Retour sur l’article : Première électrification d’une 2 CV : le défi de Sébastien et Guillaume depuis dix ans

Cet article, dont le propos est « voitures de collection », a été découvert sur le web, notre rédaction est heureuse de vous en reproduire l’essentiel plus bas.

Le titre (Première électrification d’une 2 CV : le défi de Sébastien et Guillaume depuis dix ans) est sans confusion.

Annoncé sous la signature «d’anonymat
», l’auteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Vous pouvez prendre connaissance de ces infos en confiance.

Le post a été édité à une date indiquée 2023-02-17 06:24:00.

Première électrification d’une 2 CV : le défi de Sébastien et Guillaume depuis dix ans – Le Parisien

Publications:

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Bentley.,Ouvrage Recommnandé par la presse.

La Matra 530 de mon père.,Ouvrage .

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Infos toute fraiche : des Mercedes anciennes sur le lac gelé de St Moritz

Nous dévoilons un tout nouvel article qui va grossir notre revue de presse sur « voitures de collection ».

Son titre (des Mercedes anciennes sur le lac gelé de St Moritz) est sans équivoque.

L’auteur (annoncé sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur le web.

Cet encart peut par conséquent être pris au sérieux.

Le post a été diffusé à une date notée 2023-02-17 05:31:00.

L’article d’origine :

Pour la seconde édition de « The ICE St Moritz », qui se tiendra les 24 et 25 février 2023, Mercedes présentera plusieurs modèles historiques sur le lac gelé.

« The ICE St Moritz » est un tout nouvel événement : un concours d’élégance qui met à l’honneur des automobiles anciennes dans un cadre extraordinaire, le lac gelé et enneigé de Saint-Moritz, en Suisse. La seconde édition aura lieu les 24 et 25 février 2023, avec un vaste éventail de voitures historiques. À cette occasion, Mercedes sera présente et apportera plusieurs modèles anciens de sa collection :

« Mercedes-Benz Classic est ouvert à la nouveauté. Cela inclut sa participation à ‘The ICE’ à Saint-Moritz. L’événement met en avant des voitures anciennes exceptionnelles, en milieu de la saison froide, lorsque les voitures historiques ont tendance à rester au garage. Les montagnes, la neige, la glace et, espérons-le, le soleil, serviront de décor à ce nouveau concept », a déclaré à cette occasion Marcus Breitschwerdt, Responsable du Patrimoine de Mercedes-Benz

Mercedes à The ICE St Moritz : un évènement exceptionnel

Outre la référence au célèbre lac gelé, « The ICE » signifie « International Concours of Elegance » : un évènement éphémère, qui ne peut s’organiser que l’hiver, lorsque le lac de Saint-Moritz se transforme en une piste de glace d’environ 50 centimètres d’épaisseur. Un parcours ovale est alors créé sur le lac, avec une couche de neige, et le lieu est utilisé pour plusieurs manifestations, durant trois mois par an.

« The ICE St Moritz » est un concours d’élégance où s’affrontent des véhicules d’époque dans plusieurs catégories : « Jetset on Ice », « Vintage Road Racing », « Stars on Wheels », « Barchettas on the Lake » ou encore « Concept Cars », qui désigneront chacune un gagnant.

L’événement est inspiré de l’histoire du lac, qui remonte à l’hiver 1985 : un groupe d’Écossais et d’Anglais utilisaient le lac gelé de Saint-Moritz comme circuit pour rouler avec leurs anciennes Bentley. C’est seulement en 2019 que des spectacteurs de l’époque ont imaginé « The ICE St Moritz », avec une course d’essai en 2019, avant de lancer officiellement la première édition en 2022, après la crise du Covid.

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Mercedes à The ICE St Moritz : trois véhicules historiques présentés

À cette occasion, Mercedes et son département Classic seront présents avec une Mercedes-Benz C 111-II de 1970 à moteur V8, qui concourra dans la catégorie « Concept Cars », ainsi qu’une Mercedes-Benz 300 SLS (W198 de 1958) (« Super Light Sport ») dans la catégorie « Barchettas on the Lake ».

Le vendredi 24 février, les véhicules seront présentés au public et au jury du Concours d’Elégance dans le « Parc Fermé », puis ils effectueront des tours rapides sur la piste de glace le samedi 25 février, notamment aux mains de Karl Wendlinger, ancien pilote d’usine et actuel ambassadeur de la marque Mercedes-AMG.

La division Patrimoine de la marque allemande présentera quant à elle une Mercedes-Benz 600 (W100 de 1963) pour célébrer son soixantième anniversaire, ainsi qu’une Mercedes-Benz 300 SL Roadster (W198 de 1958) qui sera mise en vente à cette occasion.

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Dernière actu toute fraiche : La Netflixisation ou l’abonnement de notre économie…

Cet éditorial ayant pour thématique « voitures de collection » a été vu sur le web, nous avons décidé de vous le présenter plus bas.

Le titre saisissant (La Netflixisation ou l’abonnement de notre économie…) est parlant.

L’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est positivement connu.

La date de publication est 2023-02-17 03:18:00.

Nos exigences en tant que consommateurs sont de plus en plus paradoxales, comme nous sommes tous ou presque biberonnés aux services d’Amazon et de ses petits frères de l’i commerce, nous avons appris à vouloir tout, tout de suite et au plus petit prix. Mais comme le réchauffement climatique est passé par là depuis lors, nous sommes aussi devenus plus exigeants sur les sujets environnementaux et nous essayons tous de consommer mieux.

Tout cela est paradoxal vu que c’est vrai. Le culte de l’instantanéité se heurte de face à la notion de consommer mieux. Mais c’est vrai que pour dénouer ce paradoxe, nous autres, le consommateur, nous avons malgré tout fait naître de nouvelles voies pour favoriser le retour des circuits courts, du consommer local. Nous sommes aussi un petit peu détournés de l’achat au profit de la location, surtout les plus jeunes générations. Ce phénomène, on l’appelle la Netflixisation de l’économie. Du nom de Netflix, évidemment. Autrement dit, l’économie de l’abonnement se répand un peu partout aujourd’hui, et c’est vrai qu’au-delà des classiques abonnements liés au monde du divertissement du type Deezer, Spotify, Disney plus Netflix évidemment, eh bien l’économie de l’abonnement se retrouve aussi dans les livraisons à domicile, pour les produits bios par exemple, ou chez Décathlon pour les articles de sport usagés. Même Porsche propose en test un service abonnement qui vous permet de changer de voiture contre un gros 2000 € par mois. Le consommateur d’aujourd’hui n’a plus besoin de posséder un bien pour en profiter et son prix à l’usage est nettement moins élevé que l’achat d’un bien neuf en magasin ou en concession par exemple. Tout cela est donc positif pour la planète. On avance donc dans la bonne direction…

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Revue de presse internet : Débats sur les retraites : après vendredi minuit, stop ou encore ? | LCP

Nous allons tout vous révéler sur ce texte qui vient d’être publié, dont la thématique est «voitures de collection».

Le titre (Débats sur les retraites : après vendredi minuit, stop ou encore ? | LCP) est sans détour.

Sachez que l’écrivain (présenté sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur internet.

Les révélations concernées sont de ce fait jugées véridiques.

Malgré le véhicule législatif choisi par le gouvernement pour présenter la réforme des retraites, qui prévoit un délai de 20 jours pour le passage en première lecture à l’Assemblée nationale, des députés de la Nupes, à commencer par ceux de La France insoumise, réclament que les débats se poursuivent au-delà de vendredi minuit. Un faux débat estime la majorité qui met en cause la stratégie d »‘obstruction » de la gauche. Que dit la Constitution ? Quelles interprétations possibles ? Éléments de réponse.  

« Ils ne sont pas obligés d’arrêter les débats vendredi à minuit. » Ces mots, prononcés mardi 14 février, sont ceux de la présidente du groupe « La France insoumise » à l’Assemblée nationale, Mathilde Panot. Alors qu’en sept jours de débats, les députés n’ont pas encore commencé à examiner l’article 3 du texte, qui en compte vingt, les députés de l’alliance de gauche en général, et ceux de LFI en particulier, demandent une prolongation des débats, tandis que la majorité et les autres groupes d’opposition reprochent à la Nupes une stratégie d’obstruction. Donner plus de temps à l’Assemblée nationale pour examiner le texte, est-ce possible ? La question est à la fois constitutionnelle et politique.

Possibilité de dépasser les délais « à la marge »

Sous le feu des projecteurs depuis le début de l’année, l’article 47-1 de la Constitution encadre les modalités du débat parlementaire du projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale (PLFRSS), qui sert de véhicule législatif à la réforme des retraites, en prévoyant des délais pour l’examen de celui-ci. « Si l’Assemblée nationale ne s’est pas prononcée en première lecture dans le délai de vingt jours après le dépôt d’un projet, le gouvernement saisit le Sénat qui doit statuer dans un délai de quinze jours« , indique notamment l’article 47-1. La Constitution précise qu’au total, « si le Parlement ne s’est pas prononcé dans un délai de cinquante jours, les dispositions du projet peuvent être mises en œuvre par ordonnance« .

Pour plusieurs constitutionnalistes interrogés par LCP, le gouvernement pourrait, selon sa volonté et au vu de l’unique jurisprudence, interpréter les délais prévus par l’article 47-1, non comme un impératif, mais comme un encadrement permettant une certaine souplesse, et ainsi allonger de quelques jours l’examen en première lecture à l’Assemblée. A condition que cette prolongation reste limitée.

C’est notamment l’avis d’Anne-Charlène Bezzina, maître de conférences en droit public à l’Université de Rouen, de Benjamin Morel, professeur de droit public à l’Université Paris-II Panthéon-Assas ou de Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’Université de Lille, pour lesquels le dépassement à la marge des délais ne poserait pas de difficulté constitutionnelle, tandis que le professeur et spécialiste de droit constitutionnel Didier Maus considère plutôt que ces délais « s’imposent d’eux-mêmes ».

On peut imaginer que le gouvernement laisse la session de ce weekend pour examiner l’article 7. Anne-Charlène Bezzina, maître de conférences en droit public à l’université de rouen

Dans l’histoire constitutionnelle de la Ve République, seule une décision du Conseil constitutionnel a été rendue en la matière, en 1986, à propos de la loi de finances rectificative encadrée par l’article 47 de la Constitution (différente, donc de l’actuel PLFRSS encadré par l’article 47-1). A l’époque, les députés socialistes avaient saisi les Sages de la rue Montpensier sur la constitutionnalité de la loi de finances rectificative, porté par le gouvernement Chirac, qui avait dépassé de quatre jours le délai de 40 jours d’examen en première lecture au Palais-Bourbon prévu par l’article 47, afin d’examiner les ultimes articles du texte.

Le Conseil constitutionnel avait jugé que ce dépassement des délais « ne [constituait pas] une irrégularité de nature à vicier la procédure législative », d’autant que le Sénat avait pu examiner le texte dans le délai législatif global prévu par la Constitution. De l’avis des constitutionnalistes, le risque d’une censure pour dépassement des délais constitutionnels est faible : seules trois lois ont été censurées depuis 1958, pour des raisons de procédure, et non de délais. 

Entre l’esprit et la lettre de la Constitution, même si la rédaction concernant les vingt jours semble claire et précise, la plupart des spécialistes interrogés semblent donc considérer qu’il serait envisageable d’accorder aux députés quelques jours supplémentaires pour l’examen de la réforme en première lecture. A deux conditions : si le gouvernement, estimant qu’il est nécessaire de prolonger un peu les débats, le décide ; et si ce dépassement reste marginal et ne dégrade pas les conditions d’examen du texte par le Parlement durant la suite de cette procédure législative particulière, notamment au Sénat.

Selon les experts, une certaine latitude est aussi possible concernant le délai de cinquante jours, d’autant que concernant la durée globale des débats, la Constitution indique :  « si le Parlement ne s’est pas prononcé dans un délai de cinquante jours, les dispositions du projet peuvent être mises en œuvre par ordonnance« . La subtilité résidant en l’occurrence dans l’utilisation du verbe « pouvoir » par les rédacteurs de la Constitution. Juridiquement parlant, la date butoir du 26 mars ne semble donc pas intangible, alors que la configuration n’est par ailleurs pas tout à fait la même que pour un texte budgétaire votée à la fin d’une année et qui soit s’appliquer dès le 1er janvier qui suit. 

Volonté de « cadenasser les débats » versus dénonciation d’un « double langage« 

Actant la lenteur de l’avancée des débats tout en assumant une « forme de résistance parlementaire mouvante », les députés de La France insoumise se sont relayés en conférence de presse mardi pour affirmer que le gouvernement pourrait tout à fait prolonger les débats au-delà de vendredi minuit. Un appel également relayé plusieurs fois dans l’hémicycle ces derniers jours. 

Pour Eric Coquerel, député LFI et président de la commission des finances, « rien n’empêche constitutionnellement » le gouvernement de poursuivre l’examen des débats durant le weekend. Selon lui, gouvernement et majorité « ont tous les moyens d’accélérer et d’aller au bout d’examen de la réforme en prenant deux, trois, quatre jours de plus ».

Cette demande de prendre plus de temps pour examiner le texte est partagée au sein de la Nupes. Arthur Delaporte (Socialistes) estime que cela est « nécessaire » et dénonce une volonté de « cadenasser les débats » de la part du gouvernement qui offre, d’après ses chiffres, un temps de débat « 40% inférieurs à ceux de la précédente réforme des retraites », débattue en 2020 et finalement abandonnée. 

La semaine dernière déjà, peu avant la levée de séance vendredi 10 février au soir, les députés LFI avaient multiplié les rappels au règlement pour obtenir une poursuite de l’examen les samedi 11 et dimanche 12 février ; une demande qui s’était vue opposer une fin de non-recevoir par Sylvain Maillard (Renaissance) et le ministre des Relations avec le Parlement, Franck Riester.

Cette demande réitérée de prolonger les débats au-delà du vendredi 17 février à minuit est jugée hypocrite au sein de la coalition présidentielle. Pour Erwan Balanant (Démocrate), « si les débats étaient possibles et qu’ils ne ressemblaient pas à de l’obstruction, pourquoi pas… », confie-t-il. Mais si le député du MoDem estime « nécessaire » d’avoir « un débat qui éclaire les Français ». il déplore un « double langage » de La France insoumise qui appelle à siéger plus longuement après avoir ralenti, voire bloqué, les débats en déposant des milliers d’amendements, dont un grand nombre étaient identiques. 

Ces derniers jours, les groupes de la majorité, ainsi que Les Républicains et le Rassemblement national ont multiplié les appels à destination de la Nupes en général, et de LFI en particulier, afin que la gauche retire des amendements pour permettre à l’Assemblée nationale d’examiner le coeur de la réforme, à commencer par l’article 7 qui prévoit le report de l’âge légal de départ en retraite de 62 à 64 ans. Ce que la Nupes a commencé à faire, notamment mercredi 15 au soir, avec un empressement variable selon les groupes, ce qui dénote des nuances de stratégie au sein de l’alliance de gauche. 

Les députés n’ayant cependant pas encore commencé à examiner l’article trois (sur les vingt que compte le texte), jeudi à la mi-journée, il est à l’évidence impossible d’envisager que l’ensemble de la réforme puisse être examinée dans le temps imparti. 

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Dernière actu toute fraiche : Une voiture d’avant-guerre vendue 4 millions d’€, devenant la plus chère de l’histoire

Nous exposons un tout nouvel éditorial qui va parfaire notre revue de presse sur « voitures de collection ».

Le titre troublant (Une voiture d’avant-guerre vendue 4 millions d’€, devenant la plus chère de l’histoire) récapitule tout l’article.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», le rédacteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Le texte peut par conséquent être pris au sérieux.

L’encart a été diffusé à une date indiquée 2023-02-16 03:55:00.

Voilà ll’article dont il s’agit :

La Simplex Torpedo Tourer a été vendue lors d’une vente aux enchères organisée par Bonhams en janvier dernier. Une vente particulière et historique puisque la voiture de collection a été vendue à une somme astronomique faisant d’elle la voiture d’avant-guerre la plus chère jamais vendue au monde.

C’est un collectionneur anonyme qui aurait craqué pour cette Simplex Torpedo Tourer, véhicule de marque américaine qui n’existait qu’entre 1906 et 1915. Elle s’est vendue pour une somme jamais vue pour une telle voiture : plus de 4,5 millions d’euros. Vous imaginez bien qu’une voiture datant d’aussi longtemps ne cache rien d’extraordinaire sous le capot. L’acheteur a tout simplement craqué pour l’histoire du véhicule, sa rareté ou encore sa beauté. Elle affiche quelques 50 chevaux mais elle est quasiment comme neuve puisque Bonhams Scottsdale confie qu’elle n’a jamais passé une seule nuit à l’extérieur.

La vente aux enchères de tous les records  

La dernière fois qu’une telle voiture avait été proposée aux enchères il faut remonter à 2006. Une rareté supplémentaire qu’affirme la maison de vente : « Des voitures de cette qualité sont rarement mises aux enchères publiques. Cela fait près de 17 ans qu’une Simplex à la carrosserie originale n’a pas été proposée au public. Cette voiture fait partie des plus belles voitures anciennes d’Amérique et l’opportunité d’acquérir un véhicule de ce calibre est exceptionnelle ».

Pour rappel, la dernière voiture historique vendue était une Rolls-Royce 10hp Barker Two-Seater de 1904, qui avait été vendue au prix record de 4 millions d’euros à l’époque. Mais ce record appartient désormais au passé, la Torpedo Tourer entre à son tour dans l’histoire.

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Editorial tout frais : Une voiture d’avant-guerre vendue 4 millions d’€, devenant la plus chère de l’histoire

Je viens de trouver cet éditorial sur la thématique « voitures de collection ». Avec régal nous vous en fournissons l’essentiel ci-dessous.

Le titre (Une voiture d’avant-guerre vendue 4 millions d’€, devenant la plus chère de l’histoire) est sans équivoque.

L’éditorialiste (annoncé sous la signature d’anonymat
) est positivement connu.

La crédibilité est donc importante en ce qui concerne cet article.

Par Aurelie Bouhaddi Mercredi 15 février 2023 La Simplex Torpedo Tourer a été vendue lors d’une vente aux enchères organisée par Bonhams en janvier dernier. Une vente particulière et historique puisqu …

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Revue de presse internet : le Renault Austral 7 places se dévoile

En consultant internet nos rédacteurs ont vu un post qui risque de vous interpeller. Son propos est « voitures de collection ».

Son titre saisissant (le Renault Austral 7 places se dévoile) résume tout l’éditorial.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu.

La crédibilité est ainsi substantielle en ce qui concerne cet encart.

L’encart a été diffusé à une date mentionnée 2023-02-15 03:50:00.

Nous l’avons déjà expliqué à de nombreuses occasions, si le nom Espace est donc repris, du fait d’un patronyme connu et reconnu en Europe, en revanche, la philosophie du véhicule sera toute autre. Finie la carrosserie monospace que la génération précédente avait déjà partiellement abandonnée à l’époque au profit d’un crossover, désormais, l’Espace, comme le Renault Austral sera un vrai SUV avec tous les codes qui vont avec.

En remplaçant l’Espace et le SUV Koleos, Renault fait coup double avec son nouvel Espace

La date de présentation approchant -celle-ci étant prévue pour ce printemps- Renault commence petit à petit à dévoiler les premières images de celui qui remplacera la génération précédente d’Espace, mais aussi le SUV et 4×4 Koleos qui n’a pas réussi à réellement trouver son public malgré un style plutôt réussi. 

Sur les premiers clichés dévoilés, on y a découvre un véhicule avec des épaules marquées, un pavillon qui plonge très légèrement sur l’arrière afin de conserver une hauteur suffisante pour les passagers de la troisième rangée de sièges et une lunette assez verticale. Un design qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler l’Austral que nous avons essayé il y a quelques semaines. Que ce soit à l’avant ou à l’arrière, les feux reprennent la nouvelle signature lumineuse à LED de la marque au losange en forme de C. 

Futur Renault Espace 2023

Un Espace qui reprend l’intérieur et les blocs hybrides de l’Austral commercialisé en 2022

Sans surprise, techniquement, ce nouvel Espace sera bien sur très proche du tout dernier SUV Austral commercialisé par Renault il y a quelques semaines seulement. Il en reprendra la majorité des pièces, à commencer par sa plate-forme CMF-CD bien sur (partagée avec d’autres modèles chez Nissan comme le Nissan X-TRail), sa planche de bord avec son imposant écran tactile, et ses équipements dont le système de navigation signé Google. Bien sur, ses motorisations seront identiques ou presque, à commencer par les deux blocs hybrides non rechargeables de 160 et 200  ch. En revanche, comme tous les derniers modèles de la marque, il n’y aura pas d’offre Diesel, cette motorisation étant en très fort déclin du fait des nombreuses restrictions qui pèsent sur elle. En entrée de gamme, les moteurs bénéficieront également d’une hybridation légère pour améliorer à faible coût, les rejets de CO2.

Plus grand que l’Austral afin de pouvoir proposer selon la version 7 vraies places ou un coffre plus grand en configuration 5 places, comparé à l’Espace le nouveau venu sera malgré tout plus compact de 14 cm soit une longueur totale de 4,72m. Mais selon la marque au losange, il devrait offrir une habitabilité supérieure (2,48m de longueur à l’intérieur) grâce à sa nouvelle plate-forme et une longueur d’empattement supérieure à celle de l’Austral tandis que son porte à faux arrière sera tout aussi réduit.

Des prix annoncés peu avant sa sortie 

Pour le moment, Renault se contente d’un simple teasing avant une présentation complète prévue au début du printemps, dans une poignée de semaines donc, et une commercialisation dans la foulée. Renault en profitera alors pour annoncer la liste complète des équipements qui se voudront plus haut de gamme que l’Austral (on peut notamment espérer des vitres feuilletées pour limiter les bruits d’air sur autoroute) ainsi que les tarifs.

Les questions les plus posées

Qui remplace le Koleos ?

L’Espace de 6ème génération, commercialisée en 2023, remplace deux modèles: l’Espace commercialisé en 2015 ainsi que le Koleos.

Quand sortira le Renault Austral ?

Le Renault Austral en configuration 5 places et sorti fin 2022. La version 7 places, baptisée Espace est commercialisée en 2023.

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En consultant internet nos rédacteurs ont vu un post qui risque de vous interpeller. Son propos est « voitures de collection ».

Son titre saisissant (le Renault Austral 7 places se dévoile) résume tout l’éditorial.

Présenté sous le nom «d’anonymat
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La crédibilité est ainsi substantielle en ce qui concerne cet encart.

L’encart a été diffusé à une date mentionnée 2023-02-15 03:50:00.

Nous l’avons déjà expliqué à de nombreuses occasions, si le nom Espace est donc repris, du fait d’un patronyme connu et reconnu en Europe, en revanche, la philosophie du véhicule sera toute autre. Finie la carrosserie monospace que la génération précédente avait déjà partiellement abandonnée à l’époque au profit d’un crossover, désormais, l’Espace, comme le Renault Austral sera un vrai SUV avec tous les codes qui vont avec.

En remplaçant l’Espace et le SUV Koleos, Renault fait coup double avec son nouvel Espace

La date de présentation approchant -celle-ci étant prévue pour ce printemps- Renault commence petit à petit à dévoiler les premières images de celui qui remplacera la génération précédente d’Espace, mais aussi le SUV et 4×4 Koleos qui n’a pas réussi à réellement trouver son public malgré un style plutôt réussi. 

Sur les premiers clichés dévoilés, on y a découvre un véhicule avec des épaules marquées, un pavillon qui plonge très légèrement sur l’arrière afin de conserver une hauteur suffisante pour les passagers de la troisième rangée de sièges et une lunette assez verticale. Un design qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler l’Austral que nous avons essayé il y a quelques semaines. Que ce soit à l’avant ou à l’arrière, les feux reprennent la nouvelle signature lumineuse à LED de la marque au losange en forme de C. 

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Sans surprise, techniquement, ce nouvel Espace sera bien sur très proche du tout dernier SUV Austral commercialisé par Renault il y a quelques semaines seulement. Il en reprendra la majorité des pièces, à commencer par sa plate-forme CMF-CD bien sur (partagée avec d’autres modèles chez Nissan comme le Nissan X-TRail), sa planche de bord avec son imposant écran tactile, et ses équipements dont le système de navigation signé Google. Bien sur, ses motorisations seront identiques ou presque, à commencer par les deux blocs hybrides non rechargeables de 160 et 200  ch. En revanche, comme tous les derniers modèles de la marque, il n’y aura pas d’offre Diesel, cette motorisation étant en très fort déclin du fait des nombreuses restrictions qui pèsent sur elle. En entrée de gamme, les moteurs bénéficieront également d’une hybridation légère pour améliorer à faible coût, les rejets de CO2.

Plus grand que l’Austral afin de pouvoir proposer selon la version 7 vraies places ou un coffre plus grand en configuration 5 places, comparé à l’Espace le nouveau venu sera malgré tout plus compact de 14 cm soit une longueur totale de 4,72m. Mais selon la marque au losange, il devrait offrir une habitabilité supérieure (2,48m de longueur à l’intérieur) grâce à sa nouvelle plate-forme et une longueur d’empattement supérieure à celle de l’Austral tandis que son porte à faux arrière sera tout aussi réduit.

Des prix annoncés peu avant sa sortie 

Pour le moment, Renault se contente d’un simple teasing avant une présentation complète prévue au début du printemps, dans une poignée de semaines donc, et une commercialisation dans la foulée. Renault en profitera alors pour annoncer la liste complète des équipements qui se voudront plus haut de gamme que l’Austral (on peut notamment espérer des vitres feuilletées pour limiter les bruits d’air sur autoroute) ainsi que les tarifs.

Les questions les plus posées

Qui remplace le Koleos ?

L’Espace de 6ème génération, commercialisée en 2023, remplace deux modèles: l’Espace commercialisé en 2015 ainsi que le Koleos.

Quand sortira le Renault Austral ?

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Vorsprung durch Low-Tech? (Oldtimer-Blogartikel du 14.02.2023) | (service auto)

Procon-Ten. Ein solcher Produktname hätte heutzutage keine Chance, lebend aus einem Marketing-Meeting herauszukommen.

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« Contraction et tension programmées » war die ausgeschriebene Bezeichnung für ein System, das die passive Sicherheit im Falle eines Frontalaufpralls erhöhen sollte. So trocken und „ingeniös“ wie diese Wortschöpfung daherkommt, lässt sich ihr Ursprung leicht nach Ingolstadt verorten.

Audi
war in den 80er-Jahren des vergangenen Jahrhunderts auf dem Weg zu einem Premium-Hersteller und dabei stark ingenieurgetrieben – im Wortsinne. Der Führungsstil des damaligen Technik-Vorstands Ferdinand Piëch soll von der Road & Track einmal als „very eins-zwei, eins-zwei“ bezeichnet worden sein.

Piëch galt nie als Freund vieler Worte. Was von ihm überliefert ist, ist dafür umso pointierter. Seine Antipathie gegenüber den damals noch gar nicht solange serienreifen Airbags verdeutlichte er damit, dass er es gar nicht schätze, wenn eine Sprengladung auf sein Gesicht gerichtet sei.

Die Alternative zum Airbag, die Audi Ende der 80er als Procon-Ten zunächst im Audi 80 et Audi 100 auf den Markt brachte, war denn auch frei von Pyrotechnik und vergleichsweise simpel aufgebaut. Das System funktionierte mit Stahlseilen, die an Motorblock, Pedalerie, Lenksäule und den Sicherheitsgurten befestigt waren. Beim Frontalaufprall wird der Motorblock in Richtung Fahrgastzelle verschoben. Durch diese Relativbewegung ziehen die Stahlseile Pedalerie und Lenkrad vom Fahrer weg und straffen die Sicherheitsgurte.

In einem groß angelegten Crash-Test der auto motor und sport von 1990 funktionierte das System ziemlich gut. Neun Fahrzeuge der oberen Mittelklasse wurden mit 55 km/h gegen einen Betonblock gecrasht. Keines der Fahrzeuge war mit einem Airbag ausgestattet. Bei einigen Kandidaten wäre es, bei einem echten Unfall, zu schwersten, wahrscheinlich gar tödlichen, Verletzungen gekommen. Der Audi 100 (C4) schnitt mit am besten ab, dank der soliden Karosseriestruktur und Procon-Ten.
Durchgesetzt hat es sich trotzdem nicht. Ob es am spröden Namen lag oder daran, dass sich ein Sicherheitsfeature, das genauso unsichtbar wie erklärungsbedürftig war, allgemein schlecht verkaufte, lässt sich kaum noch klären. An dem genialen Audi-Video mit der Büroklammer und der Streichholzschachtel kann es nicht gelegen haben.

Unbestreitbar hat der erwähnte Crash-Test Autohersteller und Öffentlichkeit für das Thema passive Sicherheit sensibilisiert und war mit ein Auslöser, binnen weniger Jahre Airbags zur Serienausstattung zu machen, den Bedenken von Herrn Piëch zum Trotz. Damit hatte sich Procon-Ten endgültig erledigt und ist heute nur noch eine interessante Randnotiz zur Entwicklung passiver Sicherheit im Automobilbau.

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