Cet article, dont la thématique est « voitures de collection », vient d’être trouvé sur le web, notre rédaction est heureuse de vous en reproduire le contenu le plus notable dans cette publication.

Son titre troublant (Quimper. Un an de prison ferme pour l’ancien chauffeur-routier qui avait mortellement fauché un touriste anglais et son bébé) est sans détour.

Le chroniqueur (présenté sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

La fiabilité est en conséquence substantielle concernant cet encart.

Sachez que la date de publication est 2022-07-07 12:33:00.

Voilà ll’article :

Le conducteur d’un poids lourd, qui avait percuté en 2017 la voiture d’une famille britannique, tuant le père et un bébé, a été condamné ce jeudi par le tribunal correctionnel de Quimper à cinq ans de prison dont quatre avec sursis.

Cinq ans de prison dont quatre avec sursis, c’est le jugement rendu ce jeudi par le tribunal correctionnel de Quimper à l’encontre d’un conducteur de poids lourd qui, en 2017, avait percuté la voiture d’une famille britannique, tuant le père et un bébé.
La société qui l’employait, également poursuivie, s’est vue infliger une amende de 20.000 euros.

La collision s’était produite le 27 juin 2017 à 14h30 sur une route départementale entre Quimper et Pluguffan, dans le Finistère. Le conducteur du camion, qui transportait ce jour-là des bovins, avait percuté par l’arrière le véhicule de la famille qui avait ralenti juste avant une intersection pour tourner à gauche. 

Le bébé âgé de 10 mois était décédé sur le coup et son père le lendemain. La mère, qui se trouvait à l’arrière de la voiture à côté de son bébé, avait été grièvement blessée.

Le prévenu, un homme de 32 ans, n’avait pas respecté le temps de repos légal. Il avait en outre falsifié le disque de son chronotachygraphe destiné à retracer ses heures de conduite et de repos.
« C’est le seul moyen de respecter le rythme » de travail imposé, avait-il indiqué à la barre le 2 juin dernier, assurant que la plupart des autres chauffeurs de l’entreprise ne respectaient pas non plus le temps de repos légal.

Le trentenaire était également en excès de vitesse, roulant à 87 km/h sur une portion limitée à 80 et avait échangé plusieurs messages depuis son téléphone portable juste avant l’accident.

Le chauffard, qui s’est reconverti dans la maçonnerie, s’est vu également interdire la profession de chauffeur routier pendant cinq ans.

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