Ce post, dont la thématique est « voitures de collection », vient d’être trouvé sur le web, nous sommes heureux de vous en produire le contenu le plus fameux plus bas.
Son titre (Un train tous les quarts d’heure à Libourne ? « Si on le fait, plus personne ne prendra la voiture ! ») parle de lui-même.
Sachez que l’éditorialiste (présenté sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.
« On parle de gare ou de Pôle d’échange multimodal (PEM). Moi j’appelle ça une Maison des mobilités. Car on va parler de toutes les mobilités… » Le vice-président de la Région Nouvelle-Aquitaine Renaud Lagrave…
« On parle de gare ou de Pôle d’échange multimodal (PEM). Moi j’appelle ça une Maison des mobilités. Car on va parler de toutes les mobilités… » Le vice-président de la Région Nouvelle-Aquitaine Renaud Lagrave, en charge des transports, s’est enthousiasmé, ce lundi 18 décembre à Libourne, aux côtés des élus locaux, de Bordeaux Métropole, des services de l’État et des représentants de SNCF Gares & Connexions, pour présenter le projet de pôle libournais et ses implications. Un dossier aujourd’hui officiellement sur les rails, selon la formule consacrée, qui doit permettre de développer l’usage des trains de proximité, en cohérence avec la montée en puissance du Service express régional métropolitain (SERM). Il espère voir le projet aller en encore plus loin.
Ph. B.
La loi servant de cadre au développement des SERM est aujourd’hui promulguée, rappelle l’élu landais. « J’ai entendu que 13 milliards d’euros seraient consacrés à 13 services express régionaux. Nous avons tous fait le calcul. Cela fait un milliard pour le SERM girondin », avance-t-il en prenant à témoin le sous-préfet de Libourne Matthieu Doligez. « Nous espérons l’annonce de cette participation de l’État en début d’année », insiste-t-il. L’ambition étant pour les élus d’obtenir un cadencement plus soutenu, d’une demi-heure à un quart d’heure, avec un aréopage de services pour le report modal. « Si on le fait, plus personne ne prendra la voiture ! »
À la place de l’usager
Renaud Lagrave entend voir tous les acteurs de la mobilité se mettre autour de la table pour offrir un service cohérent aux usagers. « Notre vision du service a beaucoup changé depuis des années. On se met de plus en plus à la place de l’usager. Et l’usager se fiche de savoir qui est responsable de quoi. » Il plaide pour que ledit usager « s’y retrouve le plus possible, que tout soit le plus simple possible pour lui », allant jusqu’à une tarification intégrée pour les transports en commun. « C’est à nous de le faire. »
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