Dernière actu toute fraiche : VIDÉO. « C’est le bijou de la voiture », il coule des plaques d’immatriculation à l’ancienne

Cet encart de quelques lignes ayant pour thématique « voitures de collection » a été décelé sur le web, nous avons projeté de vous le dévoiler dès à présent.

Le titre (VIDÉO. « C’est le bijou de la voiture », il coule des plaques d’immatriculation à l’ancienne) résume tout le papier.

Le rédacteur (identifié sous le nom d’anonymat
) est positivement connu.

La confiance est donc sérieuse concernant cet encart.

Voici ll’article :

La plaque d’immatriculation suit le véhicule. Hors de question pour les amoureux de voitures anciennes de poser une plaque de PVC sur leur carrosse ! Et c’est là qu’intervient Sébastien. Cet artisan fabrique des plaques avec la même méthode qu’en 1934.

Sébastien Nava fabrique des plaques d’immatriculation destinées aux voitures anciennes. Le passionné de vieilles voitures s’applique à respecter le savoir-faire de ses prédécesseurs qui n’a pas changé depuis 94 ans. 

Dans la fabrication des plaques, seul le matériau utilisé a évolué. L’aluminium a été remplacé par un alliage moins polluant. La typographie des caractères de fonderie en relief rivetés est d’époque. Sébastien reste fidèle au savoir-faire d’origine.

 « La méthode reste la même. La technologie a légèrement changé. Nous sommes passés de moule acier au moule silicone. Le creuset à gaz est devenu un creuset électrique, mais la typographie et les caractères restent les mêmes, totalement identiques à 1930 » détaille Sébastien Nava, fabricant de plaques d’immatriculation pour voitures anciennes. 

Une paire de plaques, c’est un peu plus d’une heure de travail. Tout est manuel. Le polissage se fait pièce par pièce. Parfois, quatre passages sont nécessaires pour une finition « miroir ». 

Toutes les machines de l’atelier sont celles créées par André Maillefaud dans son petit atelier parisien. Sébastien a racheté l’entreprise en 2020 en plein Covid-19. Il espère retrouver Le Label Entreprise du Patrimoine vivant acquis par son prédécesseur. « Passer sur des machines modernes me ferait perdre l’héritage du temps. Loin de moi cette envie. Il faut perdurer pour que cette marque dure toujours » revendique l’artisan.

La plaque d’immatriculation est plus “qu’un produit réglementaire obligatoire ». Pour les collectionneurs, c’est une véritable « parure » qui s’exporte dans le monde entier. « Sur une voiture qui a été fabriquée dans les années 1930, 40 ou 50, on a envie de mettre une plaque de la même époque et pas une plaque en PVC« .

C’est le bijou de la voiture, la petite touche finale. Ça termine la voiture.

Sébastien Nava,

fabricant de plaques d’immatriculation pour voitures anciennes

Ces plaques noires seront bientôt centenaires. Ici, se faire plaquer c’est une histoire qui dure.

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