarme à destination des autorités judiciaires à qui il reproche de ne pas faire correctement leur travail. Mais en ce début de semaine, malgré une fatigue grandissante, due au manque de nourriture, il a quelque peu retrouvé le moral.

Il a été entendu

À Albi, d’où il est originaire et où il peut compter sur des soutiens, il a, en effet, rencontré plusieurs personnes, issues de divers organismes. Il leur a exposé son cas et ils lui ont dit l’avoir entendu. Ce qu’il demandait depuis des mois… Depuis qu’il s’est lancé dans une véritable bataille juridique, initiée par son ex-épouse, et qui l’a amenée à ne plus avoir le droit de revoir Thomas, son fils, âgé aujourd’hui de 17 ans. La dernière fois qu’il l’a rencontré, c’était en 2015. Procédures diverses, auditions, expertises… Rien ne lui a permis, jusqu’à présent, de débloquer une situation où il estime être jugé à tort.

« Les gens comprennent qu’il y a un problème »

Dans le Tarn, il s’est entretenu avec une psychologue clinicienne, affectée à la Direction départementale de la sécurité publique (Police nationale) du département (DDSP81), avec une représentante du bureau d’aide aux victimes (BAV) du tribunal d’Albi et, par téléphone, avec une adjointe au pôle solidarité de l’Office national des combattants et des victimes de guerre (ONAC/VG), siégeant à l’Hôtel des Invalides à Paris.

L’ancien militaire qui a combattu, dans les années 90, lors de la guerre du Golfe et dans le conflit de l’ex-Yougoslavie, dit être satisfait de ces entretiens : « Tous ces gens ont fait le point sur ma situation, raconte-t-il. Ils m’ont dit ne pas comprendre les mesures prises par la magistrature. Le moral va effectivement mieux car je me rends compte que les gens s’aperçoivent qu’il y a vraiment un problème. Par exemple, ils ne comprennent pas pourquoi depuis 2015, je ne peux pas avoir le moindre contact avec mon fils, y compris au sein  d’une structure médiatisée. » 

Trouver un hébergement d’urgence

La situation personnelle de Stéphane Blanchys a aussi été en centre des débats : « Il a été admis que vu mon état de santé, je ne pouvais pas rester plus longtemps à dormir dans ma voiture, souligne le gréviste de la faim. La solution d’un hébergement d’urgence a été évoquée. La responsable de l’ONAC/VG cherche une solution auprès des services du ministère des armées et sa collègue auprès des services sociaux du département. Je suis dans l’attente d’une solution. »

Ce jeudi 7 mars, sur Béziers, l’ancien militaire rencontrera un représentant de l’Union nationale des combattants de l’Hérault, association qui le soutien. La police municipale de Sérignan se penche aussi sur son cas.

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