Que penser de ce texte : La surpuissante et implacable Porsche 917

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En visitant le web nos rédacteurs ont relevé un texte qui va vous séduire. Sa thématique est « voitures de collection ».

Le titre (La surpuissante et implacable Porsche 917) parle de lui-même.

Sachez que l’écrivain (identifié sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.

Texte en question :



Temps de lecture:
3 min

24 heures du Mans, 1970-1971, code Neuf-Un-Sept,Youssef Daoudi (scénario), Christian Papazoglakis (dessin), Tanja Cinna (couleurs). Editions Glénat. Collection Plein gaz, 48 pages, 14,50 €. (Paru le 15 juin 2022).

L’Histoire des 24 heures du Mans continue de se raconter en bandes dessinées dans la collection Plein gaz des éditions Glénat, qui nous a offert par le passé des récits aussi passionnants que ceux consacrés au génial Colin Chapman, au mythique Nurburgring ou aux temps héroïques de la Targa Florio, entre autres.

Mais avec les 24 heures du Mans, c’est une véritable collection dans la collection qui s’est peu à peu constituée, l’album consacré à la Porsche 917 et à ses succès en 1970 et 1971 étant déjà le neuvième relatif à la plus célèbre course au monde, avec les 500 miles d’Indianapolis et la Grand prix de Monaco. Un album qui vaut par la seule évocation de celle qui a été nommée « Voiture de compétition du (XXe) siècle » par le magazine britannique de référence, Motor sport, suite à une consultation internationale d’experts. Un « titre » évidemment discutable au regard d’autres bolides produits ici ou là. Cependant, il situe bien l’avènement d’une « bête de compétition » conçue par Ferdinand Piëch, petit-fils de Ferdinand Porsche, pour gagner au Mans. Car à l’époque, remporter les 24 heures, c’était le Graal absolu.

Alors quand la 917 s’est mise à gagner un peu partout, jusqu’à en écraser le championnat du monde d’endurance, plus populaire et suivi dans les années 60 et 70 que la F1, il lui restait à trouver la reconnaissance ultime dans la Sarthe.

L’album retrace donc les deux victoires de la firme de Stuttgart… sans toutefois parvenir à nous captiver, à l’image de la trop implacable domination des Porsche. En revanche, cette plongée dans le contexte des 13 et 14 juin 1970 puis des 12 et 13 juin 1971 est un vrai plaisir. On se remémore ainsi ce premier départ avec les pilotes installés d’emblée dans leur voiture, alors que jusqu’en 1969 ils étaient alignés en bord de la piste pour, au top donné par l’organisation, courir vers leur bolide et s’élancer. Un particularisme manceau spectaculaire abandonné après une « grève » de Jacky Ickx qui jugeait -sans doute à raison- ce « spectacle » inutilement dangereux…

Le célèbre Belge, six fois vainqueur au Mans, sera par ailleurs dévasté en cette année 70 par la mort d’un commissaire de course écrasé dans la nuit par sa Ferrari, la belle italienne se retournant sur lui alors qu’Ickx, à ce moment-là deuxième, voulait reprendre un tour sur la voiture de tête… une 917 évidemment !

D’autres temps forts, comme cette pluie diluvienne qui provoqua un nombre record d’abandons en 1970, et pas mal de temps faibles occupent de superbes pages qui peinent à nous expliquer les ressorts des luttes fratricides entre écurie officielle et écuries privées des mêmes marques. En clair, on ne comprend pas tout et au final la surpuissance dans les Hunaudières des fameuses « 917 longue queues » entrées dans la légende manque de magnificence.

Pourtant, ce nouveau récit puisé dans l’âge d’or des 24 heures du Mans reste un bon moment qui tranche brutalement avec la terne édition 2022 dominée sans partage par Toyota. Précisément le type de domination qui détourne l’attention des amateurs. Telle celle imposée à la fin du XXe siècle par… Porsche, vainqueur 19 fois (record) depuis son premier succès codé neuf-un-sept en 1970.

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Autos von oben (Oldtimer-Blogartikel vom 12.07.2022) | (service auto)

Vögel sehen die Welt anders als wir Menschen, nämlich oft von oben. Autodesigner orientieren sich an unserer normalen Perspektive, aber kaum je an der Aufsicht. Es liegt wohl daran, dass sich viele Autos nur wenig unterscheiden, wenn man sie von oben erblickt. Allerdings gibt es Ausnahmen. Und es gibt Autos, deren Designspezialitäten man von oben kaum erkennen kann. So ist die spezielle Neigung der Heckscheibe beim Citroën Ami 6 (Bild oben) oder Ford Anglia in der Aufsicht nicht erkennbar. Man sieht einfach, dass man keine Heckscheibe sieht, weshalb das Auto fast wie ein Kombi ausschaut.

Weil wir Autos von oben mögen, haben wir vor einiger Zeit ein
Autokennerquiz
dazu entwickelt. Wenn Sie s noch nicht gespielt haben, so ist jetzt, in den kommenden Sommerferien, die
Gelegenheit
dazu.

Und wenn’s Sie es schon gespielt haben, dann können Sie unter
« Quiz de gestion »
die Antworten zurücksetzen und « nochmals spielen ».

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Article tout frais : D’anciennes voitures venues de Suisse

A nouveau, ce site va vous exposer un post qui circule sur le web. Le propos est «voitures de collection».

Le titre séduisant (D’anciennes voitures venues de Suisse) en dit long.

Présenté sous la signature «d’anonymat
», l’auteur est positivement connu.

Les informations divulguées sont en conséquence évaluées véritables.

La date d’édition est 2022-07-11 23:25:00.

Lundi 4 juillet, au bar-tabac-presse Le Gallia, c’était l’effervescence. Jimmy Westrelin, patron de l’établissement, avait mis les bouchées doubles pour recevoir l’Amicale autorétro&n …

Bibliographie :

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Relecture de l’éditorial : Pin-up, voitures américaines et country, Rambouillet célèbre le vintage

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Cet article, dont la thématique est « voitures de collection », a été identifié sur internet, notre staff est heureux de vous en produire l’essentiel ici.

Son titre (Pin-up, voitures américaines et country, Rambouillet célèbre le vintage) est évocateur.

L’auteur (identifié sous la signature d’anonymat
) est positivement connu.

Vous pouvez par conséquent faire confiance aux révélations qu’il donne.

La date de publication est 2022-07-11 10:32:00.

Les pin-up ont posé dans les cars d'époque.
Les pin-up ont posé dans les cars d’époque. (©78actu)

Près de 4000 personnes, environ 500 véhicules anciens ont paradé à l’hippodrome de Rambouillet (Yvelines), ce dimanche 10 juillet 2022 pour la fête du vintage.

Une jaguar des années 30 a participé au concours d'élégance à l'hippodrome de Rambouillet (Yvelines).
Une jaguar des années 30 a participé au concours d’élégance à l’hippodrome de Rambouillet (Yvelines). (©78actu)

L’événement a été orchestré par le Rendez-vous de la reine :

« C’est une grande fête de la voiture ancienne avec un public de toute la région parisienne, de la country, un concours d’élégance. »

Pierre Buretprésident du club auto aux 150 adhérents

Le club est connu pour ses rendez-vous le troisième dimanche du mois sur le parking du centre commercial de La Clairière.

Le club Eveland country 28 a fait danser l'hippodrome à Rambouillet (Yvelines).
Le club Eveland country 28 a fait danser à l’hippodrome à Rambouillet (Yvelines). (©78actu)

Cette fois, la trentaine de bénévoles a offert un véritable festival vintage comme au fin fond du Texas. Les cow-boys du groupe Tumbleweed ont fait danser le public aux côtés des danseuses du Eveland country 28.

Les Ford Mustang et Rolls, accompagnées des DS sorties du film Fantômas, ont défilé devant un jury de personnalités du monde de l’automobile. 17 voitures ont été sélectionnées le long de la piste de course.

Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre 78actu dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.

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Information pour les fans : Famille recomposée : elles sont belles-mères et heureuses de l’être

Notre équipe vient de remarquer cet éditorial sur la thématique « voitures de collection ». Avec régal nous vous en communiquons l’essentiel ci-dessous.

Le titre saisissant (Famille recomposée : elles sont belles-mères et heureuses de l’être) est parlant.

Sachez que le journaliste (présenté sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.

Vous pouvez donc vous fier aux révélations qu’il divulgue.

L’article a été divulgué à une date indiquée 2022-07-11 06:30:00.

Texte :

« Parfois, la petite main de Lucas venait se glisser entre nous deux dans la rue », se souvient avec tendresse Marine, belle-mère d’un adolescent de 16 ans aujourd’hui. La jeune femme, sans enfants, avait certes un peu d’appréhension au début mais découvre rapidement « un gamin adorable, au contact facile ». Malgré le manque d’intimité dans leur premier minuscule appartement, Marine apprend à connaître cet enfant d’une autre, notamment lors des trajets pour le raccompagner chez sa mère. « Mon compagnon ne conduisant pas, notre relation avec Lucas s’est beaucoup construite dans ces moments en voiture. »

Lire aussi >> Familles recomposées : faire un nouvel enfant ou pas ?

Depuis 8 ans, la belle-mère tisse lien fort, construit patiemment, avec l’aide du garçon. « Je lui ai rapidement expliqué qu’il fallait qu’on trouve nos marques tous les deux. Ça m’a vraiment fait du bien. » Même si parfois un sentiment d’illégitimité pointe encore son nez, lorsqu’il s’agit de recadrer des détails du quotidien comme ranger sa chambre, Marine s’amuse de se définir comme « la marâtre qui fait faire des gâteaux. Je lui propose souvent de me seconder en cuisine ». Quant aux trajets, ils sont devenus source de confidences à mesure que Lucas grandissait et qu’il fallait aller le chercher après une soirée entre amis. « Là il me dit des choses qu’il ne confie pas forcément à son père… Parfois aussi on complote ensemble, on parle de cadeaux pour son père. » Quand on lui demande si elle a un enfant, la trentenaire s’entend répondre amusée : « J’ai la moitié d’un gamin ! » La belle-mère complice, si elle n’est pas décisionnaire de certaines choses importantes, reste néanmoins régulièrement consultée par son compagnon et Lucas. « C’est un gamin que j’adore, je l’aime comme je peux aimer mes neveux et nièces. Il fait partie de ma famille. Le tout, c’est de voir comment ta personnalité s’accorde avec la sienne. »

Rôle à composer

Car la belle-parentalité est d’abord affaire de feeling, comme le rappelle la psychologue Catherine Audibert, autrice du « Complexe de la marâtre, être belle-mère dans une famille recomposée »[1]. « La rencontre avec les enfants est comme dans la vie en général, ils ont une personnalité, et il faut qu’il y ait un truc qui vous plaise à vous. Quand c’est le cas, c’est génial ! » Et la thérapeute de reconnaître que la question des entraves à l’amour sont cependant nombreuses dans les familles recomposées. D’abord par l’image négative des belles-mères véhiculée depuis des lustres dans la littérature et la pop culture, qui induit des réactions défensives, des ex-compagnes comme des enfants, qui pensent d’emblée que la belle-mère va être destructrice. Quant au père, souvent engoncé dans sa culpabilité post-séparation, il ne sait bien souvent quelle posture adopter et comment faire tiers. Quant aux situations délétères, notamment entre le conjoint-e et son ex, elles permettent plus difficilement de créer du lien, de laisser s’exprimer des affects bienvenus. « Car il faut bien avoir en tête que la plupart de ces femmes n’ont aucun a priori sur les enfants de leur compagnon, ni même sur le fait de devenir belle-mère, insiste la psychologue. Quand on se met avec une personne qui a des enfants, on accepte une mission ». Alors quand les entraves sont dérisoires, les adultes cohérents entre eux « et surtout, qu’on laisse à la belle-mère sa place d’adulte auprès des beaux-enfants », le chemin vers une forme de sérénité est plus aisé. Certes, il peut être long, mais valoir sacrément le coup, puisqu’il est entièrement à construire.

Comme le souligne la journaliste Fiona Schmidt dans son livre « Comment ne pas devenir une marâtre »[2] : « La bonne nouvelle, c’est que puisque le rôle d’une belle-mère n’est pas clairement défini, il est à composer en fonction des enfants, de votre conjoint-e, de la mère des enfants, mais surtout de vous ». Voilà une voie non tracée qui offre de belles perspectives ! Une fonction à la carte donc, dont s’est saisie avec légèreté Elsa, 36 ans, qui avoue n’avoir « jamais eu de ‘fascination’ pour les enfants ». Sauf qu’Elio, 10 ans à l’époque et 14 aujourd’hui, en avait décidé autrement. « Il était très content que je sois là, m’a mis hyper à l’aise tout de suite, il voulait qu’on fasse plein de trucs ensemble, se remémore Elsa. C’est lui qui m’a vraiment mise en confiance ». Passionné de cuisine, le jeune garçon la sollicite pour les courses et les repas, créant de vrais moments de complicité culinaire. Détendu, accueillant, Elio s’intéresse progressivement à la politique, un des centres d’intérêts de sa belle-mère, scrute les débats télévisés avec elle, échange longuement, l’accompagne même à des meetings. Parfois, beau-fils et belle-mère déjeunent ensemble, appréciant ces temps privilégiés. Sur le téléphone, le numéro d’Elsa est référencé à « Ma belle-mère chérie ». « Il m’a dit une fois : si vous vous séparez avec papa, je continuerais à te voir ! », sourit Elsa, qui reconnaît une implication spontanée, presque sans y prendre garde. « Je n’avais pas anticipé tout ça ! Aujourd’hui je me fais vite du souci pour lui, j’ai envie qu’il soit heureux, qu’il ait le choix de ce qu’il a envie de faire. »

« Je n’étais pas la belle-mère de Cendrillon, j’ai même fait l’inverse ! »

« Bien sûr que des liens d’attachement, voire d’amour, peuvent se créer, explique Catherine Audibert. Et comme dans l’amour en général, il y a une part de mystère. » Ainsi, dans une même fratrie, on peut avoir des affinités avec une personne, et pas avec une autre. Il en est de même pour les belles-mères. Il existe même parfois un sentiment d’amour très intense, qui vous saisit à la gorge. Ce fut le cas pour Nathalie, bercée par les ouvrages d’Irène Théry, sociologue de la famille et inventrice du terme « famille recomposée ». À 57 ans, et bien que séparée du père de son ex-belle-fille, Nathalie et elle continuent à se voir, liée par un attachement très puissant. « À l’époque de la rencontre, j’avais 25 ans, et Elvire en avait 4. La petite s’est accrochée à moi comme une coquille sur un rocher. Je l’ai tout de suite aimée. J’étais bien avec elle, elle était bien avec moi. » Nathalie est une belle-mère accueillante. Elvire a un frère, mais si Nathalie « fait le job » auprès de lui, le lien n’est pas le même. La mère d’Elvire et de son frère est, elle, peu présente. Par cette absence, elle contribue sans doute involontairement à ce rapprochement, cédant ainsi une place à prendre. « Je suis devenue le repère de la petite. » Par la suite, Nathalie tombe enceinte. Malgré son ventre qui prend de l’ampleur, elle continue à porter, au propre comme au figuré, la petite Elvire. Parfois au détriment de sa fille ainée, qui a pu pâtir de cette relation fusionnelle. Nathalie résume ainsi ce lien : « Je lui dis qu’elle est ma fille, mais que je ne suis pas sa mère. J’ai eu le sentiment de construire ma famille autour d’elle. Je n’étais pas la belle-mère de Cendrillon, j’ai même fait l’inverse ! » Elvire adulte, Nathalie séparé de son père dans le conflit, le lien s’est un peu distendu. Mais a fini par reprendre le dessus. « Récemment, Elvire a pu me dire : ‘Ma safe place, c’est avec toi’. Ça m’a vraiment touché, savoir que j’étais un refuge. » Avec le recul, Nathalie perçoit l’intensité d’une rencontre, une appréciation mutuelle, une considération de la personne pour ce qu’elle est. « C’est énormément de joie d’être avec Elvire. C’est de l’amour, on a une affection filiale, mais d’adultes qui se sont choisies. » Chaque rencontre va donc être distincte, et évolutive, ce qui est une bonne chose, et évite de baisser le bras quand la situation de la famille recomposée paraît ankylosée. « Chaque expérience est différente et n’a pas à être comparée aux autres, rappelle la psychologue Catherine Audibert. On parle d’une création de lien, et c’est donc à chaque fois singulier. Comme avec ses propres enfants au final ! »

[1]Editions Payot

[2]Editions Hachette

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Dernière actualité pour vous : Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée

J’ai trouvé un éditorial sur le web dont la thématique est «voitures de collection».

Son titre suggestif (Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée) est sans détour.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable.

La date de parution est 2022-07-11 13:05:00.

Voilà un trésor du passé qui a fait tourner les têtes à de nombreuses reprises et a même fait une apparition remarquée au cinéma à la fin des années 1950. L’unique exemplaire restant d’un autocar Citroën U55 Cityrama s’apprête à faire l’objet d’une restauration complète. Un véhicule exceptionnel qui témoigne du savoir-faire français de l’époque en matière de carrosserie et qui aujourd’hui suscité même l’intérêt de la Fondation du Patrimoine.

Un seul exemplaire restant

Citroën Cityrama 1956
En 1956, Currus est chargé de fabriquer un autocar de tourisme futuriste permettant de contempler le mieux possible Paris.

Dix ans après la Seconde Guerre mondiale, l’heure est à la reconstruction, et le tourisme se développe en France. Dans le but de rendre l’activité encore plus attractive, le directeur de la compagnie Cityrama, Jean-Pierre Dubreuil, fait appel au plus ancien carrossier de Paris, Currus, pour réaliser un bus hors normes. C’est ainsi qu’en 1956 un bus à double étage et à la surface vitrée gigantesque voit le jour. Il n’a plus rien à voir avec le Citroën U55 dont il reprend le châssis. Ses lignes futuristes, très en vogue à l’époque, s’inspireraient même des bateaux-mouches. Son toit panoramique était amovible pour profiter du grand air en été. Le bus – haut de presque 4,35 m – pouvait accueillir 50 passagers et proposait des audioguides en huit langues différentes. Trois exemplaires du Citroën U55 Cityrama ont été produits, mais seul celui de 1959 a survécu. Jusqu’à la fin des années 1970, les touristes ont pu découvrir la capitale à travers les grandes fenêtres de cette fusée à quatre roues.

Citroën U55 Cityrama
Le Citroën U55 Cityrama mesure 4,35 m de haut et peut accueillir 50 passagers.


Restauration du dernier exemplaire

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

Le propriétaire du Citroën Cityrama est le genre de collectionneur passionné qui aurait besoin de plusieurs vies pour restaurer dans les règles de l’art tous ses véhicules. Avec l’Association Normande d’Anciens Utilitaires (ANAU), dont il est proche, cela faisait des années qu’ils discutaient d’un projet de restauration pour ce bus touristique. Les travaux sont importants et nécessitent donc beaucoup d’argent, environ 400 000 €. La restauration de l’engin est soutenue par la Fondation du Patrimoine. Cette dernière a lancé un appel au don sur son site internet. Une aide essentielle pour l’ANAU, qui ne peut assumer seule l’intégralité des dépenses. Sur les 50 000 € du premier palier, déjà plus de 18 000 € ont été récoltés au moment d’écrire ces lignes. 

Quatre ans de travail

Citroën Cityrama restauration normandie
C’est l’atelier Normandy Classics qui s’occupera de la restauration.
bus Cityrama restauration
Environ 2 000 heures de travail seront nécessaires pour que le Cityrama retrouve son lustre d’antan.

Une telle pièce mérite du temps… La restauration du bus a été confiée à l’atelier Normandy Classics, situé à Granville, dans la Manche. Contacté par nos soins, Philippe Debasly, propriétaire du garage, explique qu’il faudra quatre ans, soit environ 2 000 heures de travail, à quatre personnes pour redonner à l’autocar Cityrama ses lettres de noblesse. « C’est un projet qui me tient à cœur […] car je suis un fou de Citroën et d’utilitaire », explique-t-il. Pour cet exemplaire unique, chaque étape sera cruciale. La première consiste à désosser entièrement le véhicule.

Citroën Cityrama restauration
La première étape est de mettre à nu l’autocar, puis d’identifier toutes les pièces.
Citroën Cityrama ANAU restauration
Le travail au niveau des fenêtres s’annonce également sportif.

Il faut se montrer patient et rigoureux car la moindre pièce devra être répertoriée. Philippe Debasly aimerait que cette première phase se réalise avec l’ensemble des restaurateurs afin que chacun puisse évaluer l’ampleur du travail à accomplir, notamment en ce qui concerne la carrosserie. Surtout que le bus Citroën a déjà subi une restauration, mais qui n’a jamais abouti. Il faudra ensuite sabler la carcasse et reconstruire à l’identique les pièces qui ont été rongées par la rouille. À l’issue de cette partie, le travail de carrosserie pourra commencer, puis la réfection de la mécanique (toujours impeccable à l’heure actuelle). Enfin, l’intérieur pourra être rénové.

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

 

Bibliographie :

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Cela se propage sur le web : Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée

Voici l’essentiel d’un post que notre équipe vient de identifier sur internet. Le sujet va certainement vous plaire. Car le sujet est « voitures anciennes ».

Son titre suggestif (Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée) parle de lui-même.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’auteur est positivement connu.

Voilà un trésor du passé qui a fait tourner les têtes à de nombreuses reprises et qui fit même une apparition remarquée au cinéma à la fin des années 1950. L’unique exemplaire restant d’un autocar Citroën U55 Cityrama s’apprête à faire l’objet d’une restauration complète. Un véhicule exceptionnel qui témoigne du savoir-faire français de l’époque en matière de carrosserie et qui aujourd’hui suscite même l’intérêt de la Fondation du Patrimoine.

Un seul exemplaire restant

Citroën Cityrama 1956
En 1956, Currus est chargé de fabriquer un autocar de tourisme futuriste permettant de contempler le mieux possible Paris.

Dix ans après la Seconde Guerre mondiale, l’heure est à la reconstruction, et le tourisme se développe en France. Dans le but de rendre l’activité encore plus attractive, le directeur de la compagnie Cityrama, Jean-Pierre Dubreuil, fait appel au plus ancien carrossier de Paris, Currus, pour réaliser un bus hors normes. C’est ainsi qu’en 1956 un bus à double étage et à la surface vitrée gigantesque voit le jour. Il n’a plus rien à voir avec le Citroën U55 dont il reprend le châssis. Ses lignes futuristes, très en vogue à l’époque, s’inspireraient même des bateaux-mouches. Son toit panoramique était amovible pour profiter du grand air en été. Le bus – haut de presque 4,35 m – pouvait accueillir 50 passagers et proposait des audioguides en huit langues différentes. Trois exemplaires du Citroën U55 Cityrama ont été produits, mais seul celui de 1959 a survécu. Jusqu’à la fin des années 1970, les touristes ont pu découvrir la capitale à travers les grandes fenêtres de cette fusée à quatre roues.

Citroën U55 Cityrama
Le Citroën U55 Cityrama mesure 4,35 m de haut et peut accueillir 50 passagers.


Restauration du dernier exemplaire

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

Le propriétaire du Citroën Cityrama est le genre de collectionneur passionné qui aurait besoin de plusieurs vies pour restaurer dans les règles de l’art tous ses véhicules. Avec l’Association Normande d’Anciens Utilitaires (ANAU), dont il est proche, ils discutaient depuis des années d’un projet de restauration pour ce bus touristique. Les travaux sont importants et nécessitent donc beaucoup d’argent, environ 400 000 €. La restauration de l’engin est soutenue par la Fondation du Patrimoine. Cette dernière a lancé un appel au don sur son site internet. Une aide essentielle pour l’ANAU, qui ne peut assumer seule l’intégralité des dépenses. Sur les 50 000 € du premier palier, déjà plus de 18 000 € ont été récoltés au moment d’écrire ces lignes. 

Quatre ans de travail

Citroën Cityrama restauration normandie
C’est l’atelier Normandy Classics qui s’occupera de la restauration.
bus Cityrama restauration
Environ 2 000 heures de travail seront nécessaires pour que le Cityrama retrouve son lustre d’antan.

Une telle pièce mérite du temps… La restauration du bus a été confiée à l’atelier Normandy Classics, situé à Granville, dans la Manche. Contacté par nos soins, Philippe Debasly, propriétaire du garage, explique qu’il faudra quatre ans, soit environ 2 000 heures de travail, à quatre personnes pour redonner à l’autocar Cityrama ses lettres de noblesse. « C’est un projet qui me tient à cœur […] car je suis un fou de Citroën et d’utilitaire », explique-t-il. Pour cet exemplaire unique, chaque étape sera cruciale. La première consiste à désosser entièrement le véhicule.

Citroën Cityrama restauration
La première étape est de mettre à nu l’autocar, puis d’identifier toutes les pièces.
Citroën Cityrama ANAU restauration
Le travail au niveau des fenêtres s’annonce également sportif.

Il faut se montrer patient et rigoureux car la moindre pièce devra être répertoriée. Philippe Debasly aimerait que cette première phase se réalise avec l’ensemble des restaurateurs afin que chacun puisse évaluer l’ampleur du travail à accomplir, notamment en ce qui concerne la carrosserie. Surtout que le bus Citroën a déjà subi une restauration, mais qui n’a jamais abouti. Il faudra ensuite sabler la carcasse et reconstruire à l’identique les pièces qui ont été rongées par la rouille. À l’issue de cette partie, le travail de carrosserie pourra commencer, puis la réfection de la mécanique (toujours impeccable à l’heure actuelle). Enfin, l’intérieur pourra être rénové.

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Revue de presse internet : Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée

En consultant internet nos rédacteurs ont relevé un papier qui va vous plaire. Son propos est « voitures de collection ».

Son titre (Citroën U55 Cityrama. La restauration du bus touristique lancée) parle de lui-même.

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) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez ainsi faire confiance à cette actualité.

Le texte a été édité à une date mentionnée 2022-07-11 13:05:00.

Voilà ll’article :

Voilà un trésor du passé qui a fait tourner les têtes à de nombreuses reprises et qui fit même une apparition remarquée au cinéma à la fin des années 1950. L’unique exemplaire restant d’un autocar Citroën U55 Cityrama s’apprête à faire l’objet d’une restauration complète. Un véhicule exceptionnel qui témoigne du savoir-faire français de l’époque en matière de carrosserie et qui aujourd’hui suscite même l’intérêt de la Fondation du Patrimoine.

Un seul exemplaire restant

Citroën Cityrama 1956
En 1956, Currus est chargé de fabriquer un autocar de tourisme futuriste permettant de contempler le mieux possible Paris.

Dix ans après la Seconde Guerre mondiale, l’heure est à la reconstruction, et le tourisme se développe en France. Dans le but de rendre l’activité encore plus attractive, le directeur de la compagnie Cityrama, Jean-Pierre Dubreuil, fait appel au plus ancien carrossier de Paris, Currus, pour réaliser un bus hors normes. C’est ainsi qu’en 1956 un bus à double étage et à la surface vitrée gigantesque voit le jour. Il n’a plus rien à voir avec le Citroën U55 dont il reprend le châssis. Ses lignes futuristes, très en vogue à l’époque, s’inspireraient même des bateaux-mouches. Son toit panoramique était amovible pour profiter du grand air en été. Le bus – haut de presque 4,35 m – pouvait accueillir 50 passagers et proposait des audioguides en huit langues différentes. Trois exemplaires du Citroën U55 Cityrama ont été produits, mais seul celui de 1959 a survécu. Jusqu’à la fin des années 1970, les touristes ont pu découvrir la capitale à travers les grandes fenêtres de cette fusée à quatre roues.

Citroën U55 Cityrama
Le Citroën U55 Cityrama mesure 4,35 m de haut et peut accueillir 50 passagers.


Restauration du dernier exemplaire

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

Le propriétaire du Citroën Cityrama est le genre de collectionneur passionné qui aurait besoin de plusieurs vies pour restaurer dans les règles de l’art tous ses véhicules. Avec l’Association Normande d’Anciens Utilitaires (ANAU), dont il est proche, ils discutaient depuis des années d’un projet de restauration pour ce bus touristique. Les travaux sont importants et nécessitent donc beaucoup d’argent, environ 400 000 €. La restauration de l’engin est soutenue par la Fondation du Patrimoine. Cette dernière a lancé un appel au don sur son site internet. Une aide essentielle pour l’ANAU, qui ne peut assumer seule l’intégralité des dépenses. Sur les 50 000 € du premier palier, déjà plus de 18 000 € ont été récoltés au moment d’écrire ces lignes. 

Quatre ans de travail

Citroën Cityrama restauration normandie
C’est l’atelier Normandy Classics qui s’occupera de la restauration.
bus Cityrama restauration
Environ 2 000 heures de travail seront nécessaires pour que le Cityrama retrouve son lustre d’antan.

Une telle pièce mérite du temps… La restauration du bus a été confiée à l’atelier Normandy Classics, situé à Granville, dans la Manche. Contacté par nos soins, Philippe Debasly, propriétaire du garage, explique qu’il faudra quatre ans, soit environ 2 000 heures de travail, à quatre personnes pour redonner à l’autocar Cityrama ses lettres de noblesse. « C’est un projet qui me tient à cœur […] car je suis un fou de Citroën et d’utilitaire », explique-t-il. Pour cet exemplaire unique, chaque étape sera cruciale. La première consiste à désosser entièrement le véhicule.

Citroën Cityrama restauration
La première étape est de mettre à nu l’autocar, puis d’identifier toutes les pièces.
Citroën Cityrama ANAU restauration
Le travail au niveau des fenêtres s’annonce également sportif.

Il faut se montrer patient et rigoureux car la moindre pièce devra être répertoriée. Philippe Debasly aimerait que cette première phase se réalise avec l’ensemble des restaurateurs afin que chacun puisse évaluer l’ampleur du travail à accomplir, notamment en ce qui concerne la carrosserie. Surtout que le bus Citroën a déjà subi une restauration, mais qui n’a jamais abouti. Il faudra ensuite sabler la carcasse et reconstruire à l’identique les pièces qui ont été rongées par la rouille. À l’issue de cette partie, le travail de carrosserie pourra commencer, puis la réfection de la mécanique (toujours impeccable à l’heure actuelle). Enfin, l’intérieur pourra être rénové.

Citroën Cityrama don restauration
Vous pouvez soutenir le projet en faisant un don sur le site de la Fondation du Patrimoine.

 

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Revue de presse internet : Mans Classic 2022. Le récit de L’argus en Renault 4CV [+ vidéo]

Voici un nouvel article qui va s’adjoindre à notre revue de presse sur « voitures de collection ».

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